Un gosse en enfer

112 pages de LE JEUNE
Un gosse en enfer LE JEUNE
Synopsis

Les mémoires d'un enfant dans les années 60.
Sa souffrance dans un monde d'adulte.
Le roman tourne principalement sur une seule nuit interminable, et un flash back perpétuel.

Je ne savais pas où j'irais, mais cela n'avait en fait aucune importance. Je suis passé devant la chambre de mes parents... Quelqu'un bougea ; pris d'une peur panique à l'idée de voir le monstre se lever, j'ai foncé sur la porte. Je l'ai ouverte, et dans un grand fracas je l'ai refermée!

Publié le 30 Décembre 2016

Les statistiques du livre

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8 commentaires , 2 notes
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Bonjour,

Il faut le courage du désespoir pour lancer un tel appel, surtout vers quelqu'un d'aussi proche.
Nous entendons tous les bribes médiatiques des enfants en souffrance et nous pensons être impuissants. C'est faux, et, comme les petits ruisseaux font les grandes rivières, ce sont les témoignages, les récits qui révèleront l'ampleur des dégâts. Quant à réveiller l'humanité, c'est ambitieux. Restons humble et agissons chacun à notre façon (à travers des associations par exemple, ou des témoignages comme le tien. Il y a quelques récits sur ce site). Nous avons des moyens. Il faut l'investissement de chacun.
Je n'affirme pas, comme je l'ai trop entendu dire, que les enfants sont innocents. Il n'empêche que l'un de nos rôles est de les protéger.

A vous lire.

Publié le 03 Février 2018

Bonjour @Daen,
Je ne crois pas au courage, plutôt une sorte d'appel au secours de l'enfant vers sa mère...
Il m'a sembler que vous ayez connu une période analogue, qu'en pensez-vous ?
Avec les années, j'ai pu constaté les tortures infligées sur des enfants, elles sont toutes plus pires les unes que les autres, et j’aimerai bien être ce lanceur d'alerte capable de réveiller l'humanité mais je n'en ai pas les moyens, hélas.
Bien a vous..

Publié le 03 Février 2018

Bonjour,

Il est difficile d'écrire sur soi surtout lorsque l'on vit l'enfance qui fut la tienne. Une sorte de thérapie littéraire qui cache, sous un style enfantin, un mal-être certain. Un sourire en continu pour masquer un traumatisme délétère. Bravo pour ce partage qui doit alerter chacun de nous, au delà de nos compromissions larvées. Tu donnes à réfléchir et surtout à regarder différemment les êtres qui nous entourent. Dans ton genre, tu es un lanceur d'alerte dont le témoignage courageux devrait ouvrir les yeux de nos contemporains sur la situation des enfants aujourd'hui comme hier, même quand il est trop tard. Des femmes aussi, on le découvre à travers une actualité brûlante. Celle des enfants, sujet plus délicat parce que sujets plus délicats, puisqu'ils sont au coeur de nos sociétés. Notre rôle à tous est de les protéger des autres, parfois d'eux-mêmes. Je me fais trop d'illusions, certainement
Il faut arrêter de ne pas voir, de ne pas entendre et de se taire.
Merci à toi et bonne continuation dans la vie.

Publié le 30 Janvier 2018

Bonjour, Merci @Daen de ce commentaire très utile.
J'espère avoir répondu au mieux sur ton questionnement.
critique fort utile, Je n'ose dire espéré car écrire de l'intérieur est une chose et pour un lecteur la vue externe lui est offerte avec une image différente.
L'histoire, si on peux l'appeler ainsi, est réelle du début à la fin, hélas... forcément.
Le livre était à l'origine un simple journal intime; Je l'ai, "ado" retrouvé, lu avec difficulté, et eu envie de tourner mes déboires en dérision sous forme romancé, avec un max d'humour "noir", que personne n'en comprenne le sens réel peut-être.
Je sais c'est raté^^
Très prétentieux mais à l'approche de mes 18 ans environ, on se croit plus malin que les autres.
La version d'origine perdu et je pense déformé, j'ai quand même souhaiter faire à l'époque le fameux remake de la nuit infernal en reprenant ce que je lisais tel quel sans traduction des évènements revécus en pensées certes mais vécus. une nuit a 8 ou 10 ans, attacher sans dormir c'est très long !
P55: Gros, était plutôt de la dérision en rapports aux évènements du moment, j'avais un traitement spécial si ma mère se réveillais assez top, d'ou son déjeuner fort gouteux à base de sel et de sucre, c'est immonde a boire surtout le vomi qui s'ensuivait...
P55, les fils électriques devaient être du 1.5, donc petite section cuivrées et assez facile à couper avec les dents, bon, plus trop avec ce qu"il en reste de dents aujourd'hui.
P63 Mon vélo était équipé d'un antivol, et je n'avais que ce coupe ongle qui avait une lame d'assez bonne qualité.
Je ne sais plus si j'ai coupé tout les brins avec le coupe-ongle, je me revois en train de tordre et détordre ce "putain" d'anti-vol, donc, juste une partie, mais la journée a été longue, est ce bien important ?
Lord Patrice, un clin d’œil parce qu'il était important pour moi, plus qu'un ami, un frère, un seigneur...
Exact P37, pour substitution, pourtant, cette partie a été corrigé plusieurs fois.
L'histoire de la cour prouve bien que l'écrit venais d'un gamin, j’essaie de trouver d'autres mots, je vais corriger cela.
Plusieurs personnes ont lu mon écrit mais n'ont pas été suffisamment externe pour m'offrir un meilleur questionnement sur la forme, ceci dit, je voulais juste respecter l'enfant, qu'on lise l'enfant, pas l'adulte.
Pour les pages vertes, j'en suis resté là des multiples corrections, et j'ai oublié. (malade)

Publié le 11 Janvier 2018

Bonjour,

Je viens de finir de lire votre récit et je ne sais qu'en penser.
J'avoue être dubitatif.

Sur la forme, je me demande quelle part est réalité et quelle part est romancée quand vous parlez d'imagination (p33) et de roman, doute renforcé par quelques incohérences :
- p52 : vous vous décrivez "gros" et "chétif" à la fois
- p50 : "parfois, très souvent, ma mère faisait le petit dèj" que vous décrivez comme une horreur.
- p53 : "j'avais dû, comme d'habitude, faire le petit déjeuner"
- vous avez réussi à couper des fils de cuivre avec vos dents (p55)? Et des fils d'acier avec un coupe-ongle en une demie-journée (p63)?
- p34 : il y avait Patrice et Patrick parmi vos meilleurs copains?
- p32 : Pourquoi Lord Patrice?
quelques erreurs dans des mots :
- p16 : "jouierait"? Faut-il lire "jouirait" ou "jouerait"?
- p37 : "subtittion". Je pense qu'il faut lire "substitution".
- attention à l'utilisation de à pour a (avoir) et réciproquement, et aux répétitions (3 x "cour" en 2 lignes p21).
- Beaucoup de questions que vous vous êtes posées et que vous vous posez encore bien que vous ayez obtenu des réponses en fouillant dans votre mémoire. Il est peut-être préférable d'éviter d'écrire ces nombreuses questions et de passer directement aux réponses qui susciteront un nouveau questionnement chez les lecteurs. Je n'ai pas eu à faire ce travail puisque vous l'avez mâché.
- le style enfantin est un choix, je peux le comprendre et je le respecte. Toutefois, vous êtes un adulte qui s'adresse à d'autres adultes. Je ne sais pas s'il est opportun. .
- j'ai beaucoup apprécié les poèmes, comme des respirations dans le récit.
- pourquoi y a t-il des feuilles vertes à partir de la page 70?
- vous avez respecté une chronologie et je pense que vous avez bien fait, bien que, parfois, je me perdais dans vos retours et vos circonvolutions. J'ai dû relire certains passages plusieurs fois pour suivre la trame de votre calvaire.

Je dois vous paraître bien critique parce que j'ai disséqué votre livre. Je ne lis pas à la légère ce genre de récit. Je vous parlerai du fond quand j'aurai pris le temps de reprendre mes notes.Je vous rassure, je ne suis pas psy car, comme vous, je pense qu'ils ne sont pas à la hauteur ou pas utiles dans ces cas (sans les traiter de charlatan : p107). Mon enfance n'a pas été si différente.

Bien à vous.

Publié le 10 Janvier 2018

@nelly.chevrot71
Je vous remercie de votre lecture;
Hélas, oui, la réalité est un fruit pas toujours facile à croquer, même lorsque l'on devient adulte.

Publié le 28 Février 2017
3
Très bon livre, qui nous fais réfléchir et montre la véritable réalité du monde dans lequel nous vivons.
Publié le 27 Février 2017

Merci @Joseph, d'avoir pris la peine de lire ce récit et surtout ce petit com pour l'enfant.
J'ai eu beaucoup de mal à garder le style de cet enfant, d’où ce coté naïf surement.

Publié le 25 Janvier 2017

C’est courageux de partager cette vie. Et humble aussi. Il y a de la naïveté dans vos propos, qui contrebalance la violence des souvenirs. Et une fois qu’on s’est fait accrocher par votre récit, on ferme la dernière page et on a un goût amer. De l’amertume de l’impuissance et de la compassion.

Publié le 24 Janvier 2017
3
A défaut de me noter, indiquez-moi mes erreurs.... Ce qui rebute ou déplait.
Publié le 02 Janvier 2017