@Annie Pic, la vie est un jeu mystérieux semblez-vous nous dire, et l'homme tel qu'il a été fait n'a aucun espoir d'en saisir le sens. Quel que soit le nombre de ses tentatives ! C'est aussi un jeu de hasard où le gagnant souvent n'a aucun mérite quand il tire son épingle du jeu et doit seulement remercier sa bonne étoile. Gabriel aura beau scruter le ciel quotidiennement, nous doutons que la sienne se mette à briller un jour. Pauvres humains ! Merci, Annie Pic, de nous avoir donné par ce court texte l'occasion et le sombre plaisir de nous lamenter sur notre sort ! Cela ne m'empêche pas de vous souhaiter une bonne et heureuse année. Qui sait ?

@Zoé Florent Tu nous offres, en guise de cadeau de fin d'année, une bien charmante petite histoire. chère Michèle. Cette malheureuse Léa, avide de tendresse, a finalement beaucoup de chance. Elle était en quête d'un homme qui lui dispenserait la chaleur de ses bras tout en pensant à ce qui suivrait presque comme à un mal inévitable. En fin de compte, elle a été bien servie. Elle a eu le beurre sans l'argent du beurre. Comme nous qui avons eu droit à ta belle prose sans rien débourser. Je te souhaite, chère amie, un bonheur parfait et sans nuages durant les fêtes qui arrivent. Amicalement, Antar.

Bonjour @Alix Cordouan. J'ai bien apprécié votre histoire qui commence avec le mystère d'une nouvelle fantastique et se termine comme un conte de fée. Merci pour le partage !

@Zoé Florent Bonjour Zoé! Au fur et à mesure que je lisais votre histoire, je ressentais une appréhension qui s'est confirmée au moment de la chute. Que pourrais-je en dire sinon une grande admiration pour votre style sobre, élégant, efficace, d'un côté, et de l'autre une honte infinie qui me submerge en tant qu'homme. Hélas, de telles mésaventures arrivent souvent dans la vie réelle ! L'innocence féminine se heurte fréquemment à la brutalité masculine. On aura beau dire, ce n'est pas du manichéisme mais une vérité absolue. Une femme ne pourrait jamais faire du mal à un homme qui lui offrirait son cœur. Dans le pire des cas, elle le repousserait. Pas plus ! En tout cas bravo pour ce texte qui m'a touché. Vous avez mis dans le mille littérairement et humainement parlant. Bonne journée !

@Alhéna Skat Bonjour chère Alhéna. Je viens de terminer le premier tome de votre roman " L'enfant du péché " et vous avez si bien rendu l'horreur infligée à cette pauvre Fanette qui, même au-delà de la mort continue de subir la cruauté de ses maîtres, qu'on ne peut s'empêcher de se sentir révolté. Quand on pense que cette histoire est authentique, on a envie de retourner au dix-huitième siècle juste pour le plaisir d'y faire la révolution et se venger de l'aristocratie arrogante et brutale qui sévissait en France. On comprend pourquoi des citoyens défilaient à l'époque dans Paris avec des têtes au bout de leur piques. Mais heureusement dans votre récit, il y a Iris et sa " maman " qui apportent une touche de fraîcheur et de gaîté dans cette sombre histoire. Merci, en tout cas, chère Alhéna de nous avoir fait vivre ces émotions contrastées qui sont le but de toute littérature. Au plaisir de lire la suite et bonne journée. Antar.