J’ai séché ma petite larme en finissant de lire la 5e page. Je me suis vite attaché au père de Tristan, car nous avons tous fait, un jour, le deuil d’un être cher (parents, amis, frères, enfants, …) et vous avez su m’immerger dans cette atmosphère mélancolique.
___
Dès la 6e page, je me suis senti élevé vers une autre dimension — plus haute, en me demandant « mais Qué pasa ? », jusqu’à comprendre que tout était métaphorique. L’interprétation de cette partie a vraiment ébloui mon esprit.
___
Votre texte est court, mais vraiment solide. Je vis pour ce genre de lecture.
___
Je vous conseillerais de faire une relecture attentive pour repérer quelques maladresses, par ex. p.10 : « diT le père », « dit-elle ». Il faudrait aussi augmenter la taille de la police.
Est-il possible de nommer le « père de Tristan » ? Vous pourriez l’appeler « Dylan », en espérant que je n’aurai pas à perdre mon Tristan, si j’en avais un (rires).
___
Eh bien, j’écris trop, hein. Bon, on s’arrête là, et je vous souhaite une bonne journée.
Publié le 20 Septembre 2025