Dylan-jo KAYUBI
Présentation

Né en 1997 à Cape town. Diplômé en économie et gestion des ressources énergétiques, il navigue entre comptabilité et alchimie verbale.

Dylan-jo KAYUBI a noté ces livres

3
J’ai séché ma petite larme en finissant de lire la 5e page. Je me suis vite attaché au père de Tristan, car nous avons tous fait, un jour, le deuil d’un être cher (parents, amis, frères, enfants, …) et vous avez su m’immerger dans cette atmosphère mélancolique. ___ Dès la 6e page, je me suis senti élevé vers une autre dimension — plus haute, en me demandant « mais Qué pasa ? », jusqu’à comprendre que tout était métaphorique. L’interprétation de cette partie a vraiment ébloui mon esprit. ___ Votre texte est court, mais vraiment solide. Je vis pour ce genre de lecture. ___ Je vous conseillerais de faire une relecture attentive pour repérer quelques maladresses, par ex. p.10 : « diT le père », « dit-elle ». Il faudrait aussi augmenter la taille de la police. Est-il possible de nommer le « père de Tristan » ? Vous pourriez l’appeler « Dylan », en espérant que je n’aurai pas à perdre mon Tristan, si j’en avais un (rires). ___ Eh bien, j’écris trop, hein. Bon, on s’arrête là, et je vous souhaite une bonne journée.
Publié le 20 Septembre 2025
2.01
Hello ! J’ai partagé votre extrait avec un ami qui s’est lassé de mon dernier texte, qu’il a jugé de « style littéraire désuet, avec un vocabulaire hermétique » (rires). Par contraste, il a bien aimé le vôtre, sans doute grâce à son lexique argotique. | Ce style répond-il vraiment aux préoccupations des ados d’aujourd’hui, avec leur language, leurs environnements sociaux et expériences ? Je me pose la question… | Personnellement, j’ai apprécié votre style « audacieux » - cette grammaire volontairement bousculée qui donne au texte une énergie brute et libre, même si cela peut dérouter ceux qui attendent une structure plus formelle. | Décidément, chacun trouve sa place hein ! Que dire de plus…
Publié le 27 Août 2025
3
Le style et l’ambiance du roman m’ont emporté comme une odeur particulière qu’on renifle dans la rue, jusqu’à en trouver la source. Les dialogues, les descriptions, les introspections sont vivants — on se croirait dans un film. J’ai particulièrement aimé les thèmes abordés : la misère sociale et ses conséquences, la pression familiale et la survie, le trafic et sa réalité impitoyable, la manipulation, la trahison et la morale dans les univers illégaux, le poids du sacrifice et de la culpabilité, ainsi que le combat intérieur entre espoir, vengeance et rédemption. Cependant, dès le 14ième chapitre, j’ai été frappé par une lourdeur de lecture due à la densité d’informations — certes réalistes, mais un peu trop abondantes pour le lecteur — ainsi qu’à certaines répétitions d’idées. Vous avez une fâcheuse habitude d’utiliser trop souvent le « silencieux » : l’homme silencieux, l’appartement silencieux, la cuisine silencieuse, le regard silencieux, le témoin silencieux…(lol) Dans l’attente de discuter de votre prochain projet, Dylan-Jo
Publié le 13 Août 2025
3
Ce texte théâtral propose un regard cru et parfois drôle sur la complexité des êtres humains confrontés à leurs vérités intimes dans un monde qui semble mécanique. Les salles (7,5,3,1 ) incarnent des espaces métaphoriques de l’âme, de la conscience où les personnages sont forcés à l’introspection, à la reconnaissance de leurs blessures. L’absence de sortie traduit le confinement psychique, l’impossibilité d’échapper à soi-même avant d’avoir fait la paix avec ses désirs, peurs et regrets. Le personnage de Loulou est marqué par une dualité entre une sorte de résignation triste et une forme d’espièglerie mélancolique. L’IA, personnage omniprésent. La voix symbolise le programme qui régit le purgatoire émotionnel, elle est à fois guide, et un juge froid, déshumanisé. Merci de nous avoir permis de faire un téléchargement.
Publié le 10 Août 2025
2.01
Certaines de vos réflexions sont très profondes. Cependant, dire « arrêtez de juger les gens » est une posture qui appelle à la tolérance, à la bienveillance et à la remise en question des préjugés. C’est une invitation à dépasser les clivages simplistes et à accueillir la diversité humaine. Être contre le fait que les homosexuels se manifestent ou revendiquent leurs droits dans un monde qui « tâtonne dans le jeu de la dualité, qui invente des règlements auxquels il donne le nom de lois » révèle une limite à cette tolérance. Cela revient à dire que, malgré votre volonté d’« éveil », certains groupes ne mériteraient pas la même acceptation sociale ou politique. Merci pour ce partage et plein de succès.
Publié le 11 Juillet 2025

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