FANNY DUMOND

Bonsoir Dany. Votre récit fort bien écrit ne m'a pas laissée indifférente ; tous les jours, à vingt mètres de chez moi, les vaches et leurs petits viennent quémander une caresse et j'évite de penser à leur triste sort. Et quand le fermier vient les chercher avec son camion, ils rechignent à y monter et cela me fend le cœur. Je loue votre empathie. Si les animaux pouvaient parler, je pense qu'ils nous donneraient de sacrées leçons sur nos comportements "humains". Amicalement. Fanny

@zultabix, votre texte bouleversant me ramène à la chanson de Goldman et à ce passage en particulier : "Elle aimait sa poupée elle aimait ses amis Surtout Ruth et surtout Jérémie Et ils se marieraient un jour peut-être à Varsovie". Que dire de plus ? Je suis incapable de trouver mes mots.

@Luka Renault, j'ai eu grand plaisir à vous retrouver. Au fil du temps votre rêve va devenir réalité. Je suis rassurée de constater qu'il reste quelques jeunes maîtrisant l'orthographe ;-) Quelques coquilles mais rien de bien méchant, en vous relisant je suis certaine que vous les dénicherez. J'ai beaucoup aimé "la note" ; votre culture musicale est remarquable. Je continue ma lecture, je me suis arrêtée au "collège" qui à mon humble avis est un peu "bavard". Il faut apprendre à élaguer pour obtenir la concision. Je sens en vous un jeune homme plein d'humilité c'est donc pour cette raison que je me permets ces petits conseils amicaux. Fanny (écriveuse en herbe).

@Tonia, je me suis régalée à lire vos chroniques. Je pourrais commenter chacune de vos phrases tant elles me parlent. Vaste sujet sur la bêtise humaine que vous pourriez développer notamment sur la nouvelle mode du "mangeons bio". (lors d'un reportage télé j'ai vu un agriculteur ventant ses cultures en bordure d'une autoroute). Les deux premières chroniques m'ont ramenée à notre bon vieux temps où tout était mieux ;-) quand on se parlait encore de vive voix. Le téléphone était chez l'épicier du coin en cas d'extrême urgence. Lorsque j'explique à mes petites filles que je n'avais pas la télé elles en restent ébahies. Merci pour ces chroniques fort bien écrites au demeurant. La petite pointe d'humour est, je pense, ce qui nous reste pour ne pas sombrer dans le désespoir. Cordialement. Fanny

Je ne comprends pas le début de votre synopsis. Un nom de famille n'est pas donné par ses parents, il est héréditaire. Quant au prénom, c'est une autre histoire qui fait débat depuis quelque temps. J'ai lu votre nouvelle prometteuse au début mais qui m'a un tantinet lassée à partir de la crise de folie du personnage. Le trait est un peu trop forcé pour expliquer les aberrations de la justice, mais ce n'est que mon humble avis de lectrice qui aime la concision. Lorsque je commence de lire en diagonale, en général, ce n'est pas bon signe ;-) Bravo quand même pour l'idée de ce texte et bonne continuation dans la belle aventure de l'écriture.