C’est vrai, parfois les rêves sont farfelus. Encore faut-il se les rappeler au réveil. Et savoir les écrire. D’évidence, votre mémoire est précise et votre écriture imagée pour nous transposer dans une ambiance « Bad luck à El Paso ».

Oui, on est dans du polar « lourd » ici. Pas de fioritures. Le tueur tue, on n’a aucun doute là-dessus. L’enquêteur doute et on n’a pas de doute non plus qu’il va trouver. Sauf que le récit n'est pas binaire ni un long fleuve tranquille du tout !

Un grand roman, digne des meilleurs bestsellers. Tout y est : le mystique, le religieux, le surnaturel… L’amour aussi ! Et le trouble que laisse cette lecture quand on ferme la dernière page. Magnifique travail.

« Un talent à la Dan Brown ». « Dans la lignée des grandes énigmes jamais résolues » ! Voilà quelques titres aguicheurs qui pourraient saluer votre récit, plein de mystères et d’une belle écriture qui nous fait tourner les pages avec curiosité.

Ah oui, c’est ça : « old school ». Avec au moins trois des qualités qui font un bon polar. La précision du langage, des descriptions, de l’enchaînement des infos. Des personnages dont le caractère est maîtrisé. Et cerise sur le gâteau, non pas un, mais trois suspenses qui tiennent le fil. (ps : kolossale erreur p 104, qui n’est pas répétée p 177 où vous avez bien écrit Alfa… !)