Laurance Tallergé

Dans ce texte aux accents de Giono, âpre et généreux à la fois, on sent l’amour immodéré pour votre « pays » et l’envie de le faire découvrir. Il a toutefois besoin d’être retouché. (Pagination, « coquilles », tournures…) Bonne continuation.

@Isabelle Blackeney", Un recueil de poèmes possédant du charme. J'ai surtout apprécié "le hasard" "Le grenier", "Mélange", et le calligramme "Papa", mais le reste n'est pas dénué de beauté, c'est juste personnel. Quelques fautes d'orthographe. (Vous n' êtes pas la seule). Permettez-moi un petit conseil : comptez vos pieds dans les vers. Perso je les compte sur mes doigts en récitant. Vous pouvez aussi, pour parfaire la qualité, vous appuyer sur les grands auteurs en poésie classique, si belle mais difficile! Cela ferait monter vos textes en qualité, on sent chez vous une âme poétique à cultiver.

Un témoignage poignant sur un sujet qui n'en finit hélas pas de faire couler l'encre. Le slam est un moyen convenant bien à la surprise horrifiée après le difficile aveu ou la choquante découverte.

Un texte basé sur la mythologie ne peut se passer d’une belle écriture soignée, sans quoi sa lecture est difficile. Merci à vous pour cette belle fable aux enseignements toujours d’actualité. Bravo aussi à l’illustrateur Jan qui grâce à son talent rend l’histoire encore plus plaisante.

Vos vers sont fluides, simples et forts à la fois. Le travail d’écriture ne se voit pas mais je me doute qu’il fut exigeant. J’ai adoré « La statue »…ainsi que Le pommier, parmi d’autres. Enfance et Détresse sont bouleversants. Sympathiques anniversaires ! Et bien sûr LE VOILE. (« Qu’on impose à la femme au pays que j’habite.») Dans votre réflexion « Requête à Léon », tout est vrai et très bien décrit, avec humour. Quant au 2 réveillons, moi je les trouve tous deux très bons, même si le second est plus « posé ». Vous êtes un poète humble se fondant dans les décors et les situations et surtout, vous avez la capacité de les restituer précisément et de nous offrir en lisant ces mêmes sensations que vous éprouvez. C'est beau.