"Les hommes qui avaient peur des femmes" est un livre brutal, souvent insoutenable qui s'éclaire parfois de pages d'amour limpides, d'images dorées comme un lever de soleil, optimiste, presque. L'espoir se profile, mais c'est pour mieux vous rattraper par les pieds et vous trainer au fond de la désespérance. La désespérance, c'est peut-être le seul état qui permette de s'approcher et de comprendre l'âme humaine. Mo Rezkallah en fait son carburant.