Dans le but de rendre une certaine crédibilité plus spontanée aux lecteurs, aux amoureux de la poésie, l’auteur fait une exigence en tenant compte du charme qui est toutefois structuré et surtout pacifique.
Toutefois, il est submergé par un son qui se propage à l’intérim du précurseur. Sa tendance s’intègre lorsque la lecture est de plus en plus rationnelle.
ROSE DE FEU prend une ampleur qui se préconise par une stigmatisation à long terme, Sa structure si dorée n’est nul autre que le signe d’une analogie partiellement connivée. En ce qui concerne la thématique de ses phrases, le canal est accentué de manière à rendre la lecture plus hermétique.
Ce livre est noté par
Ça m’a fait penser à Basquiat, du structuré déstructuré.
@Frieda Pouffe, merci à vous
@Catarina Viti, merci à vous, soyez béni. je publierai un autre livre.
@Yves Aubry, je te remercie beaucoup et que Dieu te bénisse.
@jean-pierre LAURIER, j 'ai lu ton message et j'en ferai mieux la prochaine fois, merci à toi
@Frieda Pouffe, @Catarina Viti et les autres, notre auteur aura au moins suscité quelques drôles échanges ! Donc au vu des commentaires, je me dis que c'est peut-être du second (ou troisième ) degré et qu'il existe une application que je n'ai pas trouvé sur Play Store, permettant de malaxer le dictionnaire....pourtant, je suis d'accord avec Catarina, la poésie doit être interprétable à sa guise, on doit y voir (sans jeu de mots !) ce que l'on a envie d'y voir...mais il y a des limites et nous ne sommes quand-même pas des étourneaux !...je me dis aussi que l'auteur est sûrement sourd et aveugle, pardon, malentendant et non-voyant puisqu'il ne prend pas la peine de répondre...il me parait aussi non-intelligible et je lui suggère d'ajouter à ses écrits, un peu de farine, quelques épices, porter le tout à ébullition et ensuite, surtout ne pas oublier de tirer la chasse...
@Frieda Pouffe. Mais non, Frieda la blonde, ce n'est pas lancé au hasard. Encore que Dieu, paraît-il, aurait lui-même lancé ses dés au hasard, et voyez le résultat.
Mais foin de comparaison odieuse, ce que vous prenez ici pour du hasard (j'en parie ma petite culotte en coton bleu contre votre grand slip jaune) est un filon, dont les arcanes vous demeurent impénétrables.
Enfin, ce que je me dis, c'est que monsieur Fokam doit nous trouver bien irrécupérables. Et il n'aurait pas vraiment tort. Si ? Non ?
Hep ! @Frieda Pouffe. Faites gaffe tout de même : certains peintres académiques se gaussèrent des fauves. Et vous savez que si j'ai laissé un message à ce jeune homme, ce n'est pas par réaction épinière, mais parce que j'ai lu précisément plusieurs de ses textes, et que j'y ai entendu des airs rares - assez rares pour être salués. Mais il est vrai que, chaque matin, je douche mes neurones à la décoction de sarriette, dont les propriétés aseptisantes et énergétiques (cholagogues tanbien) ne sont plus à démontrer. Brèfle, je vous recommande chaudement de libérer vos synapses, vous découvrirez alors que l'univers est vaste, et que le français d'Afrique peut vous servir quelques épiphanies.
Mais c'est ce que j'en dis et puis c'est tout. Vous savez, j'ai tant à faire par ailleurs... Je vous embrasse. Une fois n'est pas coutume.
Poète, vous l'êtes. En tout cas, pour moi, cela ne fait aucun doute.
Plus que tout autre être, et surtout plus que tout écrivain, le poète est celui qui s'affranchit de la pensée (donc, de la société) pour mieux faire frémir la langue.
Le poète marche sur les crêtes, et si l'on comprend ce qu'il dit, c'est qu'alors il a failli à sa tâche véritable.
Mais l'on parle, ici, de gens qui n'ont plus cours.
De nos jours, et depuis longtemps, les pauhètes pensent avoir fait le boulot quand ils ont versifié.
"Le ressort est prémisse
à l'œil nu du jacassement"
c'est de vous, je l'ai noté.
Merci pour le partage.