La femme du carnet à dessin

@Denis Bichet
L'écriture est faite pour s'évader dans un monde du possible et de l'impossible....
Je crois aussi que tout homme est capable de faire la différence entre une femme audacieuse et une femme facile.
Ici, Mona est dans le fantasme et la rêverie.
Merci Denis d'avoir pris le temps de me lire et d'avoir partagé vos impressions !

@Philippe Clausels
Merci ! C'est toujours un plaisir d'avoir un retour des impressions à la lecture de mon écrit.
Et partante pour découvrir le vôtre.

Une belle histoire, optimiste... Mais dans la réalité, ce syndrome de la femme amoureuse qui aborde un homme et de l'homme si gentil existe-t-il ? Oui, sans doute, mais si rare, qu'il conduit trois femmes sur quatre à la déception et autant d'hommes emmurés dans leurs réflexes à penser que c'est une fille facile... Le jeu de l'amour est plus complexe. Bien sûr, les mœurs ont grandement évolué et, Dieu merci, les femmes font leur part du boulot, nous draguent, nous abordent, mais avec le risque d'être mal comprises. Si c'est pour une aventure d'un soir ou deux, pas grave... Sinon, bobo…

@Gabrielle LUCAS. Texte bien écrit. Histoire cohérente qui mériterait de devenir un film. J'ai pris du plaisir. Bravo! Vous aurez peut-être la curiosité de lire mon dernier livre ''Un amour scandinave''. A bientôt j'espère.

@Gabrielle LUCAS, si vous êtes comme Mona, rêveuse qui s'enflamme facilement, profitez bien de cet état qui est une des rares choses envers laquelle personne d'autre ne peut interférer, le refuge le plus sûr pour s'y épanouir, y développer son imagination, ses idées les plus folles comme les plus réalistes.
Surtout, que les femmes n'arrêtent pas de rêver. Selon Voltaire : « Dieu n’a créé les femmes que pour apprivoiser les hommes. »
Mona a-t-elle apprivoisé Nathan ? J'en suis persuadé.

@Michel CANAL
Mille mercis pour votre appréciation !
Mona est une femme rêveuse qui s'enflamme à la vue de ce carnet (et de son possesseur ;-))

@Gabrielle LUCAS, un grand plaisir de lecture, à la fois pour le sujet et votre écriture. Pas de doute, on reconnaît toute la subtilité féminine dans la manière de décrire le trouble et le désir. On suit Mona jour après jour à cette terrasse de café, pensée après pensée, son désir de revoir l'homme en noir et son carnet de dessin qui l'ont troublée. Sa longue attente d'abord, puis… mais chut ! Je ne veux rien dévoiler. Vous avez su faire de ce carnet de dessin le personnage central de cette histoire qu'on ne lâche pas jusqu'à la dernière ligne. Merci pour cet agréable moment comme je les aime. Avec toute ma sympathie. MC

@Louis Morot J'ai beaucoup aimé vos remarques. En écrivant (et en lisant), je ne recherche pas un reflet de la réalité. Donner une tournure quasi onirique à la scène nocturne intensifie l'éveil des sens...
Dans la vraie vie, cette femme se serait assise en terrasse, aurait sorti son smartphone et fin de l'histoire! Elle serait passée à côté de sa vie...
Les rencontres improbables existent à condition d'être capable d'accueillir l'inattendu et la différence de l'autre ;-)
Merci Louis !

Trop beau pour être vrai cette histoire, ce sont des rencontres improbables si rares, vous vous exprimez avec des phrases simples, courtes, sans prétention, harmonieuses, tout ce que j’aime. Tout est artistique chez cet homme dessinateur. La pénombre, le silence, un endroit intime, on dirait qu’on est comme sans un rêve tellement les évènements se déroulent de manière idyllique surtout que cet homme a été désiré longtemps. Chaque geste durant cet acte d’amour est décrit de manière précise, tous ces gestes sont délicats, sensuels, prévenants, poétiques. Au travers de votre description, je suis tombé amoureux de cet homme gracieux et précieux, j'aurais moi voulu aussi passé des moments exquis en sa présence, j'aurais voulu qu'il me caresse avec sa grande délicatesse et qu'il fasse de moi son plus grand fan, limite voir même son esclave, bon je rigole, j'exagère mais pas tellement.

@Zoe Florent Un grand merci pour ce retour détaillé !
Être transporté(e) par les sentiments amoureux et se laisser éblouir par l'autre est une éternelle source d'inspiration.
Ce texte est avant tout un hommage déguisé à la fascinante sculpture d'Auguste Clesinger ;-)

@Valérie-Pison Merci Valérie pour ce retour !
Les rencontres amoureuses demeurent un thème inépuisable et les sentiments qui les accompagnent sont intarissables...

@Gabrielle LUCAS très jolie nouvelle portée par une plume douce et féminine. Pulsions et sensations associées y sont magnifiées avec pudeur et sensualité... exercice ô combien difficile... /// J'ai eu une impression partielle de "déjà Lu", sans pouvoir la situer, mais peu importe, cette lecture fut un plaisir. /// Un détail cependant : pour plus de plausibilité, peut-être serait-il judicieux d'envisager un autre croquis, mais toujours de la même femme, lors de la deuxième rencontre. /// Merci pour ce partage qui explore un milieu, et la foule d'émotions associées, que j'affectionne particulièrement. Amicalement, Michèle