
Comment la rencontre fortuite avec sa propre ville dans la mégapole new-yorkaise, va déclencher une petite gueguerre asymétrique pour l’appropriation d’une affiche-icône, célébrant un film-culte. Elle se termine dans une librairie où l’usage d’un vocabulaire “martial”, confine à la parodie.
eMost
Ce livre est noté par
@DENIS BICHET -livre complet-
Merci d’avoir lu mon écrit et de l’avoir trouvé intéressant, cinématographique et nostalgique. Je préfère encore le deuxième adjectif car il rend bien compte d’un style d’écriture propre à un scénario que du reste je préfère. C’est très visible dans ma très courte nouvelle “Résurgences“ (deux pages et demi) que je vous invite vivement à lire.
Concernant l’usage du présent c’est aussi une affaire de goût. Quoique avec le temps présent, dans un récit quelque peu houleux, on se priverait de la “3D” fournie par les différents temps du passé, sans oublier le très contesté imparfait du subjonctif. Mais content que, en relisant la nouvelle au présent, elle vous ait procuré une sensation différente. Un grand merci pour les cœurs.
À très bientôt
Cordialement
eMost
@Hubert
Merci beaucoup.
EMost
@Zoé Florent
Oh ! Trois beaux cœurs ! Les premiers. Merci beaucoup, chère Michèle.
Merci aussi d’avoir apprécié mon style d’écriture. C’est vrai qu’écrire sans contraintes libère notre capacité créative, mais se donner une limite est aussi très formateur et évite les gâchis. Question d’équilibre.
Votre “PS furtif” est pertinent dans la mesure où je reconnais moi-même avoir hésité à “oser” cette tournure largement utilisée par les auteurs du XIXe siècle dans le parler rustique de leurs charmants paysans. Je trouve que, en détonnant un peu comme en “contre-point”, elle renforce le côté pathétique du cri. C’est en effet un ovni mais, venant du passé. Encore mille mercis et à bientôt.
Cordialement
eMost