On s'est tous posé la question un jour. Après. Après que ça ait basculé. Où ? Où était le point de rupture ? Juste avant l'angle mort, qu'est-ce qui avait brillé au coin de la pupille et qu'on avait voulu attraper ? Une paillette d'or qui a tout entraîné. On glisse encore, jusqu'à l'autre bout de l'arc-en-ciel.
Ce livre est noté par
@René Sauvage
Cher René, votre commentaire m'a fait très plaisir. Pour dire les choses comme elles sont. Un scenario télé ! Je dois vous avouer qu'effectivement, lorsque j'avais composé ce texte, à moi-même le final était apparu rapide (trop rapide) et comme cousu de fil blanc. J'ai plusieurs fois pensé le modifier et je me questionne encore aujourd'hui mais d'un autre côté, obscurément, je sens que cette chute, prévisible en effet et assez fade, apporte quelque chose au récit en ce sens que le lecteur goûte, en quelque sorte, à la déception étonnée à laquelle doivent se confronter Boréalis et les membres de son équipe...
Je prends note de votre remarque quoi qu'il en soit et, heureuse de savoir que vous avez passé un bon moment, vous remercie chaleureusement de me l'avoir fait savoir !
Amicalement,
Élizabeth.
C’est un scénario tv ce récit. An tout cas, ça a l’air d’être conçu et écrit pour. Avec une chute possible (parmi d'autres scénarios) !!! et qui aurait peut-être pu être un peu plus ???? inattendue ? Merci en tout cas d’avoir partagé ce bon moment.
@Tijo
Cher Tijo, votre commentaire est tellement éloquent... qu'il se passe de commentaires et moi, j'en reste sans voix. Je vous remercie de tout cœur et suis heureuse d'apprendre que vous avez passé un bon moment !
En vous remerciant de votre intérêt et vous souhaitant toujours de belles découvertes,
Élizabeth.
Je viens de le découvrir, j'adore.
Je l'ai partagé, il doit être lu au maximum.
Cher @Hubert, je n'en reviens pas de récolter déjà un commentaire, la nouvelle publiée depuis une heure à peine ! C'est moi qui vous remercie pour votre lecture et pour la gentillesse de votre analyse. Désolée de vous avoir mis en appétit... sans avoir pensé au dessert.
Bien à vous,
Élizabeth.
Bien mené...On plonge direct, seule la fin nous laisse sur notre faim. Bravo et merci pour le partage