Alix Verne

Biographie

Nous connaissons nos classiques, mon doux ami. « Je présidais cette clarté expirante. Je retrouvais, dans l’ivresse, ces confins où je m’éveillais en félin. La nervure délicate d’un pétale, un flocon, un soubresaut d’hippocampe, dans son vivier… véhiculaient l’écho, l’infini d’une rêverie. » Si, pour vous citer. Je constate, Alix Verne, que même en ce lieu, à cet instant crucial, vous ne manquez pas d’ausculter, d’un coin, vos congénères. Ne le réfutez pas. Je sais bien plus de choses. (Par Angie Morris)

Alix Verne a publié

Alix Verne a noté ces livres

5
Mince, vous savez lire. Et vous savez écrire. Ce n'est pas juste. J'ai téléchargé votre récit. Ce que je regrette. J'aurais préféré l'acheter. Dès les premières lignes... On se réjouit ! Avec votre accord, je souhaiterais faire connaître votre travail. Il ne s'agit pas d'un retour d'ascenseur. Je suis conquis. Je lisais à six ans des Frédéric Dard, dans une bouquinerie parisienne et minuscule. Vous, c'est autre chose. C'est un acquis passionné et littéraire. Vous détenez aussi, naturel, une musicalité. Alix
Publié le 28 Novembre 2023
5
Fort bel esprit, Monsieur !
Publié le 12 Mai 2023
4
Je demeure avide de concepts libres, différents de mes obsessions oniriques. Réaffirmer un genre et lui donner un nom devient nécessaire. La démocratisation des savoirs quantiques le permet. La philofiction apparait juste. Bien... que les chapelles en matière d’arts périssent très vite. Je trouve même qu’il complète ce que je proposai à Michel Ettewiller : « Les intuités. Ce qui définit désormais ceux qui ont la capacité immédiate, sincère, de ressentir des mondes. » Vos synopsis sont des sujets de créations. Le principe et la matière. Bien sûr, l’on retient... Les sœurs de la consolation. Alix
Publié le 24 Février 2023
5
@Michel Ettewiller Non, j'ai trouvé où acheter votre roman. Je le reçois samedi. J'en commanderai deux autres. J'attends les adresses où les envoyer. J'apprécie votre récit. Je vous nommerai à la quatrième page de New-Lutèce. Avec votre accord bien sûr : _ Soit, ravir aux astres l’abjection de notre existence, bigre, sur cette tirade, inachevée, vous paraissez très endeuillé, non ?! Je rappelle, à nos glisseurs, je débats, sur ce village côtier, dans l’Onirix. Un must récréatif. D’aucuns, près de nous, j’insiste, y prétendaient qu’un pêcheur, au lancer, parmi des colonnades, érigées par Raüs, hoquetait déjà cette vaine vérité. Une onde irréfluable dissimulerait son mausolée. Ou, pour le moins, en verre soufflé, une chapelle funéraire. Pire, une cour d’honneur sacrerait sous la calotte glaciaire. Ajoutez-vous à ces fariboles ? _ Ma foi, un commandant, au larynx atrophié, d’une marine marchande, n’en démord pas, tudieu. D’ailleurs, figurez-vous, spirituelle Angie Morris, qu’il existait, dans la Cosmatech de l’Héritière Saugnier, cette œuvre, Data Song, le Jeu des Lunes, par Michel Ettewiller, que je découvre. Permettez-moi de clore. Voici donc, hors du temps, ce lien des Intuités, qui ne peuvent dès lors omettre leur règle, tout ce qu’ils imaginent... existerait. Alix
Publié le 26 Janvier 2023
4
@Philippe Clausels Des paragraphes courts, découpés fraîchement. Avec une sensation rédactionnelle, qui ajoute à la nostalgie. Plutôt bien écrit, d’une candeur paisible, bénéfique. On se transpose. Le « moi, je » haïssable disparaît, dans une éclosion, que je n’imaginais pas charmer. Le sucré-salé des paradis perdus. L’imprévu qui mènera à l’onirisme. Je me remémore qu’en étant soi, on se fait écrivain. Le cauchemar qui advient n’effraie pas. Le temps d’un songe eût été un titre ajusté. On doute parfois, un mauvais trip ? La métaphysique s’y mêle, presque malgré soi. Mémoire synesthésique, je songeais... à ce premier texte d’esprit rimbaldien que j’avais écrit. Une étrangeté cohérente. Offerte aux initiés. Vous êtes un auteur guidé... Donc audacieux et sincère dans son vœu. C’est une qualité à préserver ! Alix
Publié le 09 Octobre 2022

Pages

monBlog

Suivez-moi sur ...

Retrouver mon actualité

Non. Ah ! L’étonnement n’était jamais trop loin. Jusqu’à cette colère. Comment ne pas s’interroger, ce reflet sur des nattes rousses, puis des lutteurs plastronnant, dans une grange ? Sous la torpeur lumineuse, cette flaque aussi, épaisse de mazout, qui piège, anodine, dans une mécanique inégale, les pattes des hérons. Oooh ! La beauté… Pourquoi la définir ? Je la puise dans la mollesse d’un vaisseau, le bienfondé, parfois, d’une équation. Au brasier d’un combat. Parmi les pachydermes qui barrissent dans cette savane étiolée par vos soins. Écharde utile aux mondes… Je ne saurais comprendre hors de sa chimie son apport extatique. Près d’une pyramide ensablée, j’avais été troublé un soir par cette ossature métallique, une catastrophe au napalm. Mais, je réentendais ce flot chevrotant, qui horripilait vos autorités. Ce Veilleur, ce libertaire, dans leur technopole ?!

En savoir plus

Découvrez ma vidéo

Ma vidéo: 
A lire dans les actualités