J. DYKENS

J'ai vraiment beaucoup apprécié votre extrait, et la suite fut un véritable plaisir à lire également. Merci.

J'ai trouvé votre ouvrage intéressant à plus d'un titre. Notre éducation religieuse commence dès notre plus tendre enfance, où l’on ne possède aucun repère réellement structuré, puisque nous n'avons ni savoir, ni expérience, contraints de nous en remettre à nos parents, à l'autorité religieuse ambiante. De tout temps l'homme a eu besoin de s'expliquer les choses en fonction de la manière dont il pense et perçoit celles-ci mais surtout, de le faire en fonction de ses intérêts personnels et une fois ces intérêts bien définis, il devint alors plus facile de comprendre la démarche philosophique de chacun. Certes, chacun d’entre nous est libre de croire en ce qu’il veut, à condition toutefois qu’il ne cherche pas à imposer ses propres croyances à autrui, ou de l'influencer dans ses choix, ce qui reviendrait à porter ainsi atteinte à son libre arbitre. Cordialement.

Je ne peux qu'apprécier cette histoire très similaire à celle que je viens de vivre avec une femme de dix années de moins que moi. Une relation en aveugle qui dura près de huit mois et qui prit fin en octobre 2015 lorsqu'elle fut découverte morte chez elle des suites d'une rupture d'anévrisme. Nous devions nous rencontrer pour la première fois une semaine plus tard. Elle était enseignante, tout comme moi. Comme Claire, Caroline tenait un journal intime que j'ai récupéré le jour de ses obsèques aux quelles j'ai assisté. Bonne année 2016 et j'attends de vous lire à nouveau.

J'avoue avoir du mal à trouver les mots justes pour décrire le sentiment que j'ai éprouvé en vous lisant, tant l'histoire m'a bouleversé. Sans aucun doute l'un des plus beaux ouvrages qu'il m'a été donné de lire à ce jour, je vous en remercie.

Courent, volent carambolent les vers à l'envers à l'endroit, renversant. J'aime la façon dont vous faites l'aveu d'un amour si précieux. Bravo. J'espère vous relire bientôt.