C’est un récit curieux à lire. Il y a toujours une part de nostalgie dans les témoignages et une dureté quand on les voit avec des yeux d’aujourd’hui, où la vie est moins… virile. J’ai aimé la période tahitienne, exotique, inconnue. Moins les rappels de la petite et grande histoire de la France d’après-guerre (même s’ils faisaient partis des carnets de Pierre !), qu’on ne peut éviter de trouver un peu caricaturaux, même si on sait que cela se passait comme ça. Mais c’est un beau témoignage, merci pour ce partage.
Publié le 27 Juin 2018