Bravo ! Beau récit, un rien nostalgique. Mais un tout magnifique.

Seul un scientifique philosophe peut déployer à ce point son imagination débridée et hilarante pour chercher un sens à la vie. Qui a dit « je ne cherche pas, je trouve » ? Bravo et merci pour ce bon moment de science-fiction.

Chapeau bas ! Un oubli enfin réparé. Magistrale catalogue raisonné des cahiers des fesses du cinéma (par un grand connaisseur des unes et de l’autre). Quel magnifique cadeau vous nous faites. PS. Vos analyses et références cinématographiques sont fines et souvent drôles. PS2. Evidemment, il faut un classement, et le votre est alphabétique. Dont le principal inconvénient… c’est que le Mépris soit en page 321 (avouez ! la plus belle scène de fesses, non ?) PS3. Genre « érotique », vous êtes sûr ?

C’est assez « marrant » de lire la vie - l’œuvre - le satisfecit de Marc. Il y a du Sullitzer dans l’air. Et donc un côté 1990 à la mode d’aujourd’hui assez rafraichissant. Bien vu. Bon rythme. Belle intrigue. (à laquelle vous pourriez ôter quelques clichés qui ne servent pas forcément le récit)

Beau, troublant et déchirant. Une ode à l’homme écrit avec la sensibilité exacerbée d’une femme.