Le recueil des Fantômes

Ajouté ce jour au "recueil des Fantômes" :

"Le diptyque de l'Apocalypse"

- "La présomption des rats" ("Le Livre le +" décembre 2023)
- "Les profanateurs de la République"

1ère partie : "La présomption des rats"

"Impressionnant par la férocité tranquille, l'absurde noir et la maîtrise du style à peine décalé // Très hilarant, casting top ! // Férocement drôle et parodique, prophétique et visionnaire" (avis ailleurs)
"Délirant !" Elran Valceka
"Histoire délurée, personnages déjantés, humour décalé et trash, multiplications des mortalités. Des tableaux fantasques et fantasmatiques qui nous entraîne dans un monde mortifère vers une fin métaphorique. C'est excellent" Stog
"Je me suis immédiatement retrouvé accaparé dès les premiers mots par cette histoire peu habituelle par rapport à mes lectures. L'écriture est maîtrisée, voire brillante, et le sujet s'avère être une agréable découverte :) J'ai surtout beaucoup ri, appréciant l'humour décalé, l'ironie et l'incongruité des situations. Bravo pour ce voyage inattendu dans un univers un peu glauque, mais parfaitement distillé." GS Wilson
"Humour crash" ne suffit pas à qualifier cet écrit. Smuff-movie, parricide maquillé en scènes de sexe, crimes accidentels ou pas, satyres à la sortie du lycée, massacre sur un tournage de film porno construisent un petit monde clos fondé sur sexe pornographie et hémoglobine. C'est bien, c'est drôle mais c'est bien aussi quand ça s'arrête :-))" bernadetteL
"Plongée dans le monde insolite des Peep show,, des cinés pornos, des exhibe et des travestis. Une galerie de portraits désopilantes aux caractères bien déjantés. Ne faire confiance à personne, même si l'amour peut se profiler derrière le comptoir des sex toys. On se marre" Sarah Pep's

2ème partie : "Les profanateurs de la République"

"Il y a des accélérés affolants. Satire jubilatoire où on perd plaisamment le fil, dans des flashés pasoliniens, zapping de personnages au pays des chanteurs, le film de la république est introuvable car partout, tous mouillés de noir... Code du néo-polar passé à la moulinette d'une rage tranquille..." (avis ailleurs)
"Le premier détonateur dramatique de ce roman fait penser au suicide de Pierre Bérégovoy, premier Ministre de François Mitterrand. Son style fluide et elliptique et surtout le ton évoquent avec efficacité la prosternation des hommes politiques devant les lois de l'audiovisuel. Ils se sont dénudés, exhibés et ont vendu leur âme au graveleux et au grossier. Dans une vaste métaphore, ce roman pousse cette logique à son paroxysme : le cynisme et le crime. Sa lecture est hygiénique." Eric M
"Ah oui, très étrange… Pas le récit, probablement pas tant fiction que ça, mais la manière, cet espèce d’humour décalé que vous entretenez, comme si l’ironie était l'évidence de ce monde là. Ça m’a troublé, dérangé, et probablement perturbé ! pour suivre le cours de votre perception perspicace." MartinM

Ajouté ce jour au "Recueil des Fantômes" :

"Le triptyque de la Résistance"
3 microfictions contre l’intelligence artificielle dans la création littéraire.

Enchanté de ce commentaire incroyable, merci beaucoup @alain.lamoliatte , et félicitations pour votre mise en avant. Toujours aussi percutante votre écriture, je viens de lire les 20 premières pages et c'était difficile de sortir mes yeux de l'écran. Dangereux votre texte. Bravo à vous.

Bonjour cortex, tel le bourgeois gentilhomme peut-être ne saviez vous pas que vous faisiez de la prose. Mais votre prose est de la poésie. Je ne saurais dire quelle histoire je préfère car elle sont toutes magnifiques. Par le biais des fantômes, vous donnez une image plus acceptable de la mort. On sourit, on rit et on est submergé par l'émotion. C'est tout ce que l'on demande à un beau et grand texte, ce qu'est votre recueil. Merci de nous faire passer de si beaux moments. Alain.

Bien vous en a pris sans doute :) merci de saluer cette visibilité des fantômes... à bientôt @Valérie Pison

Félicitations, @cortex, pour cette mise en avant de ce recueil. Pardon pour ce retard , j’avais déserté mon ordinateur pour les vacances !

Quelle évocation... j'avais l'intention de changer l'ordre des histoires, mais je ne le ferai pas, de crainte d'enrayer le charme de votre lecture. Merci chère Vanessa Michel, et de ce commentaire intimidant, et des suggestions que vous m'avez soufflées (on n'est pas loin d'une fantômette :) - comme la mise au féminin de cette "perle de rosée sur l'oreiller", et bien d'autres choses encore. Une muse ou une fantômette ? À bientôt @Vanessa Michel

J'ai adoré redécouvrir la splendide « Perle de rosée...» que je trouve, j'ignore pourquoi, tellement plus émouvante encore au féminin. Un grand plaisir que ce recueil, un gigantesque bouquet de fleurs où quantité d'arômes, de couleurs et de formes, parfois opposés, s'harmonisent en la plus charmante, unique et variée des compositions : la vôtre. Bonne journée Monsieur Cortex !

Merci chère Michèle de votre soutien. Ravi aussi d'avoir appris que mes fantômes ont motivé l'écriture de votre émouvant "Pépé", dont je recommande la lecture à tous les visiteurs de cette page! À bientôt... @Zoé Florent

Trois coeurs les yeux fermés, puisque je me suis déjà régalée à chaque parution individuelle de ces nouvelles, et une chaleureuse recommandation de lecture à ceux qui ne les auraient pas lues, doublée d'une plus chaleureuse encore à ceux qui ne connaissent pas votre style aussi singulier qu'enchanteur (lisez "Olivia"!). À bientôt, je l'espère, et bonne continuation, cher @Cortex ! Amicalement, Michèle

Merci pour ce long commentaire qui détaille une lecture très enrichissante pour l'auteur :) avec une conclusion que j'approuve bien sûr. Ravi que le fond comme la forme vous aient autant convaincu que touché. Un beau témoignage de lecture @Pascal.S

Avec une bien jolie écriture, utilisant pour mon vrai plaisir des métaphores et des symboles animaliers et des descriptifs minutieux et créatifs pour faire passer vos idées et croyances sur la mort et notamment sur l’idée que l'humain laisser derrière lui une trace qui, peut prendre différentes formes. Je pense notamment à cet homme décédé réincarné en chien féroce. J’ai particulièrement apprécié ce passage durant lequel vous comparez un paysage à une femme qui s’affiche dans sa nudité la plus exquise en lavant ses blessures. Vous invitez et invoquez la mort sous différentes formes notamment au travers de cette scène forte et poignante durant laquelle une femme vient se blottir dans les bras de son mari éploré qui l'avait perdue. «  Notre humanité ne comprenait que ce dont elle disposait et nous ne nous disposions pas de cette dimension céleste qui fait les anges et les démons » «  nous ne savions rien de ce monde qui habitait les âmes ». Ces phrases m’ont fait penser à la formulation de Saint Paul aux Romains «  les voies du seigneur sont impénétrables » car nous humains nous sommes trop "petits" pour comprendre les voies célestes.