antarabdelaziz8

Bonjour @gaspard-off, J'ai lu avec plaisir le monologue de votre personnage en préambule à son spectacle. Sa confiance béate et son immodestie ne m'ont à aucun moment agacé. Bien au contraire, elles m'ont beaucoup amusé. Il était évident que la conclusion allait être catastrophique. L'humour est l'art de se moquer de soi-même. Merci pour cet agréable partage et bon week-end !

Bonjour @ Janny Plessis Quelle triste histoire que celle de Slim ! Vous décrivez bien la tragique situation de ces maghrébins englués dans des quartiers qui ne leur laissent aucune échappatoire. Quelle que puisse être leur farouche volonté de s’en sortir, ils se heurteront à l’hostilité de ceux-là mêmes qui devraient leur tendre une perche. Les préjugés leur enfoncent la tête sous l’eau (cf. monsieur Martin). Mais tout est lié. Il n’y a pas de méchants Beurs ni de méchants Français. Il y a seulement des conditions indignes auxquelles les responsables devraient réfléchir et remédier. A mon avis, si les habitants des cités se sentent moins ostracisés, si leur environnement est réhabilité, si des perspectives leur sont offertes, il y aurait moins d’agressivité, et moins de pseudo éducateurs tels que monsieur Martin. La voie est simple et tout est une question de bonne volonté, de bonne politique. Merci Janny Plessis d’avoir parlé de ce sujet douloureux et bonne fin de journée !

Bonjour @Vanessa Michel Ta nouvelle est savoureuse ! Je l’ai croquée comme un biscuit. Le ton est alerte, débordant d’humour et n’épargne pas les hommes, qui restent (et c’est tant pis pour eux !) friands de chair fraîche même quand ils n’ont plus de dents. J’ai aimé ce style à minima, familier, cinglant, où l’idée fuse sans être entravée de mots superflus. « L’âge ne compte pas », un adage inventé par les hommes, pour les hommes. Ils en ont tellement usé et abusé que, maintenant que le vent a tourné, ils n’en reviennent pas et se sentent escroqués, en souffrent lamentablement. Les pauvres ! On a presque pitié d’eux ! Merci pour le partage et bonne journée ! Antar.

Bravo ! @galodarsac pour ce poème bien inspiré où on voit " les yeux qui volent vers le ciel " et le " marcheur presque mort " qui va se ressourcer dans sa montagne. La nature est toujours là, immuable, prête à nous consoler de la vie. Merci pour ce partage !