
Marc, brillant professeur d’université, enseigne l’économie depuis 25 ans. Un drame personnel a rendu sa vie sans intérêt. Par ailleurs, Il regarde la planète avec effarement et ne croit plus à ce qu’il enseigne. Une rencontre lui fait prendre conscience de la médiocrité de son existence, dans l’espace inhumain des grandes villes. Il décide de réagir mais avant, il va parler à ses élèves et leur décrire la situation réelle de la planète aujourd’hui et des dangers qui compromettent la survie de l’homme. Ensuite, il mettra en œuvre ses projets.
Le récit est une histoire d’amour dans un monde en perdition, et pose la question de la capacité de l’humain à réagir face à une situation qui s’annonce dramatique.
Ce livre est noté par
Au terme de quatre mois de présence sur ce site, je remercie tous mes lecteurs pour s'être intéressés à ce sujet important pour nos futures générations. J'ai apprécié vos commentaires et remarques constructives. J'ai accepté le téléchargement pour favoriser sa diffusion. Je ne cherche pas à gagner de l'argent avec ce livre, je voudrais que les jeunes prennent conscience qu'ils ont en main le pouvoir de sauver ou détruire le monde dans lequel ils vivent. Chacun d'entre nous peut participer à sa manière à la diffusion du livre, c'est à chaque fois une petite pierre à l'édifice de la sauvergarde de l'humanité
@Dominique Laurent
Merci pour vos commentaires intéressants et utiles au débat. Je suis navré pour les quelques coquilles qui ont échappées aux relectures. Difficile d'être parfait !! je vais y remédier. Dans mon livre, j'ai mis en avant les risques planétaires réels et incontestables, dont le déréglement climatique, mais pas que. D'autres risques majeurs existent mais l'information est bloquée. Par contre je ne peux prévoir les conséquences sociétales , puisqu'elles dépendent de tellements de paramètres que tout peut arriver n'importe quand. Par exemple qui aurait prédit il y a un an la crise mondiale sanitaire dont les conséquences sont loin d'être finies ? La dégradation de toutes nos valeurs, y compris des libertés, est en cours et la vitesse de destruction dépendra de la réaction des peuples ( et non de leurs dirigeants, qui ne pensent qu'aux élections). Einstein disait : " On ne peut demander de résoudre des problèmes à ceux qui les ont créés" !!
bonne chance pour votre livre qui démarre bien !!!
Oui. Tout cela est d'autant plus idiot que notre avenir collectif dépend pour grande partie du "retour à la Terre". Mais la difficulté est de remonter un courant que nous n'avons cessé de descendre depuis le plan Marshall et qui maintenant est un tobogan savonné. L'american way of life, tous pionniers, mais individualistes avant tout. Comment retrouver le lien ? Telle est la question. Le lien tous azimuts (ce qui nous ramène au temps d'un divorce bien plus ancien... centenaire... millénaire). On n'a plus le temps pour tout ça. Peut-être est-ce un modèle de "double bind" (double contrainte) : tu le fais pas, tu crèves; tu le fais, tu crèves aussi. Moi, j'ai décidé depuis plus de 20 ans de le faire. Même si ça ne sert à rien (pour la société). Comme on dit, hein : au cul la balayette. Au moins, je me sens en accord avec Bibi. Je ne laisserai pas de remords derrière moi, en quittant le stade.
Votre réponse à mon commentaire me prête à penser que votre bouquin, là, c'est le tome 1, votre tour de chauffe, en somme.
Je lirai le 2
Promis, juré
@Catarina
J'ai beaucoup aimé vos commentaires et au risque de vous surprendre ,j'ai pris grand plaisir à les lire et je suis totalement d'accord avec vous. Mon livre , parfois un peu volontairement provocateur incite au débat et à la réaction. Les solutions existent et elles sont évoquées, mais pour qu'elles soient applicables, il faut que l'ensemble des décideurs la planète les acceptent et les mettent en oeuvre, ce qui est très loin d'être le cas. J'aborde le sujet des voitures électriques qui sont un leurre pour cacher la non volonté d'agir, parce que les intérêts financiers sont trop importants. En ce qui concerne l'exode des parisiens et habitants des grandes villes, je suis encore d'accord avec vous. Les grandes villes sont surpeuplées, et les campagnes désertées. Le transfert nécessaire doit se faire pour redonner de l'activité aux territoires oubliés, mais pas comme actuellement. L'exode en résidences secondaires est une calamité pour la vie des villages. Venir repeupler les villages oui, mais à la condition d'y vivre toute l'année, participer activement à la vie locale, et d'apporter une valeur ajoutée. Le Covid apparu après la sortie de mon livre, renforce cette idée. Tous ceux qui ont fui les grandes villes pour se réfugier dans leurs résidences secondaires ont montré l'absurdité du système. J'ai compris que vous vivez heureuse dans votre belle région, et vous connaissez bien la problèmatique . Pour que le bonheur soit dans le prè, il faut que ceux qui entretiennent le pré puissent en vivre , et là on ne va pas dans le bon sens !
Merci encore pour votre partage
@Thomas
Merci pour votre commentaire. Je ne sais pas si je suis un visionnaire, j'essaye de regarder le monde et ceux qui nous gouvernent avec ce qui manque le plus aujourd'hui: Le bon sens !!!
Bonjour,
J'ai surtout apprécié les pages consacrées aux conférences données par le professeur. Un résumé de la situation actuelle. Le reste n'a pas retenu mon attention.
Je pense que la force de votre texte réside dans cette analyse.
*
En revanche, et comme toujours quand je me lance dans ce genre de lecture, j'ai fouillé votre livre à la recherche des "solutions" possibles. Et là... aïe ! ouille ! aïe, aïe, aïe !
Par pitié ne mettez pas dans la tête des "parisiens" que le bonheur les attend en Quercy. Pitié.
Car voici un dommage collatéral qui, celui-ci, ne se fait pas attendre. Après le débarquement des anglais dans notre région, voici celui des citadins. Résultat : des abrutis payent sans sourciller des fortunes pour des biens qui ne valaient pas le tiers du quart de moitié de la somme. Un nombre croissant d'ahuris débarquent et font exploser les prix. Tous les prix (nourriture, biens et services). Ici et là fleurissent des gîtes, des maisons d'hôtes, on ne sait plus qu'en faire. Et une fois que ces messieurs dames ont pigé qu'ils n'ont rien compris, ils remettent en vente leur tas de pierres à de nouveaux couillons prêts à payer plus cher encore.
Oui, certes, certes, diantre... oui, je généralise peut-être un peu...
Non, en fait, je parle de mon environnement immédiat que je connais très bien.
Je le décris.
S'insérer dans le mode rural aujourd'hui, ce n'est pas signer des chèques et attendre les touristes Belges. De plus en plus de jeunes cherchent à s'établir, c'est vers eux qu'il faut regarder : porteurs de projets à long terme, des trucs réellement pensés pour les trente prochaines année, intelligents, complexes, tout y est : les énergies, les ressources, les moyens, les perspectives, les voies de secours, tout y est, des dossiers jusqu'au plafond, croisement de multiples savoir-faire, présent, passé, intergénérationnels, maillage avec le terrain, multidimensionnels -économique, environnemental, social, sanitaire, technologique, etc. Des années de préparation, de réflexion, d'échanges, de recherche de parrainage. Bref du solide.
Mais pour cela, encore est-il nécessaire qu'ils puissent trouver des lieux aux prix "avant Covid" : une bouchée de pain. Le prix du travail à venir, quoi.
Mais vous avez peut-être raison, et je déconne à plein tube : le bonheur est encore dans le pré... mais plus pour très longtemps, au train où vont les choses.
Voilà, voilà... merci pour le partage.
@François Xavier
Merci pour votre commentaire. Vous avez bien compris l'enjeu pour l'humanité! Le monde peut vivre sans l'homme et a vécu très longtemps sans l'homme ! La surpopulation qui est un des thèmes du livre, se réglera comme la nature sait le faire avec les animaux : La famine, la maladie et la guerre ! Mais les risques sont bien plus nombreux et tous les risques cumulés ne donnent pas beaucoup d'espoir à l'humanité si elle ne se remue pas un peu !
@ Kroussar
J'ai lu votre commentaire avec beaucoup d'émotion. Je vous remercie pour votre analyse et je suis d'autant plus sensible que je venais de choisir votre roman pour ma prochaine lecture. Vous avez remarqué que parmi les évènements qui s'accumulent en 2020, certains étaient prévus dans mon livre, alors qu'il fut écrit en 2019 , avant la covid 19 !
Je suis confus que quelques coquilles soient restées malgré les relectures et filtrages. Merci de me l'avoir signalé, je vais y remédier.
Merci encore , et je ne manquerai par de lire votre nouvelle
@Jean Michel Nivet
/n
J'ai dévoré votre roman et aimé votre analyse sur les causes principales qui menacent la planète, car vous avez l'art de nous conter (prédire ?) ce qui nous pend au nez. Tout est tellement vrai, tellement juste.
/n
MAIS SURTOUT, comme Marc, je n'ai rien lâché, emporté par son histoire, par sa vision d'un monde futur peu réjouissant, appelé à disparaître pour causes de surpopulation mondiale, épuisement des ressources terrestres, changement climatique... sans compter les cataclysmes et l'effet boule de neige ! Portés par une analyse politique et économique claire, les sujets traités font de votre livre un roman passionnant. Mais je n'en dis pas plus, je laisse les lecteurs découvrir par eux-même. Merci pour ce partage.
/n
PS : J'ai bien aimé votre vision de la Chine en 2049, et sa suprématie sur le monde. Un passage de votre roman qui fait écho à ma dernière nouvelle https://www.monbestseller.com/manuscrit/13828-une-belle-revanche-par-kroussar
/n
PS : pages 180 (haut de page) et 195 (bas de page), ce n'est pas Marc mais Samuel qui parle à Alice, et quelques autres coquilles mais rien de grave...
@Fabienne J
Merci Fabienne pour votre commentaire élogieux. Que dire de plus !!!
@Raphaël M
Merci Raphaël pour votre ressenti. C'est d'autant plus intéressant que mes lecteurs ont des visions très différentes les uns des autres, parfois contradictoires, mais généralement ils ont aimé . J'espère que vous avez passé malgré tout un bon moment !
Oui, c‘est un vrai sujet et si on l’aborde, j’imagine que les idées viennent à foison. Mais votre synopsis rend votre lecteur exigeant. Et j’ai eu l’impression que c’était un peu trop écrit, vs avoir les sensations de ce qu’on lit. La tempête par exemple, entendre le vent, voir les arbres tomber, ou les immeubles flotter. Etre plus près de l‘action. La fiction, pareil, il faut que cela soit crédible pour rentrer dans votre univers. J’ai eu cette impression de trop écrit, et pas assez en même temps ! Très contradictoire ! Par exemple, Annecy, il ne suffit pas de dire qu’elle est devenue ceci ou cela, autrement on le lit sans le vivre. Bref… je suis d’autant plus critique que cela m’intéressait car je pense effectivement que l’on ne va pas vers du meilleur.