@alban paulh
Il est vrai que je je me suis bien amusé à écrire ces quelques lignes, au demeurant bien imparfaites et à la fin assez mal tournée. Cela ne mérite pas les étoiles que vous m'adressez et que j'apprécie malgré tout!
Bien amicalement.
@Pierre d'Arlet
Cher Pierre, pour l'esprit joyeux de cette fable,
Souffrez que je présente un hommage étoilé !
À ces accents railleurs je me suis bien poilé
Et j'en torche un sonnet, piètre quoique montrable.
Troller le troll, vraiment l'idée est admirable,
Et j'eusse aimé l'avoir moi-même, en vérité,
Écrite, et recevoir l'hommage mérité
Qui suivra, j'en suis sûr, cet écrit fort aimable.
Mais n'est-ce pas lui faire au final trop d'honneur
Que lui donner des vers d'une telle saveur ?
Sachant que surement, dans sa schizophrénie
Il va les envoyer bouler avec dédain
Cela vient à donner, d'une si noble main,
Du beurre ce cochon (et non point cette truie) !
En tout cas bravo d'avoir mouché si bellement ce monsieur qui, apparemment, semble maintenant être à plusieurs dans sa tête... grand bien lui fasse !
Bon, petite remarque technique, il y a une césure enjambante au vers "choisit le même site...", ainsi qu'une rime "proposer/dosé" qui normalement est à éviter sur une rime singulière... mais c'est fort pardonnable sur un écrit si amusant !
Bien à vous
-LGA
@Pierre d'Arlet
Exténués nous-mêmes par la beauté rutilante de vos vers, K.-O. debout devant la somptuosité inouïe de vos rimes, rendus muets d'admiration et plus aphones que des porte-voix éblouis par votre éloquence divine (ou quasi), il ne nous reste que nos pieds pour commenter votre grand oeuvre. Ecoutez-les : pa-tam, pa-tam, pa-tam. En langage ordinaire, cela signifie : un vrai scorbut, ce poète de mes deux. D'accord, ce n'est pas du Ronsard, non plus que du Rosemonde Gérard, mais au moins c'est sincère.
Sans juger la forme, le fond étant si vrai//
Qu’il mérite au détour, l’avis d’un faux curé.//
Si l’on sent du vécu dans ces vers avisés,//
Beaucoup sur ce site se sentiront visés.//
Déversant leur venin en un long parchemin,//
Baragouin composé de ces mots sibyllins,//
D’orfèvre qu’ils se croient dans leurs termes abscons,//
Cachent en la forme, les défections du fond.
Publié le 11 Août 2023
Pierre d'Arlet
Biographie
Je suis Ingénieur de formation, et m'amuse à raconter des histoires.
Quelquefois elles sont...
Ce livre est noté par
@alban paulh
Il est vrai que je je me suis bien amusé à écrire ces quelques lignes, au demeurant bien imparfaites et à la fin assez mal tournée. Cela ne mérite pas les étoiles que vous m'adressez et que j'apprécie malgré tout!
Bien amicalement.
Pardonnez-moi,
@Isabelle Blackeney, de ne pas vous avoir remerciée plus tôt pour votre si élégant commentaire!
@Pierre d'Arlet
Cher Pierre, pour l'esprit joyeux de cette fable,
Souffrez que je présente un hommage étoilé !
À ces accents railleurs je me suis bien poilé
Et j'en torche un sonnet, piètre quoique montrable.
Troller le troll, vraiment l'idée est admirable,
Et j'eusse aimé l'avoir moi-même, en vérité,
Écrite, et recevoir l'hommage mérité
Qui suivra, j'en suis sûr, cet écrit fort aimable.
Mais n'est-ce pas lui faire au final trop d'honneur
Que lui donner des vers d'une telle saveur ?
Sachant que surement, dans sa schizophrénie
Il va les envoyer bouler avec dédain
Cela vient à donner, d'une si noble main,
Du beurre ce cochon (et non point cette truie) !
En tout cas bravo d'avoir mouché si bellement ce monsieur qui, apparemment, semble maintenant être à plusieurs dans sa tête... grand bien lui fasse !
Bon, petite remarque technique, il y a une césure enjambante au vers "choisit le même site...", ainsi qu'une rime "proposer/dosé" qui normalement est à éviter sur une rime singulière... mais c'est fort pardonnable sur un écrit si amusant !
Bien à vous
-LGA
@Pierre d'Arlet
Exténués nous-mêmes par la beauté rutilante de vos vers, K.-O. debout devant la somptuosité inouïe de vos rimes, rendus muets d'admiration et plus aphones que des porte-voix éblouis par votre éloquence divine (ou quasi), il ne nous reste que nos pieds pour commenter votre grand oeuvre. Ecoutez-les : pa-tam, pa-tam, pa-tam. En langage ordinaire, cela signifie : un vrai scorbut, ce poète de mes deux. D'accord, ce n'est pas du Ronsard, non plus que du Rosemonde Gérard, mais au moins c'est sincère.