Victor VS Vincent

@Vanessa Michel
Bonsoir Vanessa…
33 ans , l'âge du Christ… oui, on pourrait croire que… surtout si je mettais une image de Notre Dame en feu sur la couverture… il y aurait là l'ébauche d'un côté très religieux. Mais ce 33 ou trente-trois a un tout autre sens, vous le savez. Je l'ai mis en chiffre parce que dans certaines polices de caractère ce 33 ressemble au SS des nazis… et comme mon histoire s'aventure de leur côté à un moment donné, ça me semblait être un bon choix. Pour le moment, le visuel que j'ai mis sur la première page du fichier ne me convainc pas plus que cela. Bon, il faut que je trouve la police de caractère adéquate pour l'écrire en lettres et le bon visuel pour l'accompagner… ou alors, trouver un autre titre, mais j'ai repoussé ceux qui tournaient autour des frères du silence et de la neuvième vie, même si je pense que ces titres seraient assez racoleurs. 33 est une ouverture vers plein de choses. À voir, donc !
Bonne soirée à vous
Philippe

Je sais que vous êtes occupé aujourd’hui, Philippe, je voulais dire que j’aime beaucoup l'idée de « Trente-Trois », d'autant qu’elle reprend aussi l'aspect ésotérique, très important dans votre roman.
« Trente-trois » en lettres gothiques par contre, parce que 33, est-ce moi ? Je pense à Jésus…
Bon et bien, c'était l'avis que vous n'aviez pas demandé et qui est arrivé par surprise - tadam !
Belle journée à vous et à bientôt.
P.S.: @David Mangin, le livre est réactivé !

@Vanessa Michel
Bonjour Vanessa. Ici, je vais laisser longuement le texte en ligne. Je ne peux, cependant en changer le titre que sur la couverture. Il n'est pas possible de changer celui enregistré dès le départ, sauf à retirer le texte, le remettre en ligne et perdre tous les commentaires.
De toute façon, j'ai fait un PDF, à chaque fois (ou presque), des pages commentaires pour les garder au chaud !
Très cordialement
GG

Ne pouvant pas supprimer ma note pour la réécrire, maintenant que votre ouvrage est terminé, je l'ai éditée - puisque ce sujet mis en avant par MBS restera j'imagine le lien vers Trente-trois.
Je supprimerai ce commentaire, c'était juste informatif ! Bien cordialement.

@FANNY DUMOND
Oui, sur cette dernière mise en pag , j'ai mis une petite accroche à chaque nouveau chapitre avec le mot "porte" incorporé. Un truc qui m'est passé par la tête à l'instant même où j'écrivais la première de ces entrées.
Pour le 33… en chiffres, en lettres… mon coeur balance. Si c'était une date entière comme 1933, 2033, il n'y aurait pas d'hésitation. Je continue à réfléchir sur ce sujet.
De toute façon, je vais laisser reposer ce texte une paire de semaines, le relire avec un œil nouveau, gommer les imperfections, les petites facilités de l'instant, les private-joke, tout ce qui n'est pas intemporel aussi. Peut-être même que les noms de certains personnages évolueront… Une idée, comme ça. Faudra-t-il également approfondir certaines réflexions ? Bref, tout n'est pas fini. Il reste du taf ! (expression de ma jeunesse !)
Bonne fin de journée à vous
Gilbert Gilbert

Rebonjour@Gilbert Gilbert 2

J’aime beaucoup vos finitions qu’un artiste ne manque pas d’apporter à son ouvrage après 4 mois à temps plein passés dessus. Le silence est d’or, mais vos frères cloitrés, sans visage, ont un rouge-gorge dans la leur pour gazouiller sous leur capuchon et leur robe de bure ! Je trouve qu’écrire votre titre avec un seul nombre est une bonne idée, il est intrigant, mais je ne sais pas pourquoi je le préférais écrit en nombre, c’est plus percutant. J’aime aussi beaucoup l’idée de résumer chaque chapitre comme on lisait ça dans certains ouvrages. Le procédé se perd ! Et que de subtilité, dans chacun, on lit le mot « porte ». Bravos, parce que là, c'est encore du grand art et que j’y vois une référence à « la porte étroite ». La vôtre l’était tout au long de ces 4 mois et vous êtes parvenu à toutes les franchir, jusqu’à l’épilogue à lire attentivement. Tout n’est pas tout rose en 33 pour vos personnages principaux auxquels on s’est attaché, nous, vos lecteurs et, vous encore davantage. Sous le coup, vous êtes encore imprégné de votre fabuleuse histoire. Il faut les laisser partir vos héros, les laisser vivre leur vie, bien qu’ils resteront longtemps dans votre tête, comme des amis un peu perdus de vue à qui l’on pense comme ça inopinément. Ils viendront vous faire un petit coucou de temps en temps et nul doute que vous en créerez d’autres tout aussi attachants. Je vous souhaite de passer un excellent été et à votre imagination d’avoir une autre savoureuse inspiration. Quand on la laisse prendre le dessus sans se poser de questions de : est-ce bon ou non ? on a tout gagné. J’aurais beaucoup aimé faire des analyses plus poussées sur chacun de vos chapitres, rebondir sur chacune de vos réflexions ; ce n’était pas l’envie qui me manquait, mais dans votre cas, c’était le temps et je pense qu’il m’en aurait fallu autant que vous mettiez pour les écrire ! Bien cordialement. Fanny

Merci beaucoup, Fanny, d'avoir tenu la lecture durant 28 chapitres et un épilogue.
Eh oui ! voilà, c'est fini…
Je ne sais pas combien de temps il faut pour se remettre d'un feuilleton de 4 mois (car le chapitre initial avait été écrit en novembre 2024 et déposé en février 2025… une longue gestation avant d'entamer sa poursuite).
PS : si vous avez 5 minutes, dites-moi ce que vous pensez de la couverture et du nouveau titre. Ainsi que des entête de chapitres… Avant de valider cela définitivement ! (c'est une vrai question - je me demande toujours si mes titres sont bons)
Cordialement
Gilbert Gilbert

@Gilbert Gilbert Bonjour !

ÉPILOGUE

Voilà comment un début de texte perdu dans un fichier devient un remarquable roman ! Les bravos ne suffisent pas pour saluer votre évident plaisir d’écrire, votre constance à nous offrir durant 4 mois vos réflexions que je partage sur notre monde actuel, vos connaissances riches et variées, votre humour et votre humilité avec vos craintes de ne pas être à la hauteur de votre challenge feuilletonesque et de décevoir vos lecteurs. Aussi, je vous dis un grand merci de nous avoir permis de vous suivre pas à pas dans votre aventure. Bon vent à vos inoubliables personnages ! Bien cordialement. Fanny un peu triste de voir se terminer nos rendez-vous.

@Fanny Dumond3
Le chapitre 28 se termine sur la chose que les personnages du roman voulaient éviter.
Est-ce à dire que vouloir intervenir sur une chose inéluctable finit par précipiter ses événements ?
La conclusion e tout cela dans l'épilogue à venir.

@Gilbert Gilbert 2 Bonjour !

CHAPITRE 28

À l’image de vos deux héros, vous poursuivez votre but sans jamais rien lâcher dans votre aventure d’écriture. J’ai beaucoup aimé ces Résistants dans leur fuite au milieu du grand chaos. Lorsque la machine contrôle nos vies et que certains bienpensants éclairés détruisent des livres « pour les désinfecter », c’est la fin de l’Humanité ! Une nouvelle fois, je devine un remarquable travail de recherches pour suivre pas à pas Vincent et son ami dans leur Odyssée. Bien qu’il touche à sa fin, votre roman restera une belle leçon de persévérance, d’amour du travail méticuleux et surtout de délectation d’écrire. N'est-ce pas, finalement, ce que recherche tout écrivain, malgré le labeur, prendre un immense plaisir à dire pour la postérité ? Je vous souhaite un excellent lundi de Pentecôte et vous dis à bientôt de connaître le destin de vos héros si attachants. Bien cordialement. Fanny qui va rechercher dans sa bibliothèque Fahrenheit 451 pour le relire.

@Fanny Dumond3
Oui, je n'ai rien inventé (ou si peu), dans ce chapitre, sur les infos/intoxs, sur la manipulation, sur les boucs-émissaires, sur la tentation d'user de l'article 16…
L'utilisation des médias pour faire passer un message également !
Bref, on y est ! Ce monde étrange, qui parait un peu loufoque, un peu dystopique, qui aime la manipulation, le mensonge… et que certains tentent encore d'appeler une démocratie existe déjà.
Ça ne va pas aller en s'arrangeant, il me semble !
Très cordialement
Gilbert Gilbert

@Gilbert Gilbert 2 Bonjour !

CHAPITRE 27

Parfois, il n’est nul besoin de chercher bien loin pour trouver l’inspiration, tout était là dans votre esprit. Heureusement, il reste l’article 16 qui donne tous les pouvoirs à la tête à claques. Quand tout est tombé de Charybde en Scylla, c’est bien compliqué de choisir entre la peste et le choléra. Tout ça donne juste envie de faire comme Rousseau, se réfugier au fin fond d’un bois pour communier avec la nature, mais on serait vite délogés parce qu’ils sont « propriété privée ». Bravos pour votre nouvel épisode que vous pourriez intituler « Mensonges et Adhésions ». Peut-être que les moutons sont moins décérébrés que les marionnettes que nous sommes. Je vous souhaite une belle semaine en compagnie de vos personnages, plus vrais que nature. Bien cordialement. Fanny

@FANNY DUMOND
Eh oui ! Le monde se divise en deux : les amateurs de Cognac et les amateurs de Coca Cola.
Une statue à mon effigie ? Posthume, peut-être ! Je vais en parler au maire de mon village natal. Voyons grand : le groupe scolaire Gilbert Gilbert, la place de l'hôtel de ville rebaptisée place Gilbert Gilbert, ma rue natale devient rue Gilbert Gilbert et l'église Saint Remi prend pour nom l'église Saint Gilbert.
Je m'en vais faire une note illico au conseil municipal !*
Bonne journée à vous…
GG
* je crains que les délires de frère Anselme et Luke Mons ne me soient montés au ciboulot .

Bonjour@Gilbert Gilbert 2

CHAPITRE 26

L’aventure continue dans le début de votre nouvel épisode, puis on entre dans le dur avec les protagonistes qui ont chacun leur vision du meilleur des mondes et, surtout, cette soif de gloire, de pouvoir et de contrôle sur leurs concitoyens. L’éternel recommencement des alliances contre-nature et autres traîtrises. Gare à bien maîtriser la dose d’élixir de jouvence, car sait-on jamais si on ne se retrouverait pas à sourire aux anges dans notre berceau. Bravos ! pour votre histoire racontée avec une certaine légèreté de ton et votre petite touche personnelle qui m’a fait sourire (rien de mieux qu’un bon coca-cola pour se remettre les idées en place, parce que l’abus de Cognac fait perdre la boule). À quand une statue à l’effigie de mon feuilletoniste préféré qui nous concoctera une fin dont il a le secret. Je souhaite une belle suite à sa plume érudite et bien aiguisée. À bientôt ! Bien cordialement. Fanny

@Fanny Dumond3
Je crains, pour nous, que si nos esprits sont manipulés, c'est aussi par un goût de la paresse intellectuelle et aussi une sorte de fatalisme accepté par tous. Vincent est providentialiste, ça n'aide pas à la rébellion. Mais il a un cerveau et comprend ce qu'il se passe. L'idée de la création d'un homme parfait n'est pas nouvelle, mais je crois que jamais on n'y parviendra. Pour le pire et le meilleur de l'humanité : le pire, car tout par à vau-l'eau, ce me semble; le meilleur, parce que nous devons garder notre libre arbitre, quand bien même le prix à payer est une société d'un combat permanent entre le bien et le mal. Trouver l'équilibre entre l'angélisme et la répression, c'est sans doute un enjeu du futur. Ce qui était SF hier devient réalité aujourd'hui.
Cependant, cette fiction est abordée aussi par son côté "aventures". J'espère qu'au delà du côté sombre, on "s'amuse" à lire des situations lupinesques, dumasiennes et ubuesques. Merci à nos grands prédécesseurs de nous avoir donné à lire des romans d'aventures, mais aussi loufoques parfois. Ils sont source d'inspiration. Il n'y pas que 1984 ou Le Meilleur des mondes en littérature… (pas si faciles à lire, d'ailleurs)
GG

@Gilbert Gilbert 2 ÉPISODE 25

Ce qui est remarquable dans votre futur roman d’aventure, c’est que vous réussissez à aborder plusieurs sujets. Je classerais cet épisode dans la catégorie « essai sociétal » sur la manipulation, à grande échelle, des masses qui se laissent endormir gentiment par ceux d’en Haut. Les « gueux » n’y voient que du feu dans leur petit confort jusqu’à temps que certains « éclairés » leur ouvrent les yeux. J’ai, une nouvelle fois, beaucoup aimé vos réflexions et votre cheminement dans l’écriture. Les Révolutions se terminent toujours mal et sont l’œuvre de personnes très actives qui ont une petite idée derrière la tête (jusqu’à la perdre) pour prendre le pouvoir à leur tour. Le cercle est bouclé et rebelote pour le peuple qui se retrouve sous les contraintes de nouvelles lois davantage contraignantes que les précédentes. Cet épisode est à nouveau si dense que j’y passerais des heures pour en faire une analyse plus poussée, notamment sur le comment nos esprits sont manipulés au point d’en perdre notre libre arbitre. Alors merci pour ma lecture de ce jour et à bientôt de lire la suite. Vincent aurait-il ébranlé les convictions bien ancrées d’être dans la Vérité des protagonistes de cette gigantesque entreprise malfaisante, qui n’est hélas pas de la fiction ? Je vous souhaite une excellente journée à vous et à votre belle plume. Bien cordialement. Fanny

@FANNY DUMOND
Vous avez le nez fin, Fanny, parce qu'effectivement j'ai eu une poussée orwelienne dans l'écriture de ce chapitre 24 et après une journée d'écriture, elle a terminé sa course dans la corbeille, pour revenir à un genre plus proche de Dumas voire de Leblanc.
Ce qui ne veut pas dire que j'ai balayé l'idée de mettre un peu de dystopie, d'I.A et de perte de contrôle de l'humain sur la société de demain. Elle ressemblera plus à l'ère du verseau que l'ère du poisson, de toute évidence. Après, difficile de faire marche arrière.
Quant à Cagliostro !!!!! Personnage sulfureux (lisez Joseph Balsamo, le collier de la Reine de Dumas) et puis Leblanc n'a-t-il pas écrit La Comtesse de Cagliostro et La Cagliostro se venge !
Bonne journée
GG

CHAPITRE 24
@Gilbert Gilbert 2 bonjour ! C’est magique ! Les fées se sont penchées sur votre berceau pour vous donner le don de l’écriture, l’érudition, le goût de l’esthétique, la volonté de faire du beau et celui de la persévérance. Bravos, j’ai beaucoup aimé l’ambiance noire de cet épisode qui peut se lire indépendamment des autres et qui pointe la double facette de chaque être humain. Toujours curieuse, j’ai fait des recherches sur cet escroc/charlatan de Cagliostro et sur les ères cosmiques. Merci également pour vos explications que vous nous donnez sur chaque épisode sur comment vous vient votre inspiration et sur votre travail. C’est super de vous suivre dans cette aventure, davantage Dumas qu’Orwell. En tout cas, la machine inhumaine émancipée n’a pas d’emprise sur vous, vous gardez votre liberté d’écrire « humaine ». Espérons que vous ne serez pas le seul survivant de cette monstruosité qui a pris le pouvoir sur nos esprits. À bientôt de lire la suite de vos aventures (feuilletonesques et celles de Vincent). En attendant, je vous souhaite de belles journées dans ce qui est, avant tout, votre amusement. Bien cordialement. Fanny

@Augusta B.
Bonjour Augusta… Tout d'abord merci d'avoir lu ces 23 chapitres des aventures de Vincent (et Victor).
Je suis heureux que vous appréciez mon style, parce que je tente vraiment une écriture légère, éloignée de ce qui se fait sur certains textes mBS travaillés (je le crois) à l'excès, ce qui tue un peu la fluidité. Dans un roman d'aventures comme celui-ci, je crois que ça doit couler.
Pour ce qui l'en est du Tome 1… en fait il n'y pas de Tome 1 avant. Il n'y a que celui-ci.
J'ai déposé ici les 23 premiers chapitres (à vue d'oeil il devrait y en avoir 32 - donc 9 environ à écrire encore. Ceci sous le nom de Gilbert Gilbert. Sous le nom de Gilbert Gilbert 2, je dépose seulement le dernier chapitre écrit que j'enlève donc à chaque nouveau chapitre.
Donc Gilbert Gilbert : tous les chapitres écrits à ce jour
Gilbert Gilbert 2, seulement le dernier chapitre (rubrique "nouveautés")
Au terme du chapitre 23, l'histoire a connu un premier dénouement et pourrait presque s'arrêter là, mais il y a encore à raconter…
Donc, chaque semaine, dans les nouveautés, et selon ma capacité à écrire, je fournis un à deux chapitres. Voilà.
Merci encore pour cette lecture approfondie.
Très cordialement
GG

@Gilbert Gilbert 2 Bonjour, je n'ai pas lu le premier tome et ce n'est pas gênant, on prend l'histoire en route sans difficulté. votre livre traite les grands sujets sociétaux au travers une grille historique propice à l'aventure , un monastère perdu dans la montagne, des bureaux souterrains cachés en pleine ville de Paris, et des signes un peu magiques ou plutôt mystérieux, comme l'ichtus, les souterrains, le 33 ... J'aime beaucoup la personnalité de Vincent, il y a une auto-dérision, si je ne m'abuse, présente mais sans peser. Votre livre est bien construit, "efficace", vous avez une belle écriture, rien de lourd; C'est un plaisir de vous lire !

@Fanny Dumond3
Bonjour Fanny. Un nouveau commentaire très approfondi qui fait la part des choses : il y a le côté aventures dans ce feuilleton et le côté réflexions. Selon les chapitres, l'un prend plus de place que l'autre. La première partie était dédiée à la résolution de l'énigme et il m'a fallu m'appuyer sur de vieux souvenirs d'école… mais aussi, je me suis souvenu du roman Quo Vadis ? d'Henryk Sienkiewicz. Vieux souvenir où j'avais appris à cette époque pourquoi le poisson était le symbole des chrétiens. Comme quoi, les romans sont très instructifs ! Et de fil en aiguille, la réflexion m'a amené à cette nouvelle ère, je n'en dis pas plus, mais j'ai un peu sué pour écrire quelque chose de cohérent.
Pour la seconde partie qui concerne les réflexions de Vincent, je me suis appuyé sur ceux qui ont déjà écrit sur la nature humaine. La première pensée à été celle sur L'homme est un loup pour l'homme et ensuite Rousseau que je résume ainsi : l'homme nait bon, la société le corrompt. [Un peu comme sur mBS. :) / je rigole !] Bref, pour dire que Vincent se pose des questions, et on s'en poserait à moins : quel homme peut naitre de cette société voulue par frère Anselme et Luke Mons (Luke Monstre ?), alors que Vincent, lui, se déclare providentialiste. Il laisse le divin s'occuper de nous.
J'ai tenté d'être le plus sobre possible dans ce passage, mais j'imagine que Vincent n'a pas fini de raisonner et de tenter d'infléchir les positions de frère Anselme. Enfin ! je dis ça, mais je n'en sais rien en fait, c'est un peu la providence qui guide l'écriture de ce feuilleton.
Très cordialement
GG

Bonjour@Gilbert Gilbert 2 CHAPITRE 23

« Le 21ᵉ siècle sera spirituel ou ne sera pas » - Malraux. Ce nouvel épisode qui donne à nouveau une grande part à la philosophie pointe la mouvance sociale actuelle : rejeter le religieux au profit de la science qui s’en tient aux faits tangibles. Outre l’aventure qui continue pour votre héros, de plus en plus perplexe sur sa situation, ce chapitre dévoile les pensées de l’auteur, auxquelles j’adhère. Léon XIV parviendra-t-il à éviter ce qui nous pend au nez en 2033 – femmes-ventre, lobotomie, électrochocs, implants, contrôle des cerveaux pour faire un homme parfait. Parfait, mais selon quels critères venus de l’esprit de quel autocrate ? Un grand Bravo pour votre érudition, vos références à l’Histoire actuelle (hommage aux morts pour la France en Indochine). J’ai beaucoup aimé le lire et le re-relire tant il m’a invitée à réfléchir et qu’il n’est pas du tout facile à commenter, à analyser (sinon à mettre 4 heures comme sur une copie d’examen). À mardi prochain pour la suite de votre futur roman dont vous pourrez être fier ! Bien cordialement. Fanny

@Fanny Dumond3
Effectivement, il ne doit pas être anodin de connaître nos vies antérieures… qui sait quels drames se sont déroulés ! Souvent, on pense que les âmes soeurs se retrouvent de vie en vie, mais il se peut aussi que d'une vie à l'autre, on se recroiser entre ennemis ou adversaires, entre bourreaux et victimes. Que faire, alors ?
Publié le 07 Mai 2025

CHAPITRE 22 : Morale de votre fable : pourquoi accumuler tant de richesses matérielles si on ne peut pas les retrouver dans une neuvième vie faite uniquement de Sagesse et d’amour de son prochain ? Cet élixir mnésique n’a pas de vertus magiques et gare à ceux qui voudraient savoir. Pauvre secrétaire ;-) et sa chauffe pour les abatis de frère Anselme. Alors, à la prochaine fois pour connaître leurs empoignades (comme si on n’avait déjà pas assez à faire dans cette vie, en 2025). Je vous souhaite une belle continuation dans votre amusement. Si, si c’en est un pour vous et pour nous. Bien cordialement. Fanny

@Fanny Dumond3 Cette fois-ci, j'ai remis une petite touche de Dumas dans mon histoire. Cagliostro, celui qui intrigua au moment du collier de la Reine, revient en deux lignes à travers un objet. Comme j'ai aimé y glisser Balzac, à travers sa maison de Passy (que j'ai visité il y une quinzaine d'années), profitant également de redonner vie à la peau de chagrin (c'était, voici … il y a très très longtemps, ma seconde lecture balzacienne après Ursule Mirouët / Balzac aimait aussi ces atmosphères surnaturelles). Bref, je me suis amusé dans cet épisode qui réclame, naturellement une suite !
Très cordialement
GG

CHAPITRE 21 : Bonjour@Gilbert Gilbert 2 Et voilà un nouvel épisode qui tient toutes ses promesses grâce à votre art des descriptions léchées (que je vous envie) et ce petit brin d’ironie de Vincent spectateur de cette partie de poker-menteur et de la « comédie » à laquelle il assiste. Parmi la collection d’objets authentiques ou pas, une pléiade de fantômes de personnages célèbres se tient dans l’ombre. Je retiens qu’il ne faut surtout pas toucher la peau de chagrin, ne pas se mirer dans la boule de cristal du Joseph Balsamo, ne pas boire l’élixir de jouvence, mais que celui mnésique vaut une petite fortune, c’est peu dire ! On espère que Bô apprécie son séjour dans sa chambre d’hôtes aux « nuages sereins’. En tout cas, moi, je suis bien servie et me régale toujours autant dans celle où vous nous conviez deux fois par semaine pour nous divertir loin des tumultes de ce monde ! Merci pour notre amusement partagé et à bientôt de lire la suite. Bien cordialement. Fanny

@FANNY DUMOND2
J'espère que Vincent et Bô vont s'en sortir par le haut. Ils sont déjà sous terre, espérons que dans l'épisode 21 ils retrouvent l'air libre, à défaut d'être totalement libre eux-mêmes.

@Gilbert Gilbert 2

CHAPITRE 20

Et voilà que maintenant vous nous entraînez dans le genre littéraire « espionnage » avec toute la panoplie de traitres, de corruption, d’infiltration. Nos deux héros sont de nouveau dans une fâcheuse posture, et j’ai hâte de savoir comment ils vont s’en sortir. Une nouvelle fois, je vous dis un immense bravo pour votre travail méticuleux, votre pugnacité à honorer vos rendez-vous, à me donner, en prime, une belle leçon d’écriture et la curiosité de chercher vos nombreuses références. Merci de nous régaler, monsieur notre feuilletoniste. Fanny

@FANNY DUMOND2
La variation des chapitres est selon "arrivage". Contrairement à Bô qui fait dans le surgelé dans son restau, je fais selon "inspiration". Un jour, c'est de l'aventure, un autre de la description, un autre quelques réflexions et parfois c'est un mélange de tout cela.
Cette fois-ci, il y a un peu d'action et de description et, effectivement, mes personnages, qui ont décidé de s'inviter autour d'une table ! Sans doute qu'ils ont une bonne explication à cela. Je m'en vais les interroger à ce sujet.
Bien cordialement
GG

@Gilbert Gilbert 2

CHAPITRE 19
Bonjour@Gilbert Gilbert 2 J’aime beaucoup cette alternance entre chapitres « sérieux » et pure aventure. J’ai adoré suivre vos personnages dans leur fuite haletante, comme si j’étais à leurs côtés, un troisième en quelque sorte. Grâce à vos descriptions, je visualise parfaitement les lieux. Toujours très agréable à lire votre histoire écrite au jour le jour, dans l'impro en vous laissant guider par vos personnages qui semblent prendre le pouvoir sur leur créateur (mais il veille au grain pour la cohérence) avec cette volonté de faire du beau qui vous anime. J’imagine la somme de travail invisible dans vos lignes. Cette fois-ci, plus particulièrement, le suspense est à son comble. Vivement la suite et Chapeau bas, monsieur le feuilletoniste ! Bien cordialement. Fanny

@Fanny Dumond3 Fort heureusement, l'homme parfait n'existe pas. J'ai un carnet Paperblanks que je tiens depuis 2017 où je note, de temps en temps, des choses qui me passent par la tête. Le relisant avant-hier, je suis tombé sur ceci : "Il n'y a pas de système idéal. Il n'y a que des hommes de bonne volonté - avril 2021).
J'avais envie de glisser cette citation, et finalement, j'ai opté pour "derrière le paradis se cachent des petits morceaux d’enfer".
La recherche de la perfection (en tout) me semble une erreur. Mais frère Anselme expose plutôt la théorie de l'amélioration, celle qui mène à la sagesse. Derrière cette secte — ou cet ordre — il y a quelques idées bonnes à prendre, mais vouloir créer une utopie est la pire des choses. Toutes les utopies se dérèglent vite.
Voyons où tout cela nous mènera dans les épisodes suivants. Je n'en sais encore rien. Un pas devant l'autre.

CHAPITRE 18
Bonjour@Gilbert Gilbert 2 Waouh ! encore un chapitre dense qui me conforte dans mes réflexions, mes interrogations sur ce que nous faisons sur ce grain de sable dans l’Univers, de plus en plus en perdition. C’est effrayant de constater qu’un seul homme illuminé, après avoir lu, je ne sais plus quel livre, ait pu manipuler autant d’esprits pour obtenir l’homme parfait selon ses utopies. Et nous, les marionnettes, sommes très loin de tout savoir de tout ce qui se trame dans les coulisses des hautes sphères qui nous gouvernent. Que d’archives classées top secret et des embrouillaminis à n’en plus finir que même les chefs d’État finissent par en patauger dans la gadoue. Et, comme nous n’avons plus le droit de nous exprimer, je m’abstiens de faire une analogie avec ce que nous constatons depuis des décennies qui finissent par devenir flagrantes. Oui, il en existe des milliers de sectes avec à leur tête des fédérateurs influenceurs qui n’ont aucun mal à recruter leurs proies. Pourtant, certaines personnes, à qui il reste un peu de cervelle pour réfléchir, en viennent à se demander si tout cela ne serait pas qu’une immense farce, venue de… Bravos, car l’art de feuilletonner comme vos pairs, n’est pas donné au premier quidam venu. Alors, à la prochaine fois de lire les aventures qui s’annoncent pleines de dangers pour Vincent et Bô, son ami. Je vous souhaite une excellente fin de semaine. Bien cordialement. Fanny

Chapitres 16 et 17 :

Bonjour@Gilbert Gilbert 2 Tout d'abord un grand merci à vous d'avoir mis les bouchées doubles pour vos lecteurs impatients de connaître la suite des aventures, pas banales, de votre héros. Eh oui, nous avons des contraintes qui nous sortent de nos bulles créatives, confortables bien que l'on mette du cœur à l'ouvrage. Cette fois-ci, nous apprenons que Vincent se donne du bon temps et parvient à un peu lâcher prise grâce à l'amical soutien de Bö. Et toujours, on peut lire entre vos lignes des impressions bien senties des dérives de notre société qui amorcent un grand tournant vers, on ne sait quoi ; un avenir très incertain qui engendre des âmes en perdition. Peut-être que nous serions mieux sur Europe, mais je pense que le même cirque recommencerait ! L'Humain est incorrigible. Je vous souhaite une bonne semaine sainte (je suis croyante !) et vous dis à une prochaine fois de vous lire. Bien cordialement. Fanny

@FANNY DUMOND Même si j'avance à tâtons (parce que c'est l'exercice du feuilleton qui veut cela), je tente d'allier aventures et réflexions. Quelques fois, lorsque l'on écrit, on dit au lecteur : attention, là, c'est la partie où on va philosopher un peu. Et d'autres fois, c'est caché sous une pierre. Soit on lit avec amusement (c'est un exemple), la parodie de l'émission TV, soit on y voit autre chose (de plus profond). IL est vrai que pour celles et ceux qui ne sont pas adeptes de ce genre d'émissions, ils auront du mal à comprendre ce que j'ai tenté d'expliquer. Puisque ce roman est un roman, aussi, sur la manipulation, celle-ci s'exerce de différentes manières : secte, services secrets, émission TV, l'entourage etc.

Bonjour@Gilbert Gilbert 2 Avec ses airs ne pas y toucher, votre nouvel épisode entre en philo en abordant plusieurs réflexions : solitude, amitié précieuse, sens de la vie, manipulations des esprits des sectes dans lesquelles se réfugient les paumés, et au cours d’émissions débiles orchestrées pour amuser le peuple qui a perdu son libre arbitre, cette sensation d’être épiés sans cesse jusque dans le poste de télévision pour Vincent et pour nous autres qui vivons dans une atmosphère anxiogène, tous les jours que le bon Dieu fait, avec nos impressions d’être sans cesse en faute. Heureusement, pour qui sait l’admirer, la nature est une échappatoire salutaire, une évasion. Je vous renouvelle mon admiration pour votre travail que je compare à celui de Simenon qui s’enfermait des jours durant dans son bureau, sauf que lui n’était pas feuilletoniste, à ma connaissance. Bien cordialement. Fanny

@FANNY DUMOND2
Un chapitre 14 qui nous fait passer de la montagne à la mer, d'un monastère à un hôtel, de la séquestration à la liberté… Bref, un chapitre tout en contraste avec ce petit moment empli (je l'espère) de poésie, de littérature. J'ai tenté d'écrire un truc, un machin qui sublime l'effet de la nature, en l'occurence l'océan, sur nous, ne l'occurrence Vincent.

Bonjour@Gilbert Gilbert 2 pour le chapitre 14, mention spéciale pour le passage au bord de la mer, tout bonnement magnifique de poésie, qui m'a prise aux tripes. J'ai retenu : "je laisse la mer accoucher de moi une nouvelle fois.". Vous bâtissez votre roman à pas comptés, avec une extrême application, et il ne vous en voudra pas si vous ralentissez un peu la cadence pour souffler, comme Vincent. Bien cordialement. Fanny de plus en plus admirative de votre réel talent de conteur, de romancier.

@Fanny Dumond3
Merci à vous de continuer la lecture de mon feuilleton. Aujourd'hui, épisode 12 bis, parce que le 13 n'était pas disponible. C'est l'instant où Vincent joue d'ingéniosité avec une complicité intérieure. Mais chut ! C'est à découvrir en page 126.
À bientôt, peut-être, si je tiens le rythme de mes publications.

Bonjour@Gilbert Gilbert 2 Super ! Vous nous prenez par la main pour nous entraîner dans votre aventure feuilletonesque et celle de votre personnage auquel, comme une gamine qui adorait lire ce genre de livre, je m'attache. J'aime le suivre dans ses périlleuses pérégrinations au rythme de votre écriture trépidante. À dimanche, si Dieu le veut, pour lire la suite de notre récréation et de la vôtre, malgré le labeur qui se cache dans vos lignes. Je vous souhaite une toute belle journée. Cordialement. Fanny

Bonjour @Fanny Dumond3
C'est assez drôle que vous me parliez de ce chiffre 33, parce que Victor VS Vincent est un titre de travail. Comme je suis parti à l'aventure, je ne me suis pas posé de question sur ce titre. Et il y a deux jours, je me suis dit : tiens ! Ça pourrait être 33, le titre de cette histoire. Mais ce n'est pas le "dites 33" du docteur ! Bon, c'est une idée comme ça, à creuser.
Comment Vincent, le rebelle, va-t-il se sortir de ce conditionnement de l’esprit par des hommes si sages ? C'est la question que vous posez. J'espère y donner une réponse dans le prochain épisode.
Mais aussi dire que ces hommes sages, sont comme tous ceux qui prétendent détenir la sagesse, il faut s'en méfier. Toujours se méfier du camp du bien ! Se méfier du camp du mal, c'est facile, mais le camp du bien est toujours plus sournois ! Enfin ! c'que j'en dis !

Bonjour@Gilbert Gilbert 2 Vos remue-méninges sont stupéfiants. Vous êtes habité par votre histoire sans faille. Comment vous sentez-vous lorsque vous sortez de votre bulle créative ? Bravos, l’artiste ! et merci de nous offrir deux fois par semaine votre divertissement. Ce nombre 33 est intrigant. Comment Vincent, le rebelle, va-t-il se sortir de ce conditionnement de l’esprit par des hommes si sages ? On suit très bien sa descente aux enfers, son délabrement physique et on craint pour sa santé à cause de ces injections suspectes. On se retrouve au plus près de l’action, un scénariste avisé pourrait s’y intéresser. Je vous souhaite un excellent dimanche, de repos ! Bien cordialement. Fanny

@FANNY DUMOND
Oui, compliqué. Et comme il y a de plus en plus de textes déposés sur mBS et de plus en plus de feuilletons et d'extraits, on s'y perd un peu ! Mon épisode 7 est à peine déposé qu'il est déjà loin dans la liste des nouveautés et donc, trop peu lu, à mon goût. Mais ça ne m'empêche pas de continuer mon labeur, d'inventer au fur et à mesure la suite des aventures de Victor et Vincent.
En tout cas, je suis heureux de vous compter parmi mes lecteurs… surtout lectrices (mais on le sait, le lecteur est avant tout une lectrice). J'espère être à la hauteur dans les semaines à venir.

@Gilbert Gilbert 2 je constate que c'est toujours autant compliqué de trouver les feuilletons. Bravo, vous êtes l'un des rares auteurs à avoir compris le procédé pour en écrire. C'est-à-dire, laisser le lecteur sur sa faim. Cordialement. Fanny

@FANNY DUMOND2
Oui, un peu d'humour dans ce monde de brutes… il me semble que c'est le cas de le dire pour cette histoire, et même ce monde qui nous entoure.
Je me demande bien ce que Victor a vu pour notre futur !

@FANNY DUMOND
Merci d'avoir doublonné votre commentaire sur les deux comptes.
À quand la suite ?
Bientôt, je l'espère.
Je ne donne pas de date pour ne pas décevoir le jour J. Disons entre 3 et 7 jours.

@Vanessa Michel
Merci de continuer la lecture de cette histoire. Comme vous le savez, j'avance à peine plus vite que le lecteur. Donc, je ne sais pas encore la suite. Je formule le voeu de ne pas décevoir mes lectrices et mes lecteurs. En même temps, l'écriture est un jeu. Si je retirai tous les artifices de l'histoire et n'allait qu'à l'essentiel, Victor VS Vincent (titre provisoire) ne ferait que 5 pages. Je tente donc de m'amuser aussi avec la langue, c'est une des clés de l'histoire. Mais ne vous inquiétez pas, j'entrevois déjà quelques nouveaux rebondissements, quelques surprises.

@Fanny Dumond3
Bonjour chère lectrice. Bon, c'est déjà une bonne chose si vous êtes parvenue à enchainer votre lecture. Les moins de 20 minutes, j'imagine que ça n'a qu'un temps… Combien de pages ? Qui le sait ? Ou c'est en caractères que ça joue ? Bref, peu importe, je vais tenter de trouver une solution à ce problème de feuilleton, vu que je ne propose pas des chapitres, mais je m'arrêtes au premier "suspens".
Je vais attendre l'article sur les feuilletons. D'abord, la première question, c'est : combien suivent. Je parle d'une histoire qui a un début, un milieu, une fin.
Donc, je vous dis à la prochaine. Venez chiner dimanche matin, je pense que j'ajouterai quelques pages à ce moment-là.
Bonne journée

@Catarina Viti
Grand merci.
Je n'ai pas la méthode pour annoncer les nouvelles pages. J'attends avec impatience votre article pour voir si des modalités spéciales sont à adopter. Eventuellement, je donnerai mon opinion sur cet article et les points étudiés.
Bonne journée

@Catarina Viti
Depuis la page 18 jusque laquelle vous êtes allée, j'ai fait 3 dépôts, le dernier allant jusque la page 34. Donc 16 page cette semaine.

@Catarina Viti
ma qué ?
ce samedi 22 février, de la page 18 à la page 25, voici quelques pages supplémentaires.
Ce lundi, de la page 26 à 31, 5 pages en plus.
Ce vendredi 28, de la page 31 à 34, 3 pages de plus.
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J'avance à la lenteur d'un escargot sur une mare d'huile. Mais chaque fois que je mets une suite, je l'annonce dans le synopsis.