
Le Mot de monBestLibraire
Avec une plume acérée et poétique, Catarina Viti décrit la dignité des humbles et la violence des puissants. Mais la force est tapie dans les deux camps. Dans les actes chez les uns, dans les mots chez les autres.
Une écriture sans concession, un suspense psychologique "border line".
Un roman noir, dont le dénouement vous laisse pantois.
*
A la fin des 70, Pierre Altier, promoteur mafieux, fait raser la "Bambolina" pour d'obscurs motifs. La destruction de cet habitat collectif signe la destruction d'un petit univers d'ouvriers.
40 ans plus tard, Louise trouve le moyen de venger sa famille, et, à travers elle, la défunte classe ouvrière.
Ce livre est noté par
Merci @Gilbert Gilbert 2.
Oui, bonne chance à eux et à leurs projets. Ce n’est pas du tout cuit, il y a tant de livres en circulation, j’espère vraiment que les leurs vont connaître le succès qu’ils méritent. mBL est une vraie formule pour ce genre d’ouvrages, j’y crois dur comme fer. Mais les acteurs font les organisations qui font les acteurs, comme a dit Edgar. Plus simplement, les miracles se font rarement seuls, la sauce doit prendre, et pour cela chacun doit y mettre du sien, chacun doit faire les 50 % du chemin... vaste programme.
@Catarina Viti
Je vous souhaite plein de succès sur la nouvelle librairie.
Le Temps des Cerises, j'avais déjà lu de larges passages précédemment et vu le travail stylistique que vous aviez accompli sur ce texte. Le feuilleton, hélas, interdit ce travail dans un premier temps. Du moins, pas autant qu'on pourrait le souhaiter.
Bonne chance, par ricochet, à tous les autres qui se sont lancés dans cette aventure.
GG
@bichetdenis 1G
Je vous l'ai dit par courrier : nous avons essayé de communiquer sans y parvenir. Restons-en là. Ou plutôt, faites comme bon vous semble, mais ne comptez plus sur mes réponses.
@Bérénice Patatras
Tout va bien chez vous ? Vos textes me manquent.
@Corine Messonique
Alors, ça, Coco-qui-en-a, en voilà une drôle d'idée ! Gingie et Rosalie sont talentueuses, si vous saviez à quel point. Elles savent même rire.
Chère Catarina,
Je suggère que vous lâchiez sur Denis vos deux poules de combat, qu'elles lui piquent un peu les fesses pour lui apprendre la courtoisie.
Non mais j'vous jure.
Coco, une femme qui en a
@bichetdenis 1G
Peut-être vous faudra-t-il, un jour, abandonner votre mentalité et vos sordides récriminations de petit épicier. Et pourquoi ne retourneriez-vous pas vers vos peinturlures, qui sont à l'art ce que "Sambre-et-Meuse" est à la musique française ?
Après recherche, il n'existe aucune statistique de vente de ce livre en édition et les chiffres pour mbs sont les suivants (édifiants)
Selon les statistiques fournies par monBestSeller.com, Cité Balzac a enregistré :
165 lectures totales
0 téléchargement
1 ajout en bibliothèque
PS : je fais ce chiffre en 3 jours, et 350 lectures totales pour ma dernière publication en 1 semaine.
Ainsi vous lisez, appréciez mes écrits mais ne les commentez pas ??? Etrange géomètrie variable... et vous dites que je suis de mauvaise foi ?!
Ecoutez Catarina, j'ai fini par pendre vos silences pour des compliments. Et vu les scores de votre feuilletoniste adoubé, j'aurais un peu peur si vous m'encensiez....
Vous dites aussi avoir encensé un livre que personne ne lisait (quel aveu !) et que publie un libraire. La belle affaire ! L'entre soi, le copinage fonctionnent à merveille...
Est-ce un succès d'édition ? Vous avez les chiffres ? La moitié (80% disent les libraires en off) des livres édités ne dépassent pas 500 exemplaires vendus/France et finissent au pilon 3 mois après...
Mm si par définition un mauvais livre publié a plus de chance d'être lu qu'un excellent livre non publié... Votre plaidoyer en faveur de votre flair ne tient pas la route... Essayez donc avec un livre que vous détestez, il se vendra sans doute mieux...
@bichetdenis 1G.
Non, Denis, vous êtes la mauvaise foi incarnée. J’ai lu (partiellement avant qu’il ne disparaisse) « Kabylie, mon amour », et j’ai trouvé à ce texte de nombreuses qualités, je vous l’ai déjà dit.
Pour quelle raison voudriez-vous que je m’intéresse à votre feuilleton intitulé « 10 petits écrivains » ?
Il n’y a pas deux poids, deux mesures, il y a des textes que je me sens de soutenir, d’autres pas.
Par exemple, « Cité Balzac » est un texte que j’ai immédiatement soutenu. Il a été retenu par le Jury du Prix Concours constitué de libraires alors qu’il était 662e au classement. J’ai soutenu le premier texte de David Naïm -445e environ au classement à ce moment — il est actuellement édité et rencontre un grand succès de librairie. (Je ne vais pas vous faire une liste.)
Ce que vous ne voulez pas comprendre, c’est que mBS offre plusieurs voies vers différents lectorats. Le Best Of en est une, « Les succès du mois » en est une autre, et il y en a d’autres encore.
Ne me demandez pas d’apprécier des textes pour le principe, parce que je serais membre du mCL. Ne me demandez pas d’offrir 3 cœurs à tous les textes que j’ouvre, d’autres le font très bien. Je suis comme je suis. Je défends les textes que j’apprécie. Je compte sur d’autres lecteurs pour apprécier et défendre les textes qui ne me touchent pas.
PS : je m'absente jusqu'à demain.
Non Catarina, vous n'avez pas la dent dure. Vous avez la dent désensibilisée. D'ailleurs, vous n'argumentez jamais, vous affirmez ou bottez en touche... Même dans le cas présent, vous faites semblant de m'ignorer et d'ignorer la remarque de Pierre qui a si gentiment ou honnêtement posé la question du deux poids, deux mesures…
Soyons clair, je ne vous demande rien pour moi-même, sinon un peu d'honnêteté dans l'intérêt du site. Je vous l'ai dit, ou plutôt on me la dit, j'ai un gros défaut : "je suis intellectuellement honnête". Trente ans d'école républicaine...
Mais restons-en aux faits : il y a deux hypothèses, soit vous êtes douée d'un flair exceptionnel pour dénicher les bons auteurs... Soit les lecteurs, qui ne sont pas forcément des imbéciles, font des choix différents des vôtres, ont forcément tort.
Vos avis et ceux des lecteurs coïncident rarement. Les compteurs de lecture que mbs a mis en place, peuvent en témoigner (hormis celui/celle qui le trafique éhontément)
Je ne retiendrais que votre étonnant soutien-dont nous avons déjà parlé – pour votre feuilletoniste adoubé (et une ou deux autres que je ne citerai pas, de peur qu'ils nous fassent une crise d'urticaire) et votre mépris affiché pour mes écrits, que vous qualifiez de nuls et de triviaux.
Catarina , vous avez un badge mbs. Vous avez une responsabilité morale et intellectuelle, vous ne devez pas seulement incarner vos opinions ou celles d'un petit groupe d'initiés, mais celles de l'ensemble des lecteurs et des auteurs...
Merci.
@Pierre Sombrero
Ce qui compte, c’est de penser tout haut à propos des textes. Et c’est ce que vous faites dans ce commentaire. Et je vous en remercie.
Je crois que c’est plus Scola que De Sica. De Sica a, comme vous le dites, une musique tout en finesse, alors que Scola est plus « gros sabots », genre « si tu n’as pas compris, c’est que tu es bouché à l’émeri ». Ce texte n’est pas neuf (je l’ai remis en ligne pour mBL. Je l’avais offert aux gestionnaires pour qu’ils puissent faire leurs armes sur un manuscrit... je n’imaginais pas qu’il referait surface), et je pense que je ne l’écrirais plus ainsi aujourd’hui. La vie est un voyage, tout change tout le temps, et nous avec les paysages qu’on traverse.
Merci pour votre remarque — celle-ci, je la prends comme un compliment — : j’ai un flair pour dénicher des talents... j’aimerais qu’il soit encore plus vif pour aider du mieux possible les auteurs. Le revers de la médaille, c’est que je suis dure parfois avec certains. Tant pis. De vous à moi, je n’ai pas trop besoin qu’on aime Catarina Viti ou ses "machins". Merci, Pierre, à la revoyure.
D'accord.
@bichetdenis 1G.
Ce n'est qu'un texte, Denis. Si je me prenais le chou avec un texte... j'aurais vraiment du mouron à me faire. Vous ne croyez pas ?
Je vois que vous savez lire entre les lignes, que vous êtes sensible à l'ironie et accessible à l'autocritique...
@Vanessa Michel, @Bérénice Patatras
Merci.
@bichetdenis 1G.
Je suis ravie d'appendre que cette lecture vous a permis de réaliser, par contraste, ce qu'est un style. Vous voyez, on en apprend tous les jours en lisant de mauvais textes.
Je viens de parcourir votre roman et de réaliser par contraste ce qu'est un style.
Un style, c’est une cohérence d’ambiance, un climat d’écriture.
Le style, ce n’est pas seulement une manière de dire, c’est une manière d’être dans le texte — une tonalité qui traverse tout, relie tout, sous-tend tout.
À l’inverse, l’absence de style produit une dissonance : des mots juxtaposés sans logique interne, des phrases qui s’ignorent, des niveaux de langue qui s’entrechoquent comme des voix qui ne s’écoutent pas. Des images, des clichés faciles, cent fois utilisés...
Chaque personnage peut et doit avoir sa propre voix. Mais dans un récit habité par le style, on reconnaît cette voix avant même de savoir qui parle : une empreinte, une présence.
Le style, ce n’est pas une collection de mots, de verbes, de phrases posés les uns après les autres, comme des perles dépareillées sur des fils qui ne se croisent jamais. C’est un tissage. Un souffle. Une nécessité.
Il y a la même chose en peinture qd vous arrivez dans une expo, mm si les tableaux d'un peintre sont mélangés parmi d'autres, on doit reconnaitre immédiatement son style… Sinon, c'est qu'il n'en a pas. Pareil en écriture.
PS : Vous remarquerez que je ne porte aucun jugement d'écriture sur votre texte, je vous laisse apprécier si vous êtes "in" ou "out"... dedans ou dehors... mais je suis à votre disposition....