Le Temps des Cerises

34 pages
Extrait
de Catarina Viti
Le Temps des Cerises Catarina Viti
Synopsis

Le Mot de monBestLibraire
"Avec une plume acérée et poétique, Catarina Viti décrit la dignité des humbles et la violence des puissants. Mais la force est tapie dans les deux camps. Dans les actes chez les uns, dans les mots chez les autres.
Une écriture sans concession, un suspense psychologique "border line".
Un roman noir, dont le dénouement vous laisse pantois."
*
A la fin des 70, Pierre Altier, promoteur mafieux, fait raser la "Bambolina" pour d'obscurs motifs. La destruction de cet habitat collectif signe la destruction d'un petit univers d'ouvriers.
40 ans plus tard, Louise trouve le moyen de venger sa famille, et, à travers elle, la défunte classe ouvrière.
*
Ce roman est édité chez 50/50 les éditions mBS. En voici les 36 premières pages.

Publié le 05 Mai 2025

Les statistiques du livre

  257 Classement
  136 Lectures 30 jours
  2069 Lectures totales
  -27 Progression
  65 Téléchargement
  10 Bibliothèque
 

Ce livre est noté par

21 commentaires , 7 notes
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Merci, Léonce, @LEONCE CALIEL
Je souhaite que votre livre trouve aussi beaucoup de lecteurs enthousiastes.

Publié le 13 Septembre 2025
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Beaucoup d'émotions transmises dans ce roman. Nos racines, nos parents. On imagine qu'ils partent main dans la main du syndrome d'Ondine, une mort paisible en dormant., mais la réalité est toute autre.
Publié le 12 Septembre 2025

@Marie-Amélie Laporte
Je reste sans voix (et alors, ça, je vous jure qu’il faut le faire !).
Pourquoi montre-t-on ses textes, si ce n’est dans l’espoir qu’ils fassent résonner, dans le cœur et l’esprit du lecteur, la même passion rageuse et parfois démentielle qu’on a éprouvée pendant la longue gestation et la mise au monde du livre ?
La Bambolina a existé. Peut-être pas ainsi que je la raconte... C’était une maison un peu délabrée, grouillante, lovée au fond d’un vague terrain. Nous passions forcément devant chaque fois que nos pas nous menaient au village, ou, pour moi, à l’école. Je jetais un œil, en passant vite, et j’imaginais mille histoires. La Bambolina est maintenant une résidence luxueuse. (Voilà mon "bada". Encore merci)

Publié le 31 Août 2025
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Le titre m'a attirée, chanson nostalgique dédiée à Louise, ambulancière pendant la Commune et héroïne du roman. J'ai été immédiatement attirée par l'ambiance napolitaine et j'ai pensé à la chanson Era di maggio, chanson de Salvatore di Giacomo, contemporaine du Temps des cerises, qui résonne en moi comme l'équivalent napolitain de cette dernière.. Alors j'ai lu le livre en entier. J'ai adoré La Bambolina, métaphore d'un monde de mixité, de tolérance, de vivre ensemble. Un tel monde est insupportable pour Pierre Altier c'est pourquoi il le détruit comme les nazis et certains édiles en 1943 avaient rasé le quartier du vieux port à Marseille et déporté sa population pendant l'opération Sultan appelée plus tard Rafle du vieux port. Un texte ciselé avec des phrases qu'on n'oublie pas : "...Outrepasser les frontières artificielles de la culture pour renouer avec la profonde barbarie de l'être". Ou encore : "...mais on ne se moque pas de quelqu'un avant de lui larguer une bombe A sur la tête." A propos de la Bambolina : "...cette impression rapeuse, grouillante, à la fois grossière et resplendissante, misérable et sacrée". Un régal. Merci pour cette lecture revigorante.
Publié le 31 Août 2025

@catarinaviti votre résumé donne envie de vous lire. Ce que je ferai prochainement.

Publié le 30 Août 2025

@Catarina Viti Merci, oui : les vacances continuent, na !

Publié le 06 Août 2025

Merci @Markus Kline. Cela m'a fait tout drôle de savoir que ce petit livre avait fait un long voyage. Continuons la lutte. Et nous allons faire en sorte de donner des ailes à Perdida. Bonne suite de vacances.

Publié le 06 Août 2025
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@Catarina Viti Un récit bien ficelé, bien écrit, un langage qui louvoie entre rigueur formelle et familiarité (pour notre plus grand plaisir). Sur le fond, il s'agit d'une histoire édifiante dont la fin, bien conduite, est effectivement assez singulière. Une bonne dose d'humanité, de cruauté aussi, qui fait du "Temps des cerises" un roman noir qui se dévore. Bravo à vous Catarina, notre lutte littéraire continue ! MK
Publié le 05 Août 2025

Très cher @Nathan Bryan Akwelo_Nath Lover,
Laissez donc votre I.A. tranquille.
Vous n'avez pas lu une seule ligne de ce livre (dont il n'y a ici qu'un extrait, qui plus est, donc aucun moyen d'en faire une analyse).
Je travaille depuis des années avec l'I.A. notamment pour être en mesure d'évaluer les textes.
Votre story telling ne passera pas non plus... Il fait eau de toutes parts.

Publié le 12 Juillet 2025
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Chère @Catarna viti , Qu’importe ce que vous pensez de moi, j’espère qu’un jour nous pourrions apprendre à nous connaître et échanger à vive voix ou en face et voir que I.A n’a rien avoir avec mes textes et inspirations. Vous qui travaillez depuis des années avec i.a la profondeur de mes textes, les émotions et tout le reste excepté l’absence d’erreur ; l’i.a est-elle capable d’exprimer ce sentiment ? Mon assistante peut utiliser l’i.a pour corriger mes textes ou avoir un résumé de votre livre édité par les éditions 50/50 afin de me permettre de comprendre et vous écrire amicalement, cela ne fait pas du moins de moi un écrivain rempli d’inspiration. Un jour peut-être nous aurons à nous croiser, et je pourrais vous démontrer mon talent en face avec le sujet que vous voulez. En attendant, bonne chance avec vos œuvres et désolé si peut-être je vous déçois!! Amicalement Nath Lover
Publié le 12 Juillet 2025

Merci @Gilbert Gilbert 2.
Oui, bonne chance à eux et à leurs projets. Ce n’est pas du tout cuit, il y a tant de livres en circulation, j’espère vraiment que les leurs vont connaître le succès qu’ils méritent. mBL est une vraie formule pour ce genre d’ouvrages, j’y crois dur comme fer. Mais les acteurs font les organisations qui font les acteurs, comme a dit Edgar. Plus simplement, les miracles se font rarement seuls, la sauce doit prendre, et pour cela chacun doit y mettre du sien, chacun doit faire les 50 % du chemin... vaste programme.

Publié le 10 Mai 2025

@Catarina Viti
Je vous souhaite plein de succès sur la nouvelle librairie.
Le Temps des Cerises, j'avais déjà lu de larges passages précédemment et vu le travail stylistique que vous aviez accompli sur ce texte. Le feuilleton, hélas, interdit ce travail dans un premier temps. Du moins, pas autant qu'on pourrait le souhaiter.
Bonne chance, par ricochet, à tous les autres qui se sont lancés dans cette aventure.
GG

Publié le 10 Mai 2025

@bichetdenis 1G
Je vous l'ai dit par courrier : nous avons essayé de communiquer sans y parvenir. Restons-en là. Ou plutôt, faites comme bon vous semble, mais ne comptez plus sur mes réponses.
@Bérénice Patatras
Tout va bien chez vous ? Vos textes me manquent.
@Corine Messonique
Alors, ça, Coco-qui-en-a, en voilà une drôle d'idée ! Gingie et Rosalie sont talentueuses, si vous saviez à quel point. Elles savent même rire.

Publié le 08 Mai 2025

@bichetdenis 1G
Peut-être vous faudra-t-il, un jour, abandonner votre mentalité et vos sordides récriminations de petit épicier. Et pourquoi ne retourneriez-vous pas vers vos peinturlures, qui sont à l'art ce que "Sambre-et-Meuse" est à la musique française ?

Publié le 07 Mai 2025

Après recherche, il n'existe aucune statistique de vente de ce livre en édition et les chiffres pour mbs sont les suivants (édifiants)

Selon les statistiques fournies par monBestSeller.com, Cité Balzac a enregistré :
165 lectures totales
0 téléchargement
1 ajout en bibliothèque

PS : je fais ce chiffre en 3 jours, et 350 lectures totales pour ma dernière publication en 1 semaine.

Publié le 07 Mai 2025

Ainsi vous lisez, appréciez mes écrits mais ne les commentez pas ??? Etrange géomètrie variable... et vous dites que je suis de mauvaise foi ?!
Ecoutez Catarina, j'ai fini par pendre vos silences pour des compliments. Et vu les scores de votre feuilletoniste adoubé, j'aurais un peu peur si vous m'encensiez....
Vous dites aussi avoir encensé un livre que personne ne lisait (quel aveu !) et que publie un libraire. La belle affaire ! L'entre soi, le copinage fonctionnent à merveille...
Est-ce un succès d'édition ? Vous avez les chiffres ? La moitié (80% disent les libraires en off) des livres édités ne dépassent pas 500 exemplaires vendus/France et finissent au pilon 3 mois après...
Mm si par définition un mauvais livre publié a plus de chance d'être lu qu'un excellent livre non publié... Votre plaidoyer en faveur de votre flair ne tient pas la route... Essayez donc avec un livre que vous détestez, il se vendra sans doute mieux...

Publié le 07 Mai 2025

@bichetdenis 1G.
Non, Denis, vous êtes la mauvaise foi incarnée. J’ai lu (partiellement avant qu’il ne disparaisse) « Kabylie, mon amour », et j’ai trouvé à ce texte de nombreuses qualités, je vous l’ai déjà dit.
Pour quelle raison voudriez-vous que je m’intéresse à votre feuilleton intitulé « 10 petits écrivains » ?
Il n’y a pas deux poids, deux mesures, il y a des textes que je me sens de soutenir, d’autres pas.
Par exemple, « Cité Balzac » est un texte que j’ai immédiatement soutenu. Il a été retenu par le Jury du Prix Concours constitué de libraires alors qu’il était 662e au classement. J’ai soutenu le premier texte de David Naïm -445e environ au classement à ce moment — il est actuellement édité et rencontre un grand succès de librairie. (Je ne vais pas vous faire une liste.)
Ce que vous ne voulez pas comprendre, c’est que mBS offre plusieurs voies vers différents lectorats. Le Best Of en est une, « Les succès du mois » en est une autre, et il y en a d’autres encore.
Ne me demandez pas d’apprécier des textes pour le principe, parce que je serais membre du mCL. Ne me demandez pas d’offrir 3 cœurs à tous les textes que j’ouvre, d’autres le font très bien. Je suis comme je suis. Je défends les textes que j’apprécie. Je compte sur d’autres lecteurs pour apprécier et défendre les textes qui ne me touchent pas.
PS : je m'absente jusqu'à demain.

Publié le 07 Mai 2025

Non Catarina, vous n'avez pas la dent dure. Vous avez la dent désensibilisée. D'ailleurs, vous n'argumentez jamais, vous affirmez ou bottez en touche... Même dans le cas présent, vous faites semblant de m'ignorer et d'ignorer la remarque de Pierre qui a si gentiment ou honnêtement posé la question du deux poids, deux mesures…
Soyons clair, je ne vous demande rien pour moi-même, sinon un peu d'honnêteté dans l'intérêt du site. Je vous l'ai dit, ou plutôt on me la dit, j'ai un gros défaut : "je suis intellectuellement honnête". Trente ans d'école républicaine...
Mais restons-en aux faits : il y a deux hypothèses, soit vous êtes douée d'un flair exceptionnel pour dénicher les bons auteurs... Soit les lecteurs, qui ne sont pas forcément des imbéciles, font des choix différents des vôtres, ont forcément tort.
Vos avis et ceux des lecteurs coïncident rarement. Les compteurs de lecture que mbs a mis en place, peuvent en témoigner (hormis celui/celle qui le trafique éhontément)
Je ne retiendrais que votre étonnant soutien-dont nous avons déjà parlé – pour votre feuilletoniste adoubé (et une ou deux autres que je ne citerai pas, de peur qu'ils nous fassent une crise d'urticaire) et votre mépris affiché pour mes écrits, que vous qualifiez de nuls et de triviaux.
Catarina , vous avez un badge mbs. Vous avez une responsabilité morale et intellectuelle, vous ne devez pas seulement incarner vos opinions ou celles d'un petit groupe d'initiés, mais celles de l'ensemble des lecteurs et des auteurs...
Merci.

Publié le 07 Mai 2025

@Pierre Sombrero
Ce qui compte, c’est de penser tout haut à propos des textes. Et c’est ce que vous faites dans ce commentaire. Et je vous en remercie.
Je crois que c’est plus Scola que De Sica. De Sica a, comme vous le dites, une musique tout en finesse, alors que Scola est plus « gros sabots », genre « si tu n’as pas compris, c’est que tu es bouché à l’émeri ». Ce texte n’est pas neuf (je l’ai remis en ligne pour mBL. Je l’avais offert aux gestionnaires pour qu’ils puissent faire leurs armes sur un manuscrit... je n’imaginais pas qu’il referait surface), et je pense que je ne l’écrirais plus ainsi aujourd’hui. La vie est un voyage, tout change tout le temps, et nous avec les paysages qu’on traverse.
Merci pour votre remarque — celle-ci, je la prends comme un compliment — : j’ai un flair pour dénicher des talents... j’aimerais qu’il soit encore plus vif pour aider du mieux possible les auteurs. Le revers de la médaille, c’est que je suis dure parfois avec certains. Tant pis. De vous à moi, je n’ai pas trop besoin qu’on aime Catarina Viti ou ses "machins". Merci, Pierre, à la revoyure.

Publié le 07 Mai 2025
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Bonjour Catarina, En fait je suis venu sur cette page, pour 3 raisons. Le titre, le synopsis et l'ensemble de votre œuvre. J'entends par "ensemble de votre oeuvre"le travail que vous effectuez sur le site mais aussi la virtuosité de vos critiques, même si je ne partage pas toujours vos points de vue. Globalement, vous avez un vrai talent pour dénicher les bons textes et les bons auteurs...Mention spéciale à Heléne Appert et Jacques Roure, mais je vous trouve vraiment sévère avec Denis. Alors moi, je ne suis pas critique et encore moins écrivain...Mais je vais essayer quand même de formuler 2 , 3 chose que j'ai ressenties à la lecture de ces 28 pages. Alors moi, ce que j'attends d'un roman, c'est qu'il me captive par son style, mais aussi par son intrigue, son univers, la singularité des situations, des personnages, sa musicalité..Alors le début, il est super bien écrit avec vraiment de très jolies phrases...Et aprés vous plantez assez vite le décor..Et c'est là où pour l'instant, j'accroche moyen.. Parce que moi ce que j'aime aussi dans un roman, c'est de l'imaginer comme un film..et votre Bambolina, je la voyais comme dans un film de De Sica.. Parce que dans les film de De Sica, on entend chanter les personnages , même quand ils son tristes..Alors c'est peut-être cette petite petite musique mélancolique que je n'entends pas pour le moment...Mais peut-être, n'ai -je pas non plus largement ouvert mes oreilles à la chanson du merle moqueur?Bien cordialement.Pierre Sansberro
Publié le 07 Mai 2025

D'accord.

Publié le 06 Mai 2025

@bichetdenis 1G.
Ce n'est qu'un texte, Denis. Si je me prenais le chou avec un texte... j'aurais vraiment du mouron à me faire. Vous ne croyez pas ?

Publié le 06 Mai 2025

Je vois que vous savez lire entre les lignes, que vous êtes sensible à l'ironie et accessible à l'autocritique...

Publié le 06 Mai 2025

@Vanessa Michel, @Bérénice Patatras
Merci.

Publié le 06 Mai 2025

@bichetdenis 1G.
Je suis ravie d'appendre que cette lecture vous a permis de réaliser, par contraste, ce qu'est un style. Vous voyez, on en apprend tous les jours en lisant de mauvais textes.

Publié le 06 Mai 2025
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@Catarina Viti Ça, que c'est écrit, chère madame. Et, qui plus est, bien écrit. Une éclaircie bien venue au milieu d'un déluge où le patagon le dispute trop souvent au jargon, au galimatias et au volapük. Mais j'avais déjà dû vous dire la chose, dans un fol élan d'enthousiasme (dont, rassurez-vous, je me suis depuis remise), lors de la première apparition des cerises sur le gâteau du site (si ça ce n'est pas du style grand siècle, que Bichette me culbute !). Bref, bravo, chère madame, et que mille félicités vous turlupinent sur le chemin scabreux du succès. Amen.
Publié le 06 Mai 2025
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Je suis heureuse de découvrir votre écriture Catarina. C'est ciselé et dense à la fois. Chantant aussi - notamment grâce au vocabulaire des terres de soleil, mais pas que. J'ai aimé la multiplicité des échanges et ce faux langage parlé - proche de nous. Un petit air de l'attrape-cœurs (de mémoire), dans le monologue intérieur de Louise au début. C'est très intéressant ce brassage de personnages, ce foisonnement. Ce métissage des personnalités. La plume est bien différente, mais je ressens des recherches communes avec Beauvoir : le travail important (épure et naturel) sur les dialogues, les liens entre les personnages qui permettent de les affiner... Merci pour ce partage ! Mention spéciale à l'image qui m'a fait rêver : "m'arracher à l'attraction de la ligne d'horizon à peine plus grise que la mer ou le ciel, irisée." Que c'est beau !
Publié le 05 Mai 2025

Je viens de parcourir votre roman et de réaliser par contraste ce qu'est un style.
Un style, c’est une cohérence d’ambiance, un climat d’écriture.
Le style, ce n’est pas seulement une manière de dire, c’est une manière d’être dans le texte — une tonalité qui traverse tout, relie tout, sous-tend tout.
À l’inverse, l’absence de style produit une dissonance : des mots juxtaposés sans logique interne, des phrases qui s’ignorent, des niveaux de langue qui s’entrechoquent comme des voix qui ne s’écoutent pas. Des images, des clichés faciles, cent fois utilisés...
Chaque personnage peut et doit avoir sa propre voix. Mais dans un récit habité par le style, on reconnaît cette voix avant même de savoir qui parle : une empreinte, une présence.
Le style, ce n’est pas une collection de mots, de verbes, de phrases posés les uns après les autres, comme des perles dépareillées sur des fils qui ne se croisent jamais. C’est un tissage. Un souffle. Une nécessité.
Il y a la même chose en peinture qd vous arrivez dans une expo, mm si les tableaux d'un peintre sont mélangés parmi d'autres, on doit reconnaitre immédiatement son style… Sinon, c'est qu'il n'en a pas. Pareil en écriture.
PS : Vous remarquerez que je ne porte aucun jugement d'écriture sur votre texte, je vous laisse apprécier si vous êtes "in" ou "out"... dedans ou dehors... mais je suis à votre disposition....

Publié le 05 Mai 2025