
Guillaume et Jeanne sont deux jumeaux de cœur, de 60 ans d’écart, que la vie va faire se rencontrer.
L’un est la doyenne presque centenaire d’une maison de retraite, et l’autre l’aide soignant qui s’est pris d’amitié pour elle.
Pas de hasard dans cette rencontre plus qu’improbable entre deux générations qui ne semblent pas avoir grand-chose en commun.
Pourtant, chacun d’eux garde au fond de lui un secret terrible. Au fil des confessions qu’ils se sentent comme viscéralement obligés de se faire, on découvre que le domaine des sentiments et des passions n’a aucune frontière, que ce soit entre les sexes, les générations, les lieux et les époques. Car tout est effroyablement semblable et troublant dans le cheminement psychologique des amours tragiques de ces deux handicapés de la vie.
Ce livre est noté par
@Marie Peterburger
Merci pour vos compliments et encouragements. Je comprends que le titre soit déroutant.
Le sens de "Torch" dans ce contexte littéraire s'inspire en fait de ce qui découle des "Torch songs". En Français on pourrait assimiler cela à "chanson réaliste", et tout particulièrement dans l'excès sentimental présent parfois dans les textes : des situations dont la description frôle l'exagération qu'elles finissent presque par tomber dans la démesure.
C'est personnellement comme tel que je ressens l'humeur de mon livre où les sentiments parfois surjoués caressent l'interprétation emphatique des tragédies grecques.
Je sais, c'est un peu capillotracté comme on dit !
Cependant, on peut y voir d'autres interprétations / ressentis.
Une anecdote à ce propos : un éditeur canadien m'avait proposé de publier mon livre. Il m'avait d'ailleurs envoyé tout un travail d'illustration de la première de couverture où était représentée la flamme d'une torche sur un fond noir. En effet, on peut (au sens anglais d'une torche) y voir le récit de destins qui brûlent les vies de Jeanne et Guillaume, et aussi celles de leurs amours.
Malheureusement, j'ai dû préciser à cet éditeur que j'avais signé auprès d'une autre maison (ce qui était vrai, publié en son temps sous un pseudonyme). L'éditeur canadien m'avait appelé pour me dire combien il était déçu et qu'il me souhaitait malgré tout le meilleur succès pour ce roman.
Enfin, j'avais pensé à d'autres titres qui auraient pu convenir mais qui au final me semblaient un peu fades et restreints.
Voilà. Encore tous mes remerciements à vous !
@ Thierry Dudley Je me permets de rappeler l'attention sur votre livre. Il vaut vraiment la peine d'être lu. Malheureusement je crains que vous n'ayez pas très bien choisi son titre, qui est peu attirant. TORCH, qu'est-ce que ça veut dire? Il s'agirait, d'après le Net, d'un programme informatique. S'il n'y a pas d'autre définition que celle-là, je ne vois personnellement que très peu de rapports entre le titre et le contenu de votre magnifique roman. Amicalement.
Comme c'est beau et bien écrit... Sujet hors du commun, très émouvant. Deux personnes qui se veulent un bien fou et se racontent l'une à l'autre sans peur du jugement, simplement parce qu'elles se font confiance ... juste magnifique !
Si un lecteur de ce récit, en lien avec le monde de l'édition, peut m'expliquer pourquoi un tel rendu ne peut intégrer un catalogue à compte d'éditeur, je serais heureuse de comprendre enfin les arcanes de la sélection des maisons d'édition.
Je ne peux qu'inviter les lecteurs à refuser les diktats des éditeurs en snobant les ouvrages médiocres dont ils inondent le marché "littéraire" et encourager des auteurs tels que celui-ci qui fournissent un travail de qualité.
J'espère, monsieur, que vous n'avez pas abandonné et vous souhaite de rencontrer le public qui vous attend. Vous le méritez. Bonne chance !