Avant d'aller voter, lisez ce livre ! Comprendre pourquoi les pauvres fuient, et les riches partent.
Un monde liquide, les populations se répandent, comme l'eau qui s'écoule, mais aussi le matériel et l'immatériel. Le pouvoir politique est dépassé, de nouveaux pouvoirs se sont installés. A découvrir pour comprendre le monde dans lequel on vit, et surtout celui dans lequel on nous engage. Les politiques nous décrivent à longueur de discours un monde inapproprié, qui n'existe déjà plus, et qui leur échappe. La mondialisation est en marche, inconscient celui qui prétend pouvoir la maîtriser, l'accompagner est la seule alternative possible, sauf à disparaître.
Ce livre est noté par
@ADA JEAN PAUL
Bonsoir cher lecteur,
Vos commentaires sont de la qualité dont vous me gratifiez dont je vous remercie. J'apprécie particulièrement vos observations qui soulignent l'importance du sujet dont on peut dire qu'il est intemporel, mais aussi comme vous le dites consubstantielle de l'humanité dans la profondeur de son mystère. Aussi, je vous engage à compléter ce que j'ai voulu dire, le redire sera une pierre de plus à ajouter à la construction d'une lucidité que les décisionnaires de ce monde devraient l'éclairer.
Avec tous mes compliments, accompagnés de mes sincères remerciements.
A vous relire avec plaisir, après votre deuxième lecture, si vous le souhaitez.
Jean Claude ROBIN
@Jean claude
Bonsoir cher auteur,
C'est avec plaisir que j'ai parcouru votre ouvrage que je relirai parce qu'il met en évidence une question brûlante de l'histoire entre les peuples. En quête de quelques analyses sur le sujet, je sors satisfait après cette première lecture! Car, votre texte voulu objectif, parcourt de façon particulière, les notions migrations, émigrations et immigrations en rappelant qu'elles sont consubstantielles à l'humain.
Poser la dynamique des déplacements humains sur une analogie de la dynamique des fluides m'a semblé intéressante. D'abord, parce que cela permet de ne pas avoir un parti pris, donc une analyse froide. Puis, cela montre l'humain que vous êtes n'oublie pas l'histoire de son propre pays qui s'est construit en présence des forces extérieures. La mécanique de newton, certes évoquée avec éloquence, ne restitue pas la complexité des rapports de forces d'une certaines migrations entre l’Europe et l'Afrique.
Je salue le travail dans sa longueur et sa profondeur. Il est bon de dire que votre opinion finit par ressortir lorsque vous appréciez les migrations européennes en direction de l'Amérique. Vous saluez cette descente sur le continent Américain, en minimisant les dommages 'collatéraux' selon le jargon occidental. Alors une question: Si l'émigration européenne en Amérique a entraîné un génocide indien qui est négligeable et l'esclavage aussi, pourquoi craindre la venue des Africains qui bouscule les emplois? Pourquoi faut-il toujours saluer 'l'ordre
établi' occidental, malgré ses effets dans un monde nouveau, et craindre un phénomène analogue qui, de surcroît, ne produit pas des effets similaires. Votre travail tombe à pique, car je suis entrain d'écrire un ouvrage sur ces Kamites qui viennent du continent africain. Et une vision objective comme la vôtre me nourrie davantage pour mieux appréhender la vision occidentale, qui fût majoritaire et dominante dans le reste du monde.
En essayant de sortir de ce livre, je voudrais, avant de revenir vers vous, faire savoir que le sujet brûlant des migrations sera plus important les années à venir. Non pas parce que l’Europe risque être inondée, mais parce que l'Afrique va subir des vagues étrangères à cause des ses richesses . C'est un scénario qui n'est nullement avoué, et se déguise par la discussion autour de la démographie africaine qui fait polémique. Les causes réelles des migrations des africains ne ressortent jamais dans les analyses françaises. A qui appartiennent les richesses africaines? Si De Gaulle parle de la grandeur des nations assumées, pourquoi ne parle-t-il pas des déterminants réels de cette grandeur? Vous établissez une différence entre les réfugiés et les migrants économiques! Permettez que je vois dise que ce n'est qu'une différenciation littéraire car, tous partent à cause de la politique colonial assurée par des présidents qui ne sont que des gouverneurs des pays africains. Suivez donc mon regard vers la francophonie.
Pour la bannière du front national, une chose est bonne à savoir. Les générations futures se construisent sur le présent: le rejet de l'immigré nourrira un certain déterminisme. Les jeunes africains apprennent du front national comme ils apprennent des autres mouvements politiques. Demain en Afrique, il y aura des partis politiques et des idéologies similaires. Et puisse que vous parliez de Newton, cette mécanique produira les mêmes effets!
L'Europe de la forteresse a justement des ''attracteurs'', comme l'Afrique la chasse gardée a des ''répulseurs''! et comme votre travail qui m'inspire met en évidence les lois de la thermodynamique, de l'attraction et de la répulsion, il est prévisible que demain, l'Europe frappe à la porte de l'Afrique comme la france l'a fait pendant la 1ere et la 2eme guerre mondiale. Et chose sûre, la mémoire de ceux qu'on traîne sous le vocable ''migrant', inspirera la nature de l'accueil des futurs européens.
Vivement que vous recevez ce message, car après une seconde lecture, je vous referai part d'une série de questions sur certaines parties de votre travail qui me semblent très bien traitées.
Je ne partirai pas sans vous dire que la tonalité de votre ouvrage ménage le lecteur et l'incite à aller jusqu'au bout, chose rare dans un monde devenu polémique. Et si moi je me le permets, c'est parce que je trouve que vous avez beaucoup plus à dire, et qu'il ne faut pas simplement vous saluer, mais essayer d'extraire le non-dit qui est confiné en vous! Merci
cordialement
@jean claude ROBIN vraiment très bon titre qui m'aidera peut etre à comprendre la motivation de mes frères africains à vouloir coute que coute aller en Europe au détriment de leur vie par bateau.
@Wilberson Damiste.
Merci de votre commentaire, qui m'honore. N'hésitez pas le sujet est intemporel, mais aussi actuellement subversif.
@lamish
Chère Michèle, une nouvelle fois je suis très touché !
Votre commentaire me confirme, qu'on peut trouver du plaisir dans la lecture d'essais qui n'ont pas la même vocation que les romans de qualité, comme vous savez très bien le faire. Aussi, je suis ravi de vous avoir procuré ce plaisir que vous soulignez, alors que nous ne sommes pas catalogués de la même couleur. Peut-être avez vous lu dans la rubrique actualité de MBS, l'article que j'ai produit le 2 novembre 2016, intitulé "le rouge et le jaune", vous êtes rouge, je suis jaune. Ces deux couleurs mixées donnent naissance à la couleur orange, qui aujourd'hui symbolise l'or et le soleil, comme le sont les 5 étoiles dont vous avez bien voulu me gratifier, une nouvelle fois merci.
Très cordialement.
@guy fontenasse
Cher Monsieur, merci de votre commentaire réconfortant. Ce livre, je l'ai voulu tel que vous le décrivez. Sur ce sujet difficile, j'ai voulu introduire un peu de sérénité de pensée, pour compenser un débat politique qui ne l'est pas. Vous soulignez l'actualité des flux migratoires, c'est un phénomène récurrent et permanent. Le plus important est d'anticiper ce qu'il pourrait engendrer dans le futur, le pire n'est jamais certain, mais on ne peut l'exclure, et c'est une raison suffisante pour y réfléchir.
@Josselyn Pagliarini
Merci de votre remarque, parfaitement fondée, erreur rectifiée depuis.
@Lisa DJ
Chère Lisa, que je ne connais qu'à travers votre commentaire élogieux, permettez moi de vous informer si vous ne l'êtes déjà, que vous êtes à l'honneur sur le site monBestSeller.com. En effet, je cite votre appréciation dont vous avez bien voulu me gratifier dans le blog qui vient de m'être consacré, qui donne lieu à des échanges de qualité sur le sujet intitulé "Le rouge et le jaune" autrement dit "Le roman et L'Essai"
Encore une fois très cordialement merci.
Jean Caude ROBIN
@Lisa DJ.
Merci Lisa, de votre commentaire, je suis ravi de vous avoir intéressé sur ces sujets difficiles dont beaucoup se saisissent, sans y réfléchir sereinement, ce que j'ai tenté de faire sans à priori. Vous dites, "analyse fine et visionnaire", merci encore pour cette appréciation courte, légère et dense à la fois.
Une analyse fine et visionnaire , filtrée par le ton presque badin d'une conversation. Intéressant.
@joseph. Cher Monsieur, merci de votre commentaire bienveillant, deux mots : pamphlet et culture le résume. Pamphlet certes, voltaire que je cite souvent en fut l'un des maîtres, il fut contraint d'émigrer pour se protéger du courroux des puissants. Déjà à son époque, il disait "la politique a sa source dans la perversité plus que dans la grandeur de l'esprit humain, et il ajoutait la République n'est point fondée sur la vertu ; elle l'est sur l'ambition de chaque citoyen qui contient l'ambition des autres". Qu'en est-il aujourd'hui ?
Quant au mot culture il s'oppose constamment au mot nature, c'est "l'inné et l'acquis", sujet de mon précédent ouvrage "L'homme Chinchilla et le rêve au féminin".
Merci de me lire !
Jean Claude ROBIN.