Hugues Cayzac

Biographie

Ayant décidé de quitter cet espace corrumpu, je préfère expliquer les raisons de mon départ (voir le blog) tant que mes paiements en cours me le permettent.

Hugues Cayzac a noté ces livres

3
Bien écrit, merci beaucoup. Je ne sais pas si c'est le choix du journal, mais j'ai plutôt lu une monographie qu'un roman (effet accentué par les notes de bas de page). Tous mes encouragements.
Publié le 11 Septembre 2023
4
L'histoire en elle-même, je jubilais : c'est pas vrai? elle va... Je n'ai pas compris à quoi servait le "prologue". Je trouve le rythme trop saccadé et le ton monocorde mais c'est une question de goûts et de couleurs. Et trop court...
Publié le 24 Août 2023
5
J'y suis allé à reculons car je ne lis jamais de roman psychologique. Mais j'étais curieux de lire le frère jumeau de l'écrivain du "Bonheur dans la poche", oeuvre qui m'avait beaucoup plus, un défi d'écriture relevé haut la main. Au final, celui-ci, je l'ai lu d'une traite. L'histoire en elle-même n'a rien d'extraordinaire (bien que par un certain aspect... excellent, excellent...) mais le rythme est génial, des chapitres courts (qui ne tombent pas dans la facilité de l'accroche systématique et lourde de fin à la Dan Brown) sauf un, juste quand il faut. Ce rythme totalement maitrisé doit également à des retours sur le passé qui sont là exactement où ils doivent être. Sa qualité tient aussi à un juste équilibre entre la narration et les dialogues. il doit aussi aux libertés que vous prenez dans le maniement de la typographie (italique, majuscules). Je ne peux pas entrer dans les détails mais il est des extrapolations d'écriture (article de journal, chanson, etc.) qui donnent de l'épaisseur et de la diversité (en même temps...) au récit. Les personnages sont très bien campés, j'ai savouré l'ironie quant à ceux et celles qui ne sont pas sympathiques. Les descriptions de décor ne sont jamais ennuyantes, elles sont légères, juste ce qu'il faut. Apparaissent parfois des petits messages, critiques, habilement, en filigrane. Pour finir, ce rythme endiablé doit beaucoup à votre maîtrise de l'écriture impressionnante et votre façon maline de jouer avec les paragraphes. Je ne sais pas ce qu'en dirait G. mais c'est de la très bonne zique. Un grand merci, vraiment.
Publié le 03 Juillet 2023
5
Un thriller comme je les aime : du rythme (même si, impatient, je trouve que ça met trop de temps à venir), une bonne intrigue (j'adore les surprises de dernier moment) et des personnages que vous laissez vivre leur vie (même si leur parler est parfois quelque peu caricaturé). Les appels de notes, grrrrr, mais j'ai fait comme s'ils n'existaient pas, problème réglé. Un grand bravo!
Publié le 08 Juin 2023
4
Vous avez un style, ce qui est rare. Mais, mais... je n'ai pas trouvé d'histoire. Votre description de l'enfer islamique (dans certains pays) pour les femmes est très bien décrit. Mais, mais... au-delà du petit cercle mondialisé, vous êtes très loin du compte. J'aime beaucoup voyagé. Mais, mais... avec plus de pages. Vous avez un réel talent. Mais, mais... Je sais que pour une écrivaine, le mot "travail" peut sonner horriblement, ou que je suis peut-être (certainement) de la vieille école. Mais, mais... j'en suis convaincu : dans votre cas, plus d'exigence, plus de succès! Tous mes sincères encouragements.
Publié le 23 Mai 2023

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Je ne m'adresse pas à la petite bande de copines et de copains qui font le show (genre "je vais emmerder tout le monde tant que vous ne m'offrez pas une tribune où je puisse m'épancher sur des pages et des pages, parce que je suis vraiment géniale, pour dire qu'il faut travailler et se faire relire par d'autres") mais à celles et ceux qui le contemplent. C'est ainsi: on peut même être sélectionnée pour le concours en proposant seulement un titre? Après qu'il ait été, conseillé, analysé, bêtalecturisé et sanctifié par une ou des prestataires de la plateforme, bien sûr! Une fois de plus, le marché corrompt l'art, transformant passions et efforts des unes en petit supermarché où les autres viennent pousser leur caddie. Quant au reste, les auteures gogos, profitons (nous, des critiques d'art frustrées de ne pouvoir être des artistes) de leurs ambitions pour en extraire le maximum de liquide et humilions-les au passage de notre petite arrogance de bobos parisiennes frustrées. A défaut d'avoir suffisamment d'imagination pour être écrivaines, je ne vois effectivement pas d'autre issue pour vous que de vous faire passer pour des conseillères en écriture (dit comme ça, on se rend compte de l'arnaque, non? Conseillères en écriture...). Pour conclure: payez quelques conseils à ces hyènes de leur propre médiocrité littéraire, elles seront à tu et à toi, vous pourrez vous adresser à elles par leur vrai prénom (bien qu'elle soient toujours très occupées entre la piscine et le train, de véritables petites femmes d'affaires dont l'avis vaut son pesant de...), et même en présentant seulement quelques feuillets de brouillon, vous pourrez peut-être accéder à cette Olympe de la littérature où vous ne croiserez malheureusement aucun éditeur un tant soit peu connu sur la place publique. Auteuses, ne mesurez surtout pas vos désirs littéraires et votre travail (persévérant, j'en suis sûr) à l'aune de cette plateforme ! Elle n'en a pas les compétences et n'est de toute façon pas conçue pour cela! Lectrices, je vous rappelle que ce sont les lectrices qui font le succès d'un livre (je n'ai pas dit d'une auteure), ne vous laissez pas impressionner par d'abscondes pseudo-professionnelles et commentez vos lectures, c'est la raison pour laquelle les autrices déposent leurs manuscrits ici. Elle cherchent l'opinion de lectrices et d'éditrices, pas de professions intermédiaires et parasites. C'est bien triste tout ça. Evidemment, ce petit topo se conjugue également au masculin.

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