LAULAULA

J'ai écouté la version audio de ce texte, et j'avoue que la voix envoûtante de son auteure m'a captivée ! C'est comme toujours un très beau morceau littéraire, une tranche de vie empreinte de poésie et de réalisme magique. Bravo, une très belle réussite !

Je termine la lecture d'une traite de votre histoire incroyablement forte et émouvante. Quelle histoire, quels destins et quels entrecroisements, beaucoup d'émotions. On devine les pouvoirs de cette jeune fille à son d'autonomie et à son attirance pour la solitude. A la fois indifférente aux sentiments de bienséance et paradoxalement presque hyperhestésique, l'héroïne est donc traversée de certitudes frisant le génie. J'ai deux seuls regrets à la fin mais comment dire sans trop spoiler : 1 - je reste étonnée de son statut final au regard de sa force tout au long de l'histoire. 2 - le nombre de la fin correspond à des années ou des mois alors que le reste correspond à des jours (perturbant, non ?) voilà j'espère que je suis restée assez mystérieuse pour ne pas dévoiler qqchose à de nouveaux lecteurs, et assez claire pour que vous me compreniez. Ces deux détails n'enlèvent absolument rien à cette histoire remarquable dont je ressors absolument conquise et époustouflée.

Merci pour ce texte intéressant. On se dit que le monsieur a sans doute eu de la chance de ne pas payer plus cher la violation de territoire... Très bien écrit comme d'habitude. Et étonnant. Merci chère Catarina pour partager tes écrits ici

Ah comme c'est bien vu et cruellement réaliste ! Eh oui... on ne chasse pas en toute innocence. C'est ce qu'aurait dû lui apprendre sa mère. Elle n'a plus qu'à prendre ses jambes à son cou, la pauvrette. Ca me rappelle une certaine balade sur une certaine plage... Je m'étais aventurée dans un endroit sauvage sans me rendre compte que j'étais entrée dans un territoire de naturistes ou nudistes ou enfin bref, je ne sais pas de quel courant ils se revendiquaient mais j'étais apparemment la seule proie à l'horizon et il semblaient affamés. Mais enfin, on ne peut même pas se promener en paix ! Il y en avait qui sortaient derrière de toutes les dunes et bouquets de joncs et super entreprenants. J'ai dû rester courtoise et rejoindre des contrées plus civilisées en serrant les fesses. Lol

Excellent ! Bravo