@William Tsobgny. J’ai aimé dans ce roman didactique le suspense autour de la transaction. Les actions nécessaires à son aboutissement sont bien menées et l’information bien étayer. Merci pour votre partage. Il n’y a pas, à mon goût, suffisamment d’apports provenant d’Afrique francophone. Je vous encourage à continuer et je vous invite à lire ma dernière publication : l’envers de l’or vert. L’action se passe en Afrique et les protagonistes sont africains.
@Philippe Clausels. Souvenirs, souvenirs, une matière prolifique pour l'écriture. Joli texte, les souvenirs à venir se construisent sur le terreau du passé.
@galodarsac. J’adore votre façon de traiter l’interaction entre Leni et Diane. Je jubile pour la description ironique du mouvement ONG qui s’acharne à vouloir gérer la pauvreté. La caricature est superbement rendue, on dirait Tintin au Congo. Là où j’ai un problème: c’est que cette caricature est typique de l’état d’esprit de certains expatriés français en Afrique. Elle est imprégnée de mépris et loin de la réalité. Selon Freud le rêve est la voie royale pour parvenir à l’inconscient. Y aurait-il une frustration inconsciente postcoloniale? Ah…le temps béni des colonies!
Toujours est-il que c’est bien écrit, mieux que j’aurais pu le faire. Alors, quatre étoiles, une de perdue à cause de Freud.