Me revoici pour commenter ce deuxième tome de l'histoire d'Elvira, "enfant trouvée des étoiles" que je n'avais pas oubliée, en dépit du mois écoulé depuis ma rencontre avec elle... Je n'ai pas voulu bouder mes autres lectures, mais elle m'a fait de l'oeil quotidiennement, dans ma bibliothèque virtuelle, attendant patiemment que je la considère de nouveau ;-). /// Ces retrouvailles ont été agréables, car dès les premières lignes, je me suis retrouvée en terrain connu, comme lors de réunions entre vieux amis. Cela prouve l'excellence de la structure de cette longue aventure qui a marqué mon esprit. J'ai encore apprécié votre ton, qui ne donne pas dans le trop fréquent sensationnalisme du genre. /// Ce tome m'a inspiré une réflexion : l'humain augmenté pourrait-il rivaliser avec le talent d'Elvira tout en conservant les sensibilités qui lui font défaut ? /// À bientôt (bientôt relatif, vous l'aurez compris ;-)) et bonne soirée. Amicalement, Michèle

@Philippe Clausels Toujours les mêmes jolies phrases poétiques, toujours une contemplation aux notes nostalgiques, qui m'ont donné l'impression de suivre tes pérégrinations plutôt que celles de ta fille. /// Il y a une forme de répétition dans ton oeuvre qui crée un effet hypnotique. /// Résumer un tel périple en si peu d'images, si peu d'impressions, m'a quelque peu laissée sur ma faim, comme ton lecteur précedent, mais tu m'as avoué toi-même être moyennement satisfait, alors au boulot pour améliorer tout cela, cher ami ;-) ! /// Bises et bonne soirée, Michèle

Bonsoir @Caroline Chanoire J'avais déjà apprécié "Hors de ma vue", et cette petite dernière ne m'a pas déçue. /// Une aventure immobilière qui tourne mal, comme cela se produit si souvent lorsque l'enthousiasme occulte l'ampleur de la tâche. Le sujet est bien exploité, et l'on se demande pourquoi votre héros se jette ainsi dans la gueule du loup malgré les multiples signaux d'alarmes lancés par son intuition... L'attraction du passé et de sa petite dose nostalgique qui finit par supplanter les mauvais souvenirs, sans doute ;-). /// Merci pour ce joli partage. Amicalement, Michèle

@Michel CANAL Bonjour, cher ami. Il m’a fallu plusieurs jours de lecture fractionnée pour terminer ce huitième volet dont la consistance et le détail m’ont épatée, une fois de plus… Quel travail de fourmi titanesque ! Quelle belle démonstration de ténacité et de suite dans les idées ! /// Comme pour les épisodes précédents, j’ai apprécié la précision de tes comptes-rendus, et si la plupart des événements ne m’étaient pas inconnus, tu as complété mes connaissances et m’en as fait découvrir d’autres, telle la préméditation de la décision de dissolution de l’Assemblée nationale prise en juin dernier par notre Président. /// J’ai découvert aussi la polémique autour de la chanson “No pasarán”, et même si je suis loin d’être pro RN, je trouve inadmissible de ne pas s’insurger contre certaines paroles de cette chanson comme : “Allez niquer vos mères, Marine et Bardella / Marine et Marion, les putes, un coup de bâton sur ces chiennes en rut / Fuck Éric Zemmour / On en est là avec un seul candidat Jordannuel Macronardella"… Et on va dire après cela que l’on vit dans un pays où nos libertés sont bafouées !... Je conseillerais volontiers à ces grandes gueules un petit séjour touristique dans certains pays moyen-orientaux ;-). /// Enfin, la description fouillée des Jeux de la XXXIIIe Olympiade, tant dans leur déroulement que dans tout ce qu’ils ont supposé en coulisses, m’a intéressée et beaucoup appris aussi. /// Merci infiniment pour cet impressionnant partage dont un exemplaire broché viendra très prochainement rejoindre les sept précédents dans ma bibliothèque ;-). Bravo et bises amicales, Michèle

@DEC I @DEC II Waouh, sacré job ! Vous ne chômez pas :-)... /// Je conseille vivement à vos futurs lecteurs de télécharger le PDF et de lire en écoutant, les rythmes et les mélodies de qualité, actuels, collant parfaitement au message texte. /// Félicitations à tous. Et pour l'idée et pour la réalisation. Je me répète, mais c'est vraiment du bon job. Amicalement, Michèle