Solidarité d'auteurs, de lecteurs, d'une plateforme pour un but commun 5 000 visiteurs jour, 150 000 visiteurs par mois. Mieux vaut que votre livre soit présentable
Quand Nicolas Faroux, DG de Chapitre.com s’exprime sur la production littéraire de monBestSeller, il laisse deviner qu’il a sous la main un outil plus précieux qu’un simple site réceptacle de tous les écrits autoédités ou qu’une simple pile de manuscrits à lire...
Si la plateforme monBestSeller ne s’est jamais prétendue Maison d’édition (elle ne le sera jamais), elle en est parfois l’antichambre. Et qu’on le veuille ou non, sur monBestSeller, votre livre est imprimé. Et 4 000 visiteurs par jour ont le loisir et la possibilité de voir, d’ouvrir ou de lire votre livre ?... Paradoxe ultime, sur un site de loisirs, les textes, la présentation, la structure se doivent d’en être formellement impeccables. Plus encore qu’un livre « normal » parce qu’on ne vous connaît pas !
« On n’a jamais une deuxième chance de faire une première bonne impression »
La forme d’un livre est essentielle.
Et sachez-le, nous-mêmes, dans l’équipe monBestSeller quand nous échangeons au sein du site ou que les lecteurs nous font remonter des livres, on entend souvent « Oh non trop de fautes d’ortographe, mise en page épuisante… il ou (elle) ne l’a pas corrigé ».
Nous sommes les filtres ultimes des Concours de nouvelles et du Prix Concours, eh bien devinez… nous dé-sélectionnons les ouvrages qui formellement ne nous paraissent pas remplir le contrat minimal. Imaginez-vous corriger 243 nouvelles ! 14 sélections Prix Concours !
Tout auteur doit prendre ses responsabilités. Des responsabilités vis-à-vis du site bien sûr, mais aussi vis-à-vis de lui-même.
Les responsabilités des auteurs vis-à-vis du site sont importantes, nous sommes en train de mettre en place un modèle économique. Packs de visibilité, mise en page, correction, Packs rédactionnels avec Viabooks, Packs promotionnels avec IDboox, e-pub et mise en ligne sur les plateformes gratuites, Packs Libraires avec notre partenaire Bookelis. Ces offres sont vitales pour le site car elles en déterminent le modèle et son existence même.
Des responsabilités vis-à-vis de vous-mêmes. Un texte sur monBestSeller n’est pas un manuscrit dans un tiroir, c’est un manuscrit dans une vitrine ; et l’opportunité (et le risque) d’être vu par des milliers de personnes doit faire prendre à chacun la mesure de ces enjeux.
La responsabilité que nos auteurs ont vis-à-vis de nous, c’est celle-là même que nous portons vis-à-vis des professionnels du livre et des lecteurs du site.
On le sait bien, certains d’entre vous rêvent secrètement que leur livre soit repéré par un professionnel. Notre démarche consiste en partie à révéler vos écrits à une communauté d’abord, à de nouveaux visiteurs ensuite et au monde du livre en troisième lieu. Mission accomplie.
La gratuité est le moteur de notre succès et du vôtre, et la générosité des membres de monBestSeller qui déposent tous les jours gratuitement leurs livres en est le carburant.
Mais, c'est la première étape, très chers auteurs. Si un jour vous souhaitez commercialiser vos livres, il faut qu’ils soient commercialisables, donc parfaits, formellement.
Nous avons préparé tous les services qui y sont corrélés, les meilleurs à prix serrés. Et si vous en avez les possibilités, par professionnalisme et par solidarité, merci de les choisir chez monBestSeller.
Christophe Lucius
Vous avez un livre dans votre tiroir ?
Publier gratuitement votre livre
Vous avez écrit un livre : un roman, un essai, des poèmes… Il traine dans un tiroir.
Publiez-le sans frais, partagez-le, faites le lire et profitez des avis et des commentaires de lecteurs objectifs…
Jamais simple de travailler sa mise en page... Aérer le texte, mettre des marges ni trop grandes ni trop étroites, choisir une typo lisible sans être trop grosse, du serif ou sans serif pour le confort de lecture ? En taille 12, 13 ? Selon les différents choix, on passe de 320 à 270 pages, et ça aussi c'est à prendre en compte... Beaucoup de gens appréhendent encore la lecture sur écran, alors lire un texte de + de 300 pages... !
Tout, dans l'autoédition, relève du parcours du combattant, mais c'est nécessaire, par respect pour le lecteur !
@J-C Heckers
100 % d'accord... Il est parfois triste d'écouter des auteurs qui disent subir des discriminations, alors qu'on trouve trois fautes d'orthographe et de grammaire dans la première page de leur livre. il faut lutter contre cela. L'édition n'est pas une fin en soi, mais le respect du lecteur l'est.
"C’est plus travaillé que de l’auto édition…" Oh, là, je ne crois pas, non. Il me semble que la proportion est sensiblement identique. Je trouve ici autant de plumes fébriles et impatientes qui publient sans correction, relecture ou heureuse mise en page. Ce qui rend leur lecture à la fois frustrante (dans quelques cas) et exaspérante (souvent). Il faut savoir se montrer respectueux des lecteurs si on ne veut pas qu'ils se détournent. Et si les mots doivent l'emporter sur l'apparence, il faut bien avoir conscience que lors d'une lecture à l'écran celle-ci peut desservir le texte au point de l'assassiner... Il faut savoir, autant que possible, donner le meilleur de nos textes, et qu'ils soient agréables à l'oeil. Sinon, à quoi bon?
@jezzabel
Merci pour votre réponse. Au risque de vous étonner, je n'ai à aucun moment pensé à vous en m'autorisant à rédiger ce commentaire. Comme quoi ! Et mieux encore, je lis actuellement votre livre et me réjouis de vous poster bientôt mon humble avis. Livre qui, à plus d'un titre, me révèle non pas une auteure, mais une ECRIVAINE bordel !Une VRAIE. Une qui a de la moelle. Magnifique ! Derrière la « vitrine du sexe » et de la vulve vorace, que d'amour et encore que d'amour. Merci pour ce roman lumineux, aérien. Et croyez-moi, je ne vous imagine pas en institutrice à blouse grise, loin de là. Vous voyez, écrire un commentaire a ceci d'agaçant qu'il est exposé à moult interprétations. C'est ainsi. Mais sachez que, comme vous, j'apprécie les textes soignés, travaillés, qui respectent le lecteur. Sans doute me suis-je mal exprimé dans mon post. Bien à vous.
J'avoue être saisi devant certains commentaires irrespectueux, agressifs, parfois violents, voire à l'orée de la cruauté. Inscrit sur cette plate forme depuis à peine une semaine, je découvre un univers étrange. De belles choses, sans l'ombre d'une hésitation, et sans doute de belles personnes, mais aussi une sorte de pseudo-confrérie vertueuse composée d'instituteurs à blouse grise s'arrogeant le droit, non de critiquer objectivement et surtout avec bienveillance un ouvrage, mais de le « dézinguer » avec, parfois, une hargne inouïe et toujours ce ton péremptoire et suffisant qui sied si bien aux donneurs de leçons. Cela me rappelle, oh mon dieu comme ce temps est loin déjà, ce déprimant pensionnat de Ploërmel où, gamin, je devais faire face à une « soutane » se gaussant, une règle à la main, de ma difficulté à écrire des choses passionnantes (exemple : la description d'un confessionnal dans une chapelle, ou la joie de cirer ses souliers avant de se rendre à l'église le dimanche matin). Voilà. Je me sens délesté d'un petit poids qui m'empêchait, je l'avoue, de poursuivre ces derniers jours l'écriture de mon prochain roman. Roman dont je pressens qu'il congestionnera le clavier de quelques élitistes auto-proclamés. Ceci étant, bravo à l'équipe de MBS. Bien à vous
Quelle évolution depuis plus de trois ans que je fréquente mBS ! Une équipe dynamique, agréable, très motivée, et des auteurs de plus en plus conscients de l'importance de proposer des produits de qualité. Certes, il y a toujours des livres qui piquent les yeux, mais beaucoup moins qu'il y a quelques années. 4000 visiteurs par jour ? Il y en a vraiment tant que ça ? Eh bien ! C'est un nombre impressionnant ! Le choix d'écrits et les opportunités de lecture le sont aussi, et comme le gratuit fonctionne toujours bien, on peut comprendre que de nombreux auteurs et lecteurs s'attardent ici. mBS, c'est un peu comme une grande bibliothèque où l'on va piocher librement ce qu'on a envie de lire, avec la liberté de flâner dans un joli choix de rayons. Romans, nouvelles, articles, ateliers, etc. Bravo pour toute l'énergie déployée et pour les partenariats successifs proposant toujours plus de cordes à nos arcs :-)
@monbestseller. Moi , j'aimerais bien un petit livre de l'équipe mBS nous racontant la genèse du site, son organisation, la distribution des rôles et des responsabilités. Qui dirait son ambition et dans quelle mesure elle pense avoir atteint son but. Qui exposerait ses intentions futures, en fonction des résultats déjà acquis. Qui émettrait son avis général sur l' éventail de ses auteurs, leurs qualités et leurs défauts. Qui expliquerait l'ampleur de l'installation informatique, les logiciels utilisés, la méthode de suivi... Sans dévoiler tous les secrets bien sûr. Un début d'album de famille en somme. Mais oui, mais oui, mBS sait tout faire et nous étonne. Chaque jour à 5 étoiles, et ce n'est pas cher payé. BOSSY
Wouah ! 4000 visiteurs/jour, 120 000/mois... je ne pensais pas qu'il y en avait autant. Je m'en réjouis pour le succès de mBS, qui est donc bien une vitrine pour les auteurs qui lui confient l'exposition de leurs écrits. C'est une bonne raison pour rappeler aux auteurs l'intérêt de proposer des écrits qui participeront au renom de la plate-forme. Ça fait longtemps que je l'exprime au gré des commentaires. Les services proposés par mBS dont la gamme s'est élargie au fil des mois (corrections, mise en page, choix du synopsis, etc.) permettent aux auteurs qui en auraient besoin de pouvoir combler leurs lacunes et de fournir un ouvrage de qualité.
Je partage tout à fait l'idée que les auteurs doivent être conscients de leurs responsabilités vis à vis du site, et au-delà vis à vis des lecteurs. Mais, et c'est l'avantage de ce site et de l'esprit solidaire qui s'y développe, chacun a l'opportunité de progresser dans l'écriture et la présentation grâce aux avis des lecteurs et d'autres auteurs qui signalent en toute amitié ce qui peut être amélioré.
Il n'est donc pas surprenant que sur le nombre, des ouvrages plaisent au point de sortir du lot, que le talent de leur auteur intéresse une maison d'édition.
Ha oui! on fait comme on peu...Il faut pas s'interdire d'écrire parce qu'on a pas la grammaire, le style...Après si ça en vaut la peine, si on a de bons retours... on fait les effort qui faut, et même parfois des lecteurs se proposent à donner de l'aide...cela est divin...cette entre-aide, cette échange de compétences...J'ai d'ailleurs pu, mettre en forme à la perfection "Un conte digital" grâce à la bienveillance des lecteurs, de leur commentaires, et la possibilité de pouvoir s'en dire un peu plus en privée...Oui c'est une merveilleuse aventure...
@jezzabel - Ahhhh ! Il vous aurait fallu en dire un peu plus alors :-)))
Bonjour @lamish - Ce qui ne m'empêche pas d'avoir aussi un foutu caractère ;-) - Allez, je vous rends votre bise ! Saluts amicaux à tous, Marguerite.
@jezzabel - C’est formulé un peu abruptement, mais je comprends que l’organisme qui lance un concours de nouvelles doit évidemment recevoir un certain nombre de textes, pour ne pas dire beaucoup. Il faut donc faire un premier tri. Les maisons d’éditions ne font pas autre chose. Les textes qui ne respectent les règles de mise en forme et comportent trop de fautes sont éliminés d’entrée de jeu. Il y a d’autres critères pour affiner la recherche de ceux qui seront sélectionnés pour entrer dans la compétition, mais présentation et orthographe sont les plus importants, d’où l’attention que les concurrents doivent porter sur ces deux points.
Il monte il monte mBS...
De plus en plus de lecteurs, des contacts avec l'édition traditionnelle, des concours... mais qui pourra l'arrêter ??
Personne, on espère !
Merci à l'équipe, bien à vous