Le jardin oublié

Merci @Anne Marie Bonnaud. Je l'espère aussi !

Bonsoir @lise_or
J'ai remarqué votre livre. Je sens que je vais me régaler.
A très vite.

Bonjour @Bruno Bonheur, et merci pour votre message encourageant et sincère. C'est toujours agréable d'avoir des retours de lecture car sans eux il est très difficile de progresser.

C'est quelque chose que je me sens, parfois, intuitivement, avoir du mal à faire : couper, tailler le texte - ou muscler certains passages. Je vais y travailler et vous remercie encore. Lire que vous croyez en mon potentiel me touche beaucoup.

Bonjour Lise,
Je trouve votre écriture très délicate, très sensible. Je n’ai lu que onze pages, parce qu’il me manque quelque chose pour continuer : peut-être une plus grande maturation du texte. Et justement, j’ai aimé le prologue parce qu’il me semble concis, allant à l’essentiel, alors que dans la suite, par exemple la scène avec mamina qui épluche les oignons, vous n’êtes pas encore arrivée à cette économie de moyens qui donne aux textes leur densité et les distingue d’une simple narration. Dans cette scène j’aime bien la fin : la mention de la colère suivie d’une réponse où cette colère n’apparaît pas.
Je vous trouve très talentueuse et comme, comme tout artiste, vous devez être sujette au doute, je voudrais vous encourager : travaillez, cherchez sans cesse à être juste, laissez le texte vous habiter et mûrir en vous.
Écrire est très exigeant mais permet de se dépasser et de trouver peu à peu sa propre voix, cette voix singulière qui distingue un artiste d’un autre artiste.
Bon travail !

@Boneur Richard, je vous remercie d'avoir pris du temps pour lire mon roman, et pour votre commentaire !

Il y a diverses façons d'aborder l'attachement que l'on porte à son ex. Cet aspect est bien traité.

@Catarina Viti, je comprends vos questionnements et les trouve intéressants. Ils me permettent de me questionner moi-même… En y réfléchissant, je crois que ce procédé est aussi très en vogue sur les plateformes TV. Les documentaires, notamment, présentent fréquemment le point culminant ou la fin tragique d'une histoire dès le départ, pour reprendre ensuite toute la narration à zéro. Un peu comme si tout le corps du documentaire devait être perçu comme un flash back répondant à une seule question : "Comment en est-on arrivés là ?". Et en effet, s'il est plutôt malin, l'introduction d'un prologue peut agacer dès lors qu'il est prévisible, formaté, systématique. Je saisis parfaitement votre remarque.

Bonjour @Catarina Viti, et merci pour votre commentaire ! Concernant le prologue, ma réponse n'engage que moi :) Il me semble qu'il permet : 1 - d'introduire une tension ou un suspense de façon plus immédiate, 2 - de poser dès le départ le sujet du livre. Si je l'avais appelé chapitre 1, l'enchaînement avec le début de l'histoire, qui commence à un moment antérieur, aurait été étrange. Je pourrais aussi le supprimer et laisser le lecteur découvrir l'histoire au fur et à mesure de sa lecture, sans savoir où il va. C'est simplement un choix narratif. C'est aussi très certainement un format à la mode, mais il n'est utile que lorsque son contenu ne peut être restitué dans un chapitre lambda. J'espère avoir répondu à votre question !

@Lisa DJ, MERCI, pour ce commentaire qui me va droit au cœur. D'autant que votre retour est le tout premier que je reçois concernant ce roman. C'est un beau cadeau que vous me faites.