Macron, Napoléon des temps modernes ? - 23 décembre 2024 : Gouvernement Bayrou… jusqu'à quand ?

@Alain Lamoliatte,
Merci camarade, pour ce témoignage de solidarité.
Bien sûr qu'il n'y aura qu'un seul Napoléon, même si un neveu a porté quelques décennies plus tard le nom de Napoléon III et le titre d'Empereur. Et je ne pense pas qu'un Napoléon IV ambitionne de rétablir l'Empire.
Pour information, le tome I de la série explique pourquoi ce titre générique, suivi pour chacun des tomes, d'un sous-titre correspondant à son contenu (pour le premier, « 2018 : Une année noire pour Jupiter »).
J'aurais pu en rester à ce qui a précédé le tome I, un concours de nouvelles de mBS pour le cinquantenaire de Mai 68, « Sous les pavés, quelle plage ? »... mais j'ai mis le doigt dans l'engrenage. Il y a eu plusieurs suites, et on connaît la suite ! J'aspire cependant à plus de liberté lorsque je pourrai écrire le mot "FIN" de cette chronique.
J'attends maintenant de savoir quelle fin sera celle de la gouvernance de ce Président, au terme de son quinquennat (ou pas), et surtout quelle image il laissera de son passage comme huitième Président de la Ve République.
Hélas, au jour d'aujourd'hui, plusieurs hypothèses sont envisageables, dont une qui au-delà de la seule gouvernance de notre pays, impacterait plus largement la paix à laquelle le monde a cru depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale... Et une autre, pire encore, si certains dirigeants de pays en possession de l'arme nucléaire allaient, dans leur folie, jusqu'à anéantir notre planète.
Avec toute mon amitié. MC
PS : c'est dans 3 jours l'anniversaire de Josy.

Bonjour camarade. Je salue votre travail qui est remarquable. Je ne trouve pas qu'il ait été orienté. En revanche j'attendais la réponse à la question que vous posez. Napoléon ou pas ? Pour ma part il n'y a eu et il n'y aura qu'un seul Napoléon, donc non. J'ai présenté les armes, à Monsieur Giscard D’Estaing, à Monsieur Mitterrand, à Monsieur Chirac, à Monsieur Sarkozy, à Monsieur Hollande et j'aurais été fier de les présenter à Monsieur Macron. Je ne pense pas qu'un autre que lui aurai fait mieux en ces temps de crises à répétition. La France n'est pas la Russie, n'est pas l'Argentine, n'est pas l'Italie, n'est pas l'Allemagne et n'est pas les States. Les français adorent détester ceux qu'ils ont élu et adorer ceux qui ne sont plus. Vivement que monsieur Macron ne soit plus président pour voir si les gueules sont toujours aussi grandes. Respectueusement, amicalement.

@Zoé Florent,
Merci infiniment, Michèle, pour ton aide précieuse dans la recherche de "coquilles", inévitables tant je suis obligé de travailler en pointillés, parfois à des heures impossibles.
Tu as raison de dire qu'à la longue mon opinion à l'égard de notre Président s'est un tantinet orientée au vu de ses bourdes et de ses véritables motivations.
Des historiens analyseront sa gouvernance autrement qu'à travers les éléments factuels de cette chronique. Outre le fait que tous les postulants à la magistrature suprême ont [avaient ou auront] supposément un ego surdimentionné, l'ambition légitime de s'imposer à tous, des appuis et des réseaux, l'expérience et la compétence nécessaires, une culture très élargie... (l'actualité nous offre à travers un récent sondage un cas d'espèce très singulier), chacun de ceux qui y sont parvenus a laissé ou laissera l'empreinte de sa gouvernance.
Les motivations profondes inhérentes à la personnalité se révèlent au fil des années et des circonstances. Ma perception s'est naturellement précisée, affirmée, au gré de ces circonstances.
Bien que je sois tenu de ne pas l'exprimer, elle peut transparaître à travers mes choix des éléments factuels constituant la chronique. Un travail d'analyse et de synthèse auquel j'ai été formé... mais un travail énorme, tellement les faits d'actualité sont nombreux et quotidiens.
Merci aussi pour ton courage de te lancer dans cette lecture dans les conditions difficiles qui étaient les tiennes. Avec toute mon amitié. MC

Me voici arrivée à la fin de ce "pavé" de presque 880 pages, amputées de 70 - ce que je viens d'apprendre à la lecture de tes réponses lues à l'instant, afin de ne pas être influencée. /// Comme les précédents opus, j'ai beaucoup appris et complété mes connaissances de ce qui ne m'avait pas échappé de l'actualité politique... Quel travail ! Je salue une fois de plus ton perfectionnisme et ta ténacité. /// Je viens de consulter l'actuelle cote de popularité de notre président, qui, descendue à 11%, le met à égalité avec François Hollande, en novembre 2016 (dont on n'a pas exigé la démission ;-)). Pour autant, je n'attends pas de miracle de la part du prochain élu, et ce, quel que soit son bord. Tant qu'il n'y aura pas de majorité absolue, tant que nos députés priviligieront le débat politique plutôt que les mesures d'intérêt général, quel miracle espérer, d'ailleurs ? /// Merci pour ce partage un tantinet trop orienté pour moi, mais passionnant car vraiment fouillé et bien documenté. Bises et bonne soirée ! Michèle

Oui, @Clara King, ça se pourrait ! On ne peut pas faire illusion éternellement caché derrière un talent de comédien. J'écoute en ce moment son discours pour la panthéonisation de Robert Badinter... qui d'autre aurait pu le décliner avec autant de talent et autant de profondeur ?
Mais qui après lui ?
Avec toute ma sympathie.
MC

Merci @Clara King pour votre passage.
Sur l'écriture du tome 11, j'ai bien peur qu'il soit le dernier de la série tellement Jupiter n'est pas en odeur de sainteté, en france mais aussi à l'étranger, lui qui misait sur l'international pour compenser son impopularité.
MC

Merci @T.Guenard, pour ce premier commentaire courageux.
Heureusement, ce pavé (à mon grand désespoir) ne se lit pas comme un roman. Le sommaire incrémenté permet de naviguer au gré de sa curiosité en allant directement à la partie souhaitée.
L’intérêt pour le lecteur peut être actuel ou ultérieur pour la valeur mémorielle de la chronique.
À titre de confidence, parce que le nombre de pages dépassait la capacité d’acceptation d’Amazon (828 pages), j’ai élagué à la méthode "Milei" et supprimé ainsi 7 annexes, soit 70 pages. Avec un total restant de 810 (incluant les pages non numérotées), j’ai pu pousser un « ouf » de soulagement. Pourtant, quand J.K. Rowling a publié les "Harry Potter", le nombre de pages n'avait pas découragé les adolescents au vu du succès qu'a eu cette série.
Avec toute ma sympathie.
MC