Alain Lamoliatte

Biographie

Je suis né à Marseille, mais j'ai bourlingué partout en France et en Allemagne, notamment à Berlin dans les années 80. Amoureux des mots, j'ai toujours écrit. Mes romans sont imaginaires, mais je m'efforce à ce que les histoires soient réalistes.
Bonne lecture à tous.

Alain Lamoliatte a noté ces livres

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Bonjour Vanessa. Je ne connais pas les mots pour décrire une peinture, mais en revanche je peux te dire qu'elles me procurent une émotion à chaque fois. Et cette idée de les avoir reliées à ces citations est formidable. Ma préféré est "tout prés de mon bonheur". Tu apportes de la joie par tes textes et tes œuvres picturales et je te remercie pour cela. Amitiés, Alain.
Publié le 17 Décembre 2025
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Bonjour Vanessa. Dans ce texte, tu te livres à une introspection dans laquelle tu cherches (et tu te cherches) à nous expliquer ton essence créative. Je ne connais rien à la peinture mais je pense que la différence avec l'écriture, c'est que la (ma) création peut se faire ex situ. Je te donne un exemple. J'ai écrit l'histoire de l’aviation de 1961 à 1989. Je ne voulais pas faire une encyclopédie, mais un roman vivant. J'ai eu le déclic en faisant mon footing. Je ne pense pas que ce soit possible pour un tableau. Bien sûr, la nuit est l'assistant privilégié de tout artiste ou écrivain, mais prends-tu des notes en te réveillant pour un tableau, comme on le fait pour un roman ou des poèmes ? J'aurais encore un million de questions, mais je te dirais que tes tableaux, comme tes écrits sont bien plus que beaux. Si l'âme existe, la tienne est un colibri volant au dessus d’atolls magnifiques. Amitiés, Alain.
Publié le 12 Décembre 2025
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Bonjour Alhéna. Ce soir tu m'as tué. Quel merveilleux texte tu nous as peint. Car c'est une peinture que tu nous as pondue. C'est beau, original, prenant, on n'a pas envie que ça s’arrête, et pourtant. Un coup de 12 en plein poitrine. Je n'en dis pas plus pour laisser aux autres la surprise. Je ne sais pas si tu as fait exprès, mais ton texte a une musicalité, un rythme languissant. Parfois même tu nous distille des alexandrins en rime et en rythme. Oui, je me répète, mais quand on aime ... Et moi j'ai aimé, j'ai même aimé aimer. Allez donnes nous en encore, je t'en prie. Je t'embrasse Alain.
Publié le 11 Décembre 2025
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Bonjour Vanessa. Es-tu le fruit d'un amour improbable entre Marcel Pagnol et Frida Kahlo ? Ta nouvelle est une toile géante qu'il faut bien regarder pour ne rien perdre de ses beautés. Car tout est beau dans ton texte. Bon, étant Marseillais de naissance, je n'ai jamais appelé une gamine de 8 ans une cagole, mais ta vision le justifie totalement. Je les ai connues ces gamines dans les années 60, au bas de ma tour HLM, et moi aussi j'étais le fada de la cité, à lire Pagnol, manger des mûres et courir dans les collines à en exploser mes espadrilles. On n'avait pas les réseaux, mais des mange-disques dans lesquels on martyrisait des 38 tours de Cloclo. À chaque génération son modernisme, son insouciance et son irrespect. La seule chose qui me fait vraiment peur, c'est la perte du savoir et de la valeur du travail. Souhaitons à tes cagoles de ne pas se retrouver à 70 ans (au moins), à l'heure de la retraite avec un minimum vieillesse. Voilà, j'ai cassé l'ambiance. Tu es une fée de la plume et des pinceaux. Merci à @MBS de te mettre à l'honneur et à toi de nous faire passer des moments de grâce (ou de grasse pour tes cagoles). Amitiés, Alain.
Publié le 10 Décembre 2025
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Bonjour Philippe. Drôle, inventif, observateur. Mon préféré: ça devait arriver. Merci pour ce tendre moment. Alain.
Publié le 08 Décembre 2025

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