Finalement, tout semblait redevenu calme sur ROUEN -pays réputé des « r’morqueurs » et du canard au sang- après l’affaire de la mère Michel. En tout cas, au moins en ce qui concernait les services du célèbre commissaire FLAMBERGE. La période était au graissage des armes de poing et des sulfateuses suspendues au râtelier.
Du moins jusqu’à ce fameux jour où il apprît la mort « naturelle » mais néanmoins fortuite d’un de ses vieux copains, un prince de la bricole chapardeuse, qui avait justement souhaité lui parler d’urgence. Ce n’était pas dans l’habitude ce genre de Sieur habitué à dîner avec le diable sans fourchette, d’autant qu’ils avaient déjà pris rendez-vous pour de douces vacances ensemble. Quel secret, ce brave Dédé la science, pouvait-il bien avoir emmené dans la tombe ?
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Merci Sophie. En réalité c'est une version ancienne sur laquelle je ne peux plus intervenir. J'ai donc mis la même (terminée) de 272 pages quI est actuellement en 27 e position. Celle-ci est comme un satellite hors service que je ne peux enlever, faute de retrouver le MP. CC
EXTRAIT DE LA PAGE 140 : A peine FLAMBERGE avait-il reposer le téléphone qu'il se mit à sonner. Le loufiat du marchand d'armes MILLERSOIN prévenait la commissaire que son patron venait d'être fauché par une voiture, au pied de chez lui et qu'il venait d'être emmené d''urgence. Il serait arrivé inconscient à l’Hôtel Dieu. Le chauffard s'étant sauvé sans même marquer un arrêt, semble indiquer qu'il s'agirait d'un acte délibéré. Selon le chauffeur du marchand d'armes, qui avait été témoin oculaire de la scène, il aurait eu le temps de noter une partie du numéro de la 203 noire immatriculée dans le 59. Bien que choqué, il précisait qu'il se tenait prêt à venir témoigner dès le lendemain au commissariat. Tentative d'homicide avérée? Deux inspecteurs vont venir pour le constat sans tarder. Ils seront là dans un quart d'heure. Laissez donc pour les détails, je viendrai dès demain les voir chez la victime et prendre la déposition du chauffeur. Le commissaire raccrocha puis bougonna à voix basse, en se caressant le menton : Je le convoque et voilà qu'il se fait bousculer. Bizarre... Le lendemain il se rendit chez ledit marchand d'armes qui semblait honteux de cette activité connue et qui du coup, avait drôlement diversifié et élargie ses activités portuaires à la Libération, pour avoir mis sur sa plaque marbrée, le terme plus vague d' import export. Après avoir pris la déposition du chauffeur, il se rendit à l'Hôtel Dieu, au chevet du patron encore dans le coma. Son état était stabilisé, mais il était impossible de le questionner. D'après ce qu'en avait dit le chauffeur, le conducteur de la 203 noire immatriculée dans le 59, portait une cagoule. Il apparaît donc, dès lors, que cette tentative d'homicide ou de mise en garde, soit éminemment préméditée. Reste plus qu'à trouver le mobile et avec ce genre d'homme d'affaires, ce ne sont pas les rivaux qui manquent. Ce qui avait surpris FLAMBERGE, c'était que le chauffeur n'avait pas eu le temps de voir les numéros de la plaque, mais seulement la fin. C'était donc le département du Nord, mais il se souvînt aussi que le chauffeur de MILLERSOIN avait insisté sur la présence d'un drapeau tricolore sur la plaque. Cela indiquait donc que le véhicule appartiendrait à une administration militaire ou policière. Pour peu qu'il ne s'agisse pas d'un véhicule volé ou d'une plaque récupérée, il conviendrait donc d'orienter les recherches dans cette direction. Consultant rapidement le service INPI nouvellement créé, à savoir : l'Inscription Nationale des Plaques d’Immatriculation, pour y constater qu'aucun véhicule n'ayant été déclaré volé, ni aucune plaque avérée manquante, FLAMBERGE en conclut que le chauffard devait finalement être un militaire ou quelqu'un qui soit au moins, en lien direct avec l'administration militaire. Il est vrai que depuis le début de cette affaire, çà sentait fort l'uniforme, la naphtaline et le coup fourré. Il chargea le service de son subalterne DUGARD, de faire le lien entre 203 noire, ministères des armées et plaque minéralogique portant drapeau avec immatriculation finale 59
EXTRAIT DE LA PAGE 125
Ce pilote hors paire de Freddy avait fait ronfler la traction comme il se devait et à six heures vingt, FLAMBERGE prenait place dans le petit café de la gare, en attendant la belle-sœur de Godot, ou quelque chose d'approchant. Cinq minutes plus tard, une espèce de grande silhouette enturbannée débarquait à son tour dans le mini rade à fort bruit de perco à vapeur, lui donnant un petit aire de dépôt SNCF. FLAMBERGE avait donc pris son Paris-Normandie plié en quatre selon le code voulu par la dame, qui était elle-même calfeutrée dans une espèce de grand cache-nez bleu marine, lui laissant tout juste paraître les yeux. Elle se planta devant FLAMBERGE qui se leva et lui fit signe de s'asseoir en commandant un second café, tandis que dans le hall, ses deux inspecteurs faisaient signe d'attendre le car, tout en observant la scène et les alentours. C'est qu'ils avaient ordre de filer la dame après la transaction du colis. En l’occurrence une grosse enveloppe qu'elle avait finalement laissé dans une consigne à l'entrée de la gare. La femme ne se présenta pas en posant la clé sur la table, mais confirma ce que FLAMBERGE pensait. Cette femme connaissait bien le procureur LANSPEC et voulait absolument se venger de lui et c'était bien là tout ce qui comptait pour elle et pour FLAMBERGE. Elle avait souhaité restée anonyme et ne demandait rien en échange de ses informations, si ce n'était l'obligation que ce soit le commissaire en personne qui récupère les preuves accablantes et qu'elle puisse être sûre que cela ferait du tort a ce procureur qu'elle honnissait. Et FLAMBERGE était bien décidé à respecter sa part du contrat. La ténébreuse au cache-nez lui confia à voix basse, que l'enveloppe allait lui être bien utile, car elle contenait des preuves irréfutables démontrant qui était réellement la personne incriminée. Elle n'en dît pas plus. But son café et se leva pour s'éloigner rapidement vers les quais de départ des cars en bas des escaliers, en veillant à ne pas être suivie du commissaire. L'un des inspecteurs la suivie discrètement, tandis que l'autre sortît récupérer sa voiture en se tenant prêt à pister le car dans lequel devait monter son collègue. Le commissaire rejoignît la traction dans laquelle l'attendait FREDDY et ils rentrèrent directement au bercail des FLAMBERGE, sans traîner. D'autant que c'était justement la soirée d'anniversaire de Lily et FLAMBERGE voulait disposer d'un peu de temps avant les agapes qui devaient avoir lieux avec toute la famille, pour prendre connaissance des fameuses preuves récupérées contre le fameux procureur LANSPEC, un de ses plus virulents adversaires.
La femme au cache-nez allait s'engouffrer dans le car à destination de Dieppe, quand deux hommes habillés comme des inspecteurs de police cardigans et chapeaux à l'avenant, la saisirent pas les bras et la menottèrent tandis qu'elle se débattait. Le chauffeur et les clients en déduisirent que c'était une arrestation à laquelle ils n'avaient rien à redire, tandis que l'inspecteur chargé de la suivre se contenta de relever le numéro de la vedette qui déboulait en faisant crisser les pneus, puis sauta dans la traction de son collègue avant de coller au train des faux lardus. Direction, le Mont Riboudet, Déville les Rouen, la route de Dieppe. La grosse V8 roulait à près de cent cinquante sur la nationale et les inspecteurs devaient veiller à ne pas trop leur laisser d'avance pour ne pas les perdre, tout en restant discrets. Une heure plus tard, la vedette s’immobilisait devant le portail d'une grosse ferme isolée dans les environs de Hautot sur Mer, une charmante bourgade de mille neuf cent trois âmes, située à une quinzaine de kilomètres de Dieppe. La demeure avait dû voir passer quelques générations de paysans cauchois, en remontant jusqu'à la révolution française pour accuser au moins deux siècles en façade, depuis sa grande cour intérieure disposée à l'ancienne par rapport à ses divers bâtiment terminant le grand carré, en partant du corps de ferme à l'imposant portail en chêne massif. La présence de poules et de canards s'ébattant dans la mare située au beau milieu de la cour, semblait indiquer que la ferme était toujours en activité. D'autant que le Massey Ferguson presque neuf, faisait rutiler son rouge insolent et sa remorque de foin alignés sous la charreterie, juste à côté de la grosse moissonneuse batteuse encore chargée de grains d'orge et couverte de son, accentuant encore cette impression d'activité récente. Les deux inspecteurs se souvenant des ordres de FLAMBERGE, se contentèrent d'observer et de prendre des notes, pour repartir au bar tabac du village qu'ils avaient vu ouvert en passant, afin de l'informer par téléphone et de noter ses ordres. Le bistrot en question portait un nom évocateur par rapport à la personnalité du proprio : « Chez le beau RIRI » et était plutôt couleur locale avec son vieux bar en bois vernis son carrelage multicolore et sa rouge carotte lumineuse. A l’intérieur de cet antre de débauche campagnarde dédié à Bacchus et à André VERCHUREN, s'activait une faune oscillant entre les vieux paysans terminant leur coinchée devant leur petit calva, tout en crapotant leur vieille roulée qui continuait à se consumer d'elle même et les jeunes du cru à la banane hésitante, s'escrimant devant le juke-box, occupés à choisir entre les débuts d'un grand Jacques Belge et ceux plus électrisés d'un jeune amerloc rocker du nom d'Elvis . Tandis qu'au bar, se tenait collée telle une rangée de dominos alignés pour le grand chelem, une bande de titis sur le retour à l'allure de gangsters, au look vestimentaire plutôt inspiré du dernier film de Becker : « Touchez pas au grisbi ». Une sorte de touche en noir et blanc, qui ne faisait pas vraiment couleur locale. Derrière le bar, le beau RIRI se tenait fier comme Artaban, à la barre de son rade à pirates. Cet ex soi-disant bel étalon dont on se demandait encore s'il l'avait vraiment été un jour, ne tenait pas seul le gouvernail. A côté de lui, avec dix centimètres et dix ans de moins, le regard fuyant et les nibards entre parenthèses, se trouvait sa souriante légitime édentée, sa princesse, son soleil normand que les clients appelaient bien poliment: « m'am Irène ». Nantie d'une beauté intérieure plutôt discrète, elle semblait veiller rigoureusement à rester, malgré vents et marées, en adéquation avec le style iconoclaste de son pépère, ainsi qu'au décors rococo du gastos, servant ainsi de touche finale à l'aspect déjà hétéroclite du toutim. L'ambiance débonnaire de ce haut lieu à prolos bascula soudainement dans une scène de film des plus hitchcokiennes. Les deux inspecteurs venaient, en effet, de bousculer la porte d'entée en faisant tintinnabuler bruyamment la petite clochette qui la surplombait. Au même moment et comme un seul homme, la vingtaine de clients se mit à fixer l'encoignure de la porte d'entrée, comme dans un plan de temps suspendu. Selon le rituel en vogue du moment, les deux inspecteurs se fendirent d'un « jour ! » en soulevant à peine le devant de leur feutre, auquel les vingt paires d'yeux rendirent aussitôt la politesse dans un bel ensemble, en usant du même langage raccourci. Les deux inspecteurs vinrent se coller au bar comme des moineaux trempés se posant sur un fil, en levant la main pour commander deux bières et solliciter le téléphone. Le noir bigorneau était posé juste au bout du bar et tout le monde pouvait donc entendre la conversation. Demander à pouvoir s'isoler aurait pu faire penser à l'assistance qu'il y avait quelque à cacher et FLAMBERGE avait prévu ce cas de figure dans son petit opuscule, pour avoir mis au point un code. L'inspecteur fit signe au beau RIRI, lui indiquant que la musique ne le gênait pas, puis fit son rapport en code en inversant la vérité, comme prévu :
Bonjour patron. Bon, on s'est perdu et du coup on a pas pu livrer le colis. Il va faire bientôt nuit et on est dans un village qui s'appelle Hautot sur Mer, à une vingtaine de kilomètres de Dieppe. On fait quoi ?
Donc si je comprends bien, vous avez réussi à loger la cible et vous ne pouvez pas parler.
Oui, c'est bien çà patron, donc là on fait quoi ?
Vous restez sur place et vous observez et questionnez discrètement, je vous envoie la relève demain matin.
Bien, je demande au patron du café s'il a des chambres et nous chercherons demain. A demain.
Le patron du bistrot l'ayant vu raccrocher le téléphone lui fit signe de la tête, acquiesçant pour confirmer qu'il disposait bien de chambres. Dix minutes plus tard, le téléphone sonna et le beau RIRI fit signe à l'un des hommes accoudé au bar/
Monsieur Jo ? C'est pour vous !
Le gus empoigna le bigophone et répondit avec énergie, avant de s'adresser à ses hommes :
Oui chef ! On arrive. Les gars ! On y va.
La bande des cinq lascars se rua sur la porte bringuebalante en bousculant la clochette qui faillit en tomber par terre, puis s'engouffra dans une 203 noire, qui partit en trombe en direction de la fameuse ferme.
Ne voulant pas paraître suspects, les deux inspecteurs évitèrent de parler des cinq lascars en question. Faisant signe de s'enquérir de tout et de rien en se mêlant à la foule. Ils se firent passer pour des représentants de commerce rouennais cherchant un client dans le coin. Pour ce faire ils avaient choisi un village suffisamment éloigné, pour avoir l'air de s'être perdu. Avant d'entrer dans le bistrot, ils avaient pris soin de choisir au pif, le village de Crasville la Mallet sur la carte. Un vague trou perdu de deux cents quinze habitants, situé à vingt cinq kilomètres plus au nord ouest, en plein pays Cauchois. Un choix éloigné, destiné à réduire les risques de quelque « cousinerie » inopportune.
Les conversations étant bien avancées et lesdits représentants tellement larges sur le renouvellement des tournées, que les langues se délièrent rapidement. Elles en arrivèrent même au point d'en venir à parler de ces drôles de gus qui hantaient la région depuis près d'un an. Depuis qu'un grossium de Rouen avait racheté la plus grosse ferme du coin pour en faire un bien drôle de laboratoire exotique. Le patron de monsieur Jo serait finalement une sorte de mage à ce qu'on disait dans le village, et il se serait mis en tête de créer une sorte de secte désirant revenir aux sources ancestrales. Des comiques qui en seraient arrivés à parler avec la terre au lieu de la travailler et qui seraient « protégés » par monsieur Jo et sa bande.
Le père Anselme, ce vieux paysan cauchois voûté et ridé ayant labouré autant à travers champs qu'il prétendait avoir semé à travers les alcôves, n'en revenait toujours pas, tout en s’excitant et en tapant du béret sur le bort du bar :
Protégé de quoi ? J'vous l'demande mouais ! Qu'ik c'est y que ces énergumènes-là qui causent à la terre en attendant que çà pousse tout seul ? J' m'en vâs vous'le dire mon bon monsieur. C'est tout bonnement des chiards de bourgeois d'la ville et pis c'est tout ! Et l'autre là. Y paraîtrait qu'il s'rait procureur.
BOURLAFIOLE sursautant, eût ce cri du cœur :
Quoi ? Un proc ? Un procureur qui cultiverait la terre ?
Ouais mon bon môssieu, un procureur. Des chiards j'vous dis
J'informe les lecteurs que je viens de placer un nouveau morceau de cette fresque sur l'autre version intitulée : "Et un poulet rouennais sauce pruneaux, un " suite. Qui se trouve sur une page suivante. L'extrait compte maintenant 64 pages dont voici un aperçu :
"Comme à son habitude, FLAMBERGE avait donc opté sur la technique du tir par la bande et entreprit pour çà d’aller interroger lui-même le sieur CARLOTTI dans sa tanière, pour continuer son enquête toute en infiltration et immersion. Rien ne valait mieux, pour lui, que humer la piste et tâter le terrain du lieu même où se terre le fauve pour mieux l’enfumer. Comme c'est souvent le valet qui reflète le mieux les travers du maître, il avait donc décidé de commencer son enquête sur la personne du larbin des basses œuvres. Côté cour, le malfrat s’affichait officiellement en qualité de gérant d’un cabaret hôtel situé place Henri IV, au nom évocateur et sans doute dévolu aux culbutes bourgeoises en perspectives : « LE LUTIN ROSE ». C’était une grosse bonbonnière toute rose, qui semblait honnête et où se ruait même une clientèle huppée qui venait s’y encanailler avec la bénédiction des autorités locales. Un lieu plutôt badin où s'ébattaient d'ailleurs certaines vedettes émanant du barreau précitées. La piétaille, quant à elle, se dégourdissait plutôt les pinceaux en chahutant la donzelle au bal à Jojo. Voir, à aller se frotter aux matelots et aux dockers ayant leurs chaises attitrées au Stockholm bar. C’était un de ces troquets brumeux, réputé pour son ambiance très « MACAO ». Un de ces bistrots fortement enfumés, à lumière tamisée, avec tripot clandestin en arrière salle. Cette perle rare était située parmi un ensemble de rades à marins construits en bois, à la va vite parmi les trois quart de ruines de guerre à la Libération, entre le boulevard des Belges et la rue des charrettes, à une bordée de lorgnette à pirate du LUTIN ROSE. Un point stratégique situé pas très loin des quais et proche du cours Boiëldieu où se trouvaient encore quelques ruines du grand café VICTOR. Une véritable institution limonadière construite en 1882 et détruite en 194O. Ce haut lieu rouennais surnommé : « la plus belle terrasse de France », qu'aimaient tant croquer ou peindre les impressionnistes : MONET, PISSARRO ou GAUGUIN . Un de ces lieux dédiés au romantisme rouennais de la belle époque, qu'avait bien connu FLAMBERGE, quand il y venait avec son espiègle tonton romancier dans les années trente, y fréquentant même de vraies gloires comme APPOLINAIRE, DUCHAMP, Simone de BEAUVOIR et son compagnon, Jean-Paul SARTRE. Le bon temps, quoi ! Mais revenons à nos moutons enragés..."
Merci de ce formidable panégyrique que tu es venu tracer sur cette œuvrette en cours de finition (ils m'en font voir de drôles, mes personnages et m'échappent même des mains en ce moment, les vilains). C'est toujours un plaisir de te lire (on attend la suite de sos conneries avec impatience), tant tu sais faire un roman ou un recueil de bons mots d'une simple analyse, pour mettre en lumière certaines facettes de nos "œuvres" ayant pu nous échapper. C'est à la fois réconfortant et vitalisant. Merci donc pour ce réconfort et ces encouragements à continuer, d'autant que je les sais sincères. On se guette et s'encourage mutuellement. A bientôt Hubert. CC
Justement, vous dépassez même les 2000, çà commence à bien bouger là. J'attends la suite avec impatience. Votre ami et fidèle lecteur Daniel.
Bonjour François. Ne pouvant retrouver mon mot de passe sur ce bouquin, j'ai donc mis une suite sur un second extrait de ce livre livre intitulé :
"ET UN POULET ROUENNAIS SAUCE PRUNEAUX, UN ! suite" qui doit être actuellement en page 3. Je pensais l'avoir terminé pour Noël, mais des impondérables de dernières minutes m'en ont empêché. Donc sur le dernier çà va jusqu'à la page 49 et je devrais pouvoir en remettre une suite dans une quinzaine de jours. Bonne lecture et bon décodage... CC
A bientôt Hubert et bonne année.
Merci Skane, je vais bientôt mettre la suite, bien qu'il ne soit pas encore fini. A très bientôt et çà portera le nom de "Un poulet rouennais sauce pruneaux, un ! Suite 2. CC
C'est que j'avais peur de créer des interférences avec nos tractations liées à son initial "On a tué la mère Michel". Je vous transmets çà dès demain, promis. Çà devrait être fini pour Noël. CC
J'aimerai bien aussi la recevoir, moi, cette suite qui a tellement l'air d'amuser vos lecteurs.
J'ai bien reçu la suite de ce super polar marrant Claude, merci. C'est de plus en plus prenant et drôle à la fois. Ma femme devient accro à suivre les péripéties de tous ces vilains. On vous suit avec bonheur et on attend la suite pour Noël (vous n'auriez pas dû le promettre à ma femme, elle y tient). Vous n'arrivez pas à mettre la suite sur ce site ? Quel dommage pour les lecteurs. A bientôt. STRAUSBERG
Oui le science, oui l'avenir aussi. Je note 82% .
Oui le science, oui l'avenir aussi. Je note 82% .
Finalement, il semblerait que les lecteurs préfèrent un extrait d'une vingtaine de pages, voir quand ce n'est pas trois lignes comme l'a fait votre dernière intervenante sur l'autre roman, pour être maintenu à la première page. Alors cette fin des aventures du poulet rouennais, çà se dessine ? Ma femme et moi sommes tout ouïes...