J'ai déjà eu de bons retours, mais un message aussi chaleureux et aussi beau, c'est extrêmement rare ! Je vous en remercie, j'en suis très émue... très touchée... les mots me manqueraient presque et j'en bafouillerais si le clavier suivait le fil précis de mes pensées... Je suis également contente que vous ayez apprécié l'écriture. Nous avons tous des sensibilités différentes, mais parfois on lit nos histoires sans voir, sentir ou aimer le travail des mots en lui-même.
Au sujet de mon désir d'enrubanner, je ne peux que vous rejoindre. C'est qu'il me paraissait terrible de condamner (en quelque sorte), déjà si tôt, une enfance.
Mais, après tout, qui sait ?
Je suis ravie d'avoir passé un petit bout de ce dimanche avec vous, sachant que votre commentaire a grandement illuminé le mien ! Encore MERCI.
Vanessa, j'ai envie d'embrasser votre texte, votre écriture, c'est tellement beau, tellement vrai ! Quelle richesse d'écriture, quelle sensibilité ! Une décoction de saveurs, de parfums de garrigue, de sentiments, de gestes, d'insanités crapuleuses proférées par les "cagoles", magnifiées par des mots savoureux échappés du parler provençal "dégun, bouléguer"... Honneur à Mistral...
En sus de cette écriture exceptionnelle, digne des grands auteurs provençaux, Giono, Bosco, Pagnol... votre récit est éminemment sociologique...
Une triste réalité qui gagne, qui mange notre jeunesse, comme la lèpre, la peste bubonique qui, partie de Marseille, gagnait les campagnes bucoliques...
Vous tentez, par bonté, humanité, d'atténuer votre propos, de relativiser, d'exonérer cette jeunesse perdue qui se morfond, crache son ennui et sa méchanceté aux pieds des maisons...
Que nenni ! C'est le foutoir, le désespoir, le dépotoir !
Leur seule excuse est que nous en sommes responsables... Je ne vais pas me lancer dans la controverse, plomber votre magnifique nouvelle, mais c'est tellement difficile à accepter qu'on préfère croire, espérer...
PS : Je parcourais les textes courts, saisi d'un ennui mortel, en ce dimanche tristounet, proche de la Méditerranée, quand je suis tombé sur le vôtre que je n'ai pas lâché et que je vais relire pour en saisir toutes les délicatesses...
@Fernando Lagraña, ces "courailleries du temps jadis", c'est vraiment cela... Ce temps où nous avions tout en ayant rien ! Merci beaucoup !!! Bonne journée
Touchantes saveurs d'une nostalgie qui sent la pinède et les courailleries du temps jadis !
Allez, j'arrête de lire et je vais me bouléguer un peu !
Merci
Ce livre est noté par
Cher @Denis Bichet,
J'ai déjà eu de bons retours, mais un message aussi chaleureux et aussi beau, c'est extrêmement rare ! Je vous en remercie, j'en suis très émue... très touchée... les mots me manqueraient presque et j'en bafouillerais si le clavier suivait le fil précis de mes pensées... Je suis également contente que vous ayez apprécié l'écriture. Nous avons tous des sensibilités différentes, mais parfois on lit nos histoires sans voir, sentir ou aimer le travail des mots en lui-même.
Au sujet de mon désir d'enrubanner, je ne peux que vous rejoindre. C'est qu'il me paraissait terrible de condamner (en quelque sorte), déjà si tôt, une enfance.
Mais, après tout, qui sait ?
Je suis ravie d'avoir passé un petit bout de ce dimanche avec vous, sachant que votre commentaire a grandement illuminé le mien ! Encore MERCI.
Bien cordialement
@Fernando Lagraña, ces "courailleries du temps jadis", c'est vraiment cela... Ce temps où nous avions tout en ayant rien ! Merci beaucoup !!! Bonne journée
@Fanny Dumond3 Je vous remercie infiniment ! Cordialement