Bonjour chère Alhéna,
Je viens juste de lire ta dernière publication sur la mythologie grecque, et je n’ai pas pu m’empêcher de t’adresser aussitôt mon impression. Quelqu’un t’a affirmé que ce travail mérite de figurer dans un programme scolaire. Je suis tout à fait d’accord avec lui. C’est un texte très pédagogique et plein de clarté, dont pourraient tirer profit des générations d’élèves. Moi-même, durant toute ma vie, j’ai eu cette idée d’approfondir mes connaissances dans ce domaine. Il est indéniable que ça m’aurait donné plus de possibilités dans mon écriture. Mais par paresse, oubli ou manque de temps, je n’ai jamais mis en pratique cette intention. Aussi, je suis très content que quelqu’un m’ait déblayé le terrain. Je n’ai plus qu’à croquer le fruit de son effort. Je parle d’effort, chère Alhéna, mais en te lisant, je n’arrive pas à le voir. Tout semble couler de source. En plus, il se dégage de ton texte une grande sérénité. D’où peut-elle bien venir ? Certainement pas des difficultés dont ta santé t’accable. Tu n’en as que plus de mérite. Moi, par contre, je n’en ai aucun. J’aurais pu demander de tes nouvelles ces derniers mois, mais j’étais accaparé par l’écriture d’un nouveau roman. C’est une piètre excuse, mais c’est la seule que j’ai pu trouver. Tu me pardonneras, j’en suis sûr !
Je m’arrête là, sinon je vais transformer mon commentaire en un autre roman.
Prend soin de toi, chère Alhéna, et continue d’écrire. L’écriture est notre salut, qu’on soit bien portant ou non. Amicalement Antar.
Publié le 04 Mars 2025