A.P. Gounon

Zoé Florent. Bonjour chère Zoé. J'ai retrouvé avec plaisir dans cette nouvelle ton beau style et les petites touches impressionistes qui ajoutent du charme à tes écrits. Là il y a un vrai suspense et on ne peut pas s'arrêter sans savoir la fin. Etonnante, la fin ! C'est ce qu'il faut. Je t'embrasse. Anne

@St-Bleyras. Bonjour Georges. Ces petits textes divers et bien écrits tournent finalement tous autour du même thème et votre nouvelle aurait pu s'appeler :"Le vieillard et la mort"... Des souvenirs reviennent, qu'on voudrait chasser, et certains sont terribles : avez- vous vraiment vécu dans la rue, Georges? Des révoltes aussi, contre la bêtise, contre les puissants (président narcissique, technocrates), contre des lois iniques (votre train monstre m'a fait penser à la loi pour "l'aide à mourir"). Mais, dans l'exquis jardin où l'on se réfugie, la mort guette et, si les amours ont été fugitives, si Olga s'est toujours dérobée, elle attend, pourtant, et le pauvre "coeur de pénombre" accepte et dit :" je viendrai, tu verras." C'est très émouvant, Georges. amitiés. Anne

@Zoé Florent. L'amour t'inspire, chère Michèle et Galodarsac doit être très fier de son élève. J'admire ta virtuosité. Le poème à la main est une jolie idée, j'adore le sonnet élizabethain, et j'ai été émue aux larmes par le poème aux chers disparus. Le premier vers est très beau : " Mes chers disparus, vous qui tant me manquez"... Continue, chère Michèle, c'est si beau les alexandrins ! Je t'embrasse. Anne

@Jean Daigle-Roy. Bonjour Jean. Quel joli conte qui nous emmène loin dans le temps et dans l'espace et nous fait rêver. Bien écrit et érudit, ce qui ne gâche rien ! Et, bien sûr, qui donne envie de connaître les autres... Bravo. Anne

@Zoé Florent. Pardon d'arriver si tard, chère Michèle. Je voulais tout d'abord te dire mon admiration pour ton courage : apprendre la métrique, en faire un recueil et affronter les critiques, ce n'est pas rien ! Ensuite, tu t'en sors bien : "Laisse aller les âmes errantes", quel joli vers ! "Une tête bien faite" est mon préféré. La vérité au fond du puits " a un petit air de la Fontaine, et le rondel à Galodarsac est charmant. Il ne te reste qu'à déployer tes ailes, à trouver ta musique, et à t'envoler vers le rêve... Bravo. Je t'embrasse. Anne