A.P. Gounon

@Galodarsac. Décidément vous êtes un surdoué, cher Patrick ! Clouée dans un lit d'hôpital avec une méningite, (excusez du peu) j'ai relu avec délice les sommets pyrénéens et les têtes tranchées. Puis je suis tombée sur ce petit délice : le poireau d'Hercule. J'ai adoré. Le vin de Gaillac est vraiment gouleyant, et le miel est bien suave. Et la ballade de l'élu : " à la fin du mandat je touche". Génial ! Et musement champaigne ! Et la ballade des mots sans rimes ! Un régal. Bravo et merci. Anne

@Parthémise. Chère Parthémise, je croyais avoir tout lu de toi mais je m'aperçois (avec horreur, mais bien contente ) que pas du tout ! Et là je tombe sur le plus délectable de tous ! Merveilleusement bien écrit, toujours aussi érudit ( comment connais-tu la baronne Staff, bien oubliée ?), et encore plus déjanté. Carrément tordant, en fait. Avec une jolie touche de poésie grâce à une chouette aux yeux bleus très pâles et à une renarde blanche...Alors, avec mon admiration époustouflée, les traditionnels bisous merci bisous. J'attends avec impatience le recueil. Anne

@Mambouckou. Bonjour Mambouckou. C'est une très bonne idée ce charmant manuel de conjugaison. Et vous avez su vous mettre au niveau des enfants avec beaucoup de gentillesse. Bravo . A. Gounon

@Marc Jaouen. Un grand merci, Marc, pour ce si joli et si chaleureux commentaire. Oui, notre soleil mourra, mais nous ne verrons pas cela, nous qui sommes ses enfants, heureusement. J'ai commencé votre roman et il promet d'être à la hauteur des chers Audiard, Dard etc : il me semble d'ores et déjà fort réjouissant. Encore merci. Amitiés. Anne

Zoé Florent. Mon commentaire arrive bien tard, chère Zoé,pardon. J'ai retrouvé avec plaisir ton écriture élégante et fluide, impeccable, et ton remarquable talent pour disséquer la psychologie de tes personnages. C'est un travail impressionniste d'une grande subtilité. Le beau titre et la couverture, avec cette femme déchirée, nous dévoile le thème du roman : les affres d'une femme intelligente et lucide trop fragile et trop sensible pour affronter la cruauté du monde du travail, et que l'hétéronomie pousse à agir contre elle même. Voilà encore un beau roman qui a bien mérité son petit coeur ! Je t'embrasse, Anne