Parthemise33 a noté ces livres

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@Annie Pic Bilboquet et Macarons ! Comment cette nouvelle, aussi anticipative, a-t-elle échappé à mon radar d’experte en diableries, et à mon œil aquilesque ? Faust s’est invité en passager clandestin dans les interstices de ma lecture, et l’écran a ricané d’un rire méphistophélique. Heureusement, je suis vaccinée contre les diablotins. Comme disait Churchill, si vous êtes en enfer, continuez à avancer. Et j’ai eu raison : ce texte est une friandise empoisonnée, une satire brillante sur nos pactes numériques. Lanceuse d’alerte contre les sortilèges technologiques ? Oui, et avec panache. Danger or not danger ? Suspense. Merci Bisous Merci pour ce récit dont les questions restent suspendues comme des gouttelettes de parfum, et pour l’affiche, délicieusement flippante. Et que le Diable vous ait en son infernale garde !
Publié le 21 Octobre 2025
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@Guillaume Di Caro Un texte « Jeunesse » brillamment mis à l’honneur ! Félicitations ! J’ai savouré le début de cette histoire avec grand plaisir… et me voilà très contrariée de ne pas en connaître la fin ! Un récit inachevé, c’est pour moi une véritable frustritude (oui, j’ose le néologisme !) J’attends la suite avec une impatience toute festive. À quand la grande réunion au sommet de vos personnages si attachants, dans ce style Noël victorien subtilement assaisonné à la française ? J’aime les contes de Noël, j’en écris aussi, juste pour le plaisir de me raconter des histoires… et la vôtre promet déjà beaucoup. Merci Bisous Merci pour ce partage. Signé : une lectrice frustrée, mais conquise
Publié le 13 Octobre 2025
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@Vanessa Michel Oups ! Mille confuses ! J'avais oublié l'inoubliable ! MBM
Publié le 14 Septembre 2025
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@A.Z J’ai ri, mais alors j’ai vraiment ri, comme une hyène sous caféine. Ce moment m’a ramenée à une avalanche de souvenirs délicieux : Les collègues en transes, telles des houris devant un eunuque (non ébréché), à la vue de la première échographie. Les injonctions contradictoires des amies, mères, tantes, voisines, médecins : « Six biberons, pas plus ! » « Laisse-le pleurer, ça muscle les poumons ! » « Ne le laisse jamais pleurer, il va finir sociopathe ! » Et puis, les pleurs. Les nôtres, ceux du baby. Mais le vrai luxe : pouvoir clouer le bec aux mecs qui fanfaronnent avec leur « service militaire ». Leur malaise quand je leur lance : « Bon, maintenant, on va vous raconter nos accouchements. » Un pur bonheur. Merci Bisous Merci pour ce moment de vérité hilarante
Publié le 04 Septembre 2025
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@Vanessa Michel Bon, ben voilà, voilà. Je suis en pyjama, emmitouflée dans mon plaid en coton, avec un thé trop chaud que j’ai déjà renversé deux fois… et vous, vous êtes là à me briser le cœur avec ces histoires. Franchement, c’est abusé. Votre style poétique, est comme une berceuse triste qu’on écoute en boucle en se demandant pourquoi on pleure alors qu’on allait juste checker Insta. Vos personnages ? Ils ont posé leurs valises et squattent mon cerveau après avoir signé un bail à durée indéterminée. Merci Bisous Merci pour les frissons, les larmes, et les petits ouch dans l’âme. Finalement, je laisse tomber le thé pour un chocolat chaud. Le seul breuvage me permettant de survivre à ces montagnes russes
Publié le 04 Septembre 2025

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