Tout bien, vraiment ! Les souvenirs, le langage, la vérité, le plaisir, la mémoire, le dégoût, le rêve, les trips, tous les voyages, les excès, la plage de Goa, les réveils, les lendemains… Sauf un truc. Chez moi, dans le sud ouest, on ne dit pas « l’auto-surfing » (jamais entendu parler de ça), ça s’appelle le « body surf » et c’est juste un plaisir pur !

For men only (enfin, je n’en sais rien d’ailleurs). Observateur, sans aucun doute, vous savez dire ce que vous voyez avec des mots bien imagés. Et transparents, impudiques, sans la retenue que l’âge permet. Parfois, on lit un roman, à d’autres moments, on a l’impression d’être voyeur. Oui, « des photos », c’est tout à fait ça. Merci de l’avoir partagé ici

Il y a beaucoup de sagesse dans votre témoignage et autant d’amertume. Difficile d’avoir un avis « objectif », au-delà du roman lui-même, quand on n’a pas connu ou vécu ce à quoi vous faites référence. Mais grâce à vous, j’ai plongé dans une tranche d’histoire et de géographie dont on a évidemment plus qu’entendu parler.

Personne n’a jamais imaginé lire un jour un tel traité. Quelle trouvaille de la partager ici. Je regrette juste de ne pas en avoir sous la main pour tester toute la subtilité de cet alcool aussi doux qu’une geisha. Bravo aussi pour la très belle présentation de votre livre.

Un vrai roman des îles, qu’on aimerait découvrir presque par hasard dans une case, le lire sous la véranda rafraichie par les alizés et voir la scène qu’on lit se dérouler sous ses yeux.