Brice Epédrague
Présentation

Lecteur assidu

Brice Epédrague a noté ces livres

4
Vous lire est loin d’être anodin. Et c’est dense. Mais cela vaut le coup, vous portez des réflexions, des pensées qui donnent de la matière aux modestes notres, qui les enrichissent, les nourrissent, qui apporte des débuts de réponses aux questions que l’on se pose. Merci pour ce très intéressant partage. (ps. Cela faciliterait peut-être l’accès à votre livre si vous optiez pour une mise en page plus aérée, moins dense, moins feuille A4, car comme vous le savez, le fond, c’est la forme qui remonte à la surface)
Publié le 12 Janvier 2018
4
Le commentaire précédent dit que le début est troublant. Le début EST troublant, un peu décousu. Mais je dirais que la construction de votre livre est apparemment voulue pour l’être. On passe de fils de réfugiés espagnols de 36 à un diner à Davos… Puis de nouveau en 36 avant de prendre en 2010 le train de banlieue d’une jeune fille qui part en erasmus à Madrid… Et de se retrouver en 36. Ne m’étant jamais intéressé au sujet, j’ai été curieux de vous suivre dans vos méandres et d’en apprendre beaucoup et de manière très intéressante. Merci pour ce partage.
Publié le 17 Décembre 2017
5
Excellent ! Une véritable histoire de roman. Un style sûr, très maîtrisé, très plaisant. Des dialogues de titi dont on ne se lasse pas. Et une empathie pour tous vos personnages. Très bel ouvrage et belle découverte. Bravo à vous.
Publié le 30 Août 2017
5
Bravo Emeraldas pour votre très beau texte, plein de poésie, d’imagination et d’originalité. Vous menez très bien votre scénario, jouant juste comme il faut avec les progressions, maniant les dialogues avec à propos, oui, vraiment bravo, je suis bluffé !
Publié le 14 Août 2017
5
Très joli roman sur les doutes, les incertitudes, les questions, mais sur la foi, aussi. En soi, en son étoile, en la persévérance, en la certitude de l’affection des proches. Vous parlez avec une humilité littéraire du parcours d’un humble ; de sa musique, de son métier, de ses amours, de ses échecs, de ses plaisirs, petits et grands. C’est très fin, parce que jamais nostalgique, jamais sans espérance. Et aussi parce que derrière ces mots, on sent peu à peu le réveil de l’invisible, du discret. Très beau récit.
Publié le 27 Mai 2017

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