Clarisse Balsamo

Biographie

Ayant vu le jour entre un point équidistant de Fécamp, Valmont, Cruchet-le-Valasse et Montivilliers, j’ai un temps habité Jumièges avant de me fixer à Rouen.
J’apprécie Flaubert et les romans policiers, sans pour autant dédaigner l’œuvre de Maupassant et de ses continuateurs comme Maurice Leblanc.

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5
Diantre ! Un peu de littérature sur ce site ? Voilà qui mérite commentaire ! Je suis tombée hier par hasard sur votre nouvelle, je ressors intriguée du voyage. Comme chaque fois que je viens ici - pas souvent, je l'avoue -, je clique sur les derniers textes mis en ligne. Et là, j'ai dépassé les premières pages. Le hasard fait bien les choses. Votre texte sort de l'ordinaire. Il y flotte de réminiscentes bourrasques lointainement générées par Lautréamont et Bradbury ; on y halète aussi, en suivant cette course folle, hallucinée, souvent jubilatoire mais tout autant inégale. Pour des trouvailles savoureuses comme "Mon intention n'était pas mauvaise. Je souhaitais entrer dans le paysage...", il reste (à mon avis) bien des scories. Fallait-il avancer "petitement" dans la première phrase, alors que l'horizon "déplaçant ses terres" était une image si parlante ? "S'emparer du répertoire" ? Késako ? Si cela sonne fort bien, cela ne fait pas de vous Henri Pichette... L'ivresse des mots finit en cacophonie insensée, et en queue de boudin (je n'ose dire "de chat"), mais la phrase conclusive est vraiment bien jolie. Quoi qu'il en soit, merci pour ce partage si intéressant. Continuez ! PS : Le changement de registre du "de traviole" détonne fichtrement. Était-ce votre intention ? PPS : Les 5 étoiles pour la visibilité. Je n'aime pas noter la "valeur" d'un texte.
Publié le 24 Avril 2024
5
Tout est effectivement dit, en termes clairs, nets et sans bavures. A vous de choisir et de tenter votre voie : l'édition à compte d'éditeur, l'autoédition ou une troisième voie... Mais l'essentiel reste le plaisir d'écrire, ce me semble, et non le miroir aux alouettes que représente de supposées gloire et fortune par ce biais. Merci à @Catarina Viti pour cette mise au point plus que salutaire.
Publié le 02 Février 2024
5
Après la dégustation de cette poilade fichtrement réjouissante – bien qu’un chouia trop roborative si on tente de l’ingérer sans ménager un trou normand –, on reste, non sur sa faim, mais sur une interrogation lancinante : Jocelyne Bigarreau est-elle la nièce illégitime d’Adoré Floupette et de Georges Fourest ? PS : Votre virtuosité "ponctuative" me donne le tournis (bien que cela ne soit pas la raison de la délicate couleur verte recouvrant désormais mes pommettes. La jalousie, sans doute. Je replonge derechef dans mon exemplaire du Drillon. C'est qu'il va falloir potasser pour arriver à ce degré de maîtrise du schmillblique.)
Publié le 08 Septembre 2023
5
@Gueladio Sall Après avoir refermé la dernière page de votre livre, je reste prisonnière de son univers, de ses non-dits, de ses couleurs et de ses sons. De sa vibration. De votre prose s’exhale en effet une myriade de sensations qui s’insinuent en nous, qui nous emportent très loin et qui laissent leur empreinte. La musicalité de votre plume et sa rythmique si personnelle résonnent profondément. On ne pourra de sitôt oublier ni Mamy Ndiaye ni Penda Sarr, ni aucun de celles et ceux qui entourent cette quête vers la vérité et la liberté d’accoucher de soi-même. Si votre livre n’est pas encore parfait (voir le commentaire de @Catarina Viti ), il émane d’un véritable écrivain. Merci pour ce très beau partage.
Publié le 08 Septembre 2023
5
Ne voulant pas divulgâcher le sujet, je ne détaillerai pas mon commentaire, si ce n'est pour vous dire quel plaisir j'ai eu à lire votre récit primesautier. J'ai éprouvé beaucoup de plaisir à suivre les rebondissements de l'intrigue et le développement des aventures de Cornélius, Charlie, Kelly et de l'infortuné Colignon. Merci pour ce partage gouleyant !
Publié le 03 Septembre 2023

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