Jean-Claude Marie LAVALETTE

Biographie

D'après Alfred Hitchcock, "le théâtre, c'est la vie ; ses moments d'ennui en moins". Comme il a raison !
Je suis un auteur qui n'a pas envie de déballer ses titres de noblesse (diplômes, expériences…) comme on exhibe sa légion d'honneur (que je n'ai pas, rassurez-vous), "ce ruban malheureux et rouge comme la honte" criait Léo Ferré dans "il n'y a plus rien". Le Public, lui, vient voir une pièce de théâtre et le reste… il n'en a rien à foutre.
Le Public est là pour vibrer, pleurer de rire ou de tristesse, vivre dans son cerveau ou dans ses tripes des moments fabuleux en communion avec les comédiens pour oublier que la vie, c'est du théâtre ; les emmerdes en plus.
Alors du rire, du rythme, de la pétillance, de l'amour, du sexe… et pleins de Faux-Semblants.

Jean-Claude Marie LAVALETTE a publié

Jean-Claude Marie LAVALETTE a noté ces livres

4
Je viens de terminer la lecture de votre ouvrage. Vous avez une imagination débordante et votre style ne laisse aucun répit au lecteur qui entre comme s'il les vivait dans les différentes péripéties de votre histoire (descriptions psychologiques, action, scènes romantiques...). Un réalisateur pourrait utiliser Blanche comme scénario de film. J'ai cependant une petite réticence. Le rapport dual entre Blanche et Aline ainsi que les relations que cette dualité engendre entre Arthur et Dorian sont trop fouillées, trop décortiquées, trop longues. Ce n'est qu'un avis purement personnel. D'autres lecteurs peuvent avoir un avis divergent sur ce sujet. En lisant le mot fin je me suis dit "tiens nous avons un Alexandre Dumas, un Eugène Sue des temps actuels qui se dessinent". Confrontez Blanche au public. Votre roman en vaut vraiment la peine. Très cordialement. JCML.
Publié le 29 Octobre 2015
5
M'dame...! M'dame ! Ma maman est très malade. Est-ce qu' elle va mourir ? L'enfant ne pleurait pas. L'enfant était saisi d'effroi. A ce moment précis nous pensions tous que nos mamans respectives allaient mourir. Alors, sans dire un mot, les beaux yeux sombres de la maitresse enveloppa chacun d'entre nous d'une tendresse, d'une affection, d'une compassion infinie. Je n'oublierai jamais ce regard céleste. Nous étions entré dans l'oeuf de vie rond comme le ventre d'une maman. Durant toute la récréation la maitresse ne lâcha pas un seul instant la menotte de Christophe, mon copain. Le soir, à la fin de la classe, et pour la première fois la menotte sorti de la main de ma maitresse pour se glisser dans celle de son papa. La menotte allait vers un autre destin. Ce fut ma seule année de paradis scolaire. Après, pour moi, ce fut plus compliqué... A la lecture de ces perles d'école je m'aperçois que vous avez le même regard sombre sur vos enfants que celui de ma maitresse. Merci.
Publié le 26 Octobre 2015
5
La passion jusqu'au meurtre... Huis clos étouffant entouré d'un nuage d'érotisme... Tension, violence qui montent au fur et à mesure que s'écoulent les actes et les scènes. Lui, Alain, intellectuel brillant dominateur, pervers, méprisant... Elle, Béatrice, beauté plastique, simple mais attachante, touchante, sympathique dans cette bataille perdue contre Alain. Et le point final de l'histoire implacable et irréversible : la destruction d'un être humain par le pouvoir absolu. Et que penser de Louis finalement qui récupère les éléments de ce drame à des fins personnelles et mercantiles. C'est brillant, c'est bien fait. Je me suis régalé.
Publié le 12 Octobre 2015
5
Je vous remercie beaucoup pour les cinq étoiles données à Faux-Semblants. Je vous accorde volontiers que la lecture d'une pièce de théâtre n'est pas forcément chose aisée. La force du jeu des comédiens manque toujours à l'alchimie de l'ensemble. Elle n'a pas encore été jouée mais des projets sont en bonne voie. Pour ma part, j'ai beaucoup apprécier la lecture de la voie du bateleur. J'ai aimé de bout en bout ce suspens rafraichissant qui vaut bien cinq étoiles. Merci d'avoir fait connaître votre talent. Je vous souhaite, cher Zabe Quinez, plein de succès sur AMAZON.
Publié le 08 Octobre 2015

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