Bonjour@Alix Cordouan. Votre commentaire m’a fait chaud au cœur. Désolé du retard que j’ai pris à vous répondre. J’avais un peu oublié ce récit, et ce que vous avez noté, concernant le personnage de la grand-mère, est le passage du roman qui révèle le plus le non-dit d’un thème abordé presque inconsciemment. Un coup d’épée virtuel dans l’eau qui nous baigne de-ci de-là, cahin caha. Encore une fois merci.
@Stog
Pour un citadin, les premières pages de votre texte sont un vrai dépaysement. Les superbes descriptions de la nature et du travail respirent une telle authenticité que l’on se sent transporté sur le vieux tracteur dans l’air glacé du matin sur les collines du Témiscamingue. Au-delà de la quête émouvante des origines à travers l’espace et le temps, j’ai été frappé par les extraits du roman de la grand-mère issue d’une grande famille : « Je suis d’un monde qui ne se vit pas, il s’écrit, il se conceptualise et se surestime ». Cette femme s’éprend de son contraire, un homme au corps façonné par le labeur, mais elle a besoin de cette authenticité.
Je n’ai pu m’empêcher de faire le parallèle avec notre époque où une partie de notre société baigne dans le virtuel alors que l’autre affronte « la vraie vie ».
Je recommande fortement la lecture de cette histoire qui, à bien des titres, ne peut laisser indifférent.
Merci pour ce partage.
Publié le 06 Juillet 2023
Stog
Biographie
Technologiste agricole, coopérant dans une Afrique qui m'a, au final, transformé. Puis de retour au pays, logisticien de transport et...
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Bonjour@Alix Cordouan. Votre commentaire m’a fait chaud au cœur. Désolé du retard que j’ai pris à vous répondre. J’avais un peu oublié ce récit, et ce que vous avez noté, concernant le personnage de la grand-mère, est le passage du roman qui révèle le plus le non-dit d’un thème abordé presque inconsciemment. Un coup d’épée virtuel dans l’eau qui nous baigne de-ci de-là, cahin caha. Encore une fois merci.