Auteurs : Zoé Florent & Michel Laurent
Gabriel est marié à Chloé. Comme Pierre et Pilar, il occupe un poste à responsabilité chez Audiovox, agence de publicité et de sondages.
Au sein de ce quatuor, Chloé se révèle, à son corps défendant, la cheffe d’orchestre d’une symphonie amoureuse qui s’exécutera sans partition, mais non sans fausses notes.
Pilar est une disciple de Sapho, Pierre un mari volage, Gabriel un époux étouffant, jaloux et violent. Tous vont, à un moment ou à un autre, trouver Chloé sublime, sans connaître toutes les subtilités du jeu auquel ils vont tour à tour la convier.
Ce livre est noté par
Merci beaucoup @Annie Pic pour ce commentaire perspicace et touchant ! Chloé est effectivement un personnage complexe et sa quête de liberté et d’épanouissement résonne avec les défis que beaucoup rencontrent. Quant à ses fantasmes, ils sont le reflet de son désir d’évasion et de découverte de soi, un thème aussi enrichissant pour le lecteur que pour les auteurs. Merci encore pour votre lecture attentive et vos mots encourageants !
@Annie Pic Mille mercis pour ton adorable commentaire, chère Annie. Pour ta fidélité de lectrice et ta généreuse appréciation aussi.
Se sentant libre, appréciée dans son entièreté - véritablement aimée, en somme -, pour la suite, j'élucubrerais volontiers une Chloé qui dépose enfin les armes, en toute confiance ;-)...
Sinon, cette aventure scripturale fut aussi spontanée qu'agréable... alors si nos lecteurs la jugent réussie, ma foi, j'en suis ravie.
Merci encore, bises et bonnes vacances (si c'est la cas),
Michèle
@Bahloul. Merci pour votre lecture et votre commentaire sympathique. Voici un lien sur le site où vous trouverez une tribune relatant cette expérience d'écriture à quatre mains :
https://www.monbestseller.com/actualites-litteraire/21018-le-roman-a-quatre-mains-recit-dune-experience-decriture-par-zoe-florent
@Bahloul Mille mercis pour tes lecture, commentaire avisé et généreuse appréciation, cher Mohamed. Pour ta fidélité de lecteur aussi. Tout cela me ravit sincèrement et me réconforte.
Amitiés,
Michèle
Cher @Fernand Fallou . Ah non, ne croyez surtout pas cela ! Vous ne m’avez en rien désobligé et j’ai tout au contraire fort apprécié votre commentaire.
Et j’aime tout à la fois le parallèle que vous faîtes entre les écrits de Colette et le destin de notre Chloé, que l’intérêt que vous déclarez porter (et que je partage entièrement) aux rondeurs féminines, surtout lorsqu’elles s’offrent à nous en nombre pair.
Bonne journée à vous.
@Michel LAURENT
Cher ami, dieu de dieu, quel manque de culture ! Je ne connaissais pas le mot « thuriféraires » alors que j’ai été enfant de chœur. Vous n’êtes pas obligé de croire ce paradoxe. J’ai lu Freud quand j’avais 20 ans, j’ai retenu quelques mots grossiers, avec Daco qui n’est pas mon copain comme vous dites, j’ai retenu « Pierre Daco » et je ne connais pas son côté « jungien ». Avec Dolto qui avait une émission de radio sur Europe 1 ou RTL où à mon sens elle disait pas mal de « bêtises » et qui avait un fils (Carlos) qui derrière « Rosalie » était très présomptueux. Je ne connais pas « Didier Pleu »
Vous savez, je n’ai que mon certificat d’études et mon permis de conduire. Ce sont les deux seuls diplômes que je possède.
Je n’ai jamais lu un san Antonio du côté psychologique. Je me suis amusé et j’ai simplement ri des descriptions (impossible dans la réalité) placées à mon avis sous l’égide de l’humour.
Maintenant, libre à tous de les lire du côté psychologique et libre à quiconque d’aller chez Hanouna.
Non, ce que je voulais dire, c’est qu’en psychologie pour un symptôme on peut trouver plus d’une dizaine de causes. Et des femmes qui ont eu le parcours de Chloé et qui finissent dans les bras d’une autre femme y en a eu des centaines et des centaines. J’ai regardé avant hier sur la 5 l’émission sur Colette (l’écrivaine) c’est la même histoire que Chloé sauf que c’est elle qui écrit le (les) bouquins. Là encore chacun interprète à sa façon et c’est son droit intrinsèque.
Se vouer à un sein, deux de préférence, voilà quelque chose qui me plait beaucoup mieux. J’irai sûrement voir votre « Enora ». Je ne vous ai jamais lu, y a un début à tout… et puis je sens que j’ai écrit quelque chose qui ne vous a pas plu et je m’en excuse loin de moi l’idée, de vous agresser de quelle que manière que ce soit.
FF
@Parthemise33 Merci pour votre commentaire instructif. En ce qui me concerne, j’ai fait déactiver ma carte bleue pour toute utilisation dans le Triangle d’or, y compris donc avenue Montaigne.
Quand vous parlez de l’incommunicabilité entre les deux sexes, vous voulez dire entre les deux principaux sexes. De nombreuses variations et autres déclinaisons sont désormais admises entre ces deux extrémités. Ce qui fait que les romanciers peuvent aujourd’hui laisser libre cours à leur imagination pour sortir du trio infernal trop genré entre la femme, le mari et l’amant.
Je remarque aussi, non sans une certaine tristesse, que ce pauvre Pierre est davantage l’objet de moquerie que de compassion. Je crains, naturellement par simple solidarité d’écrivain (amateur), que le moment où Chloé lui avoue ce qu’elle a vraiment pensé de sa Nouvelle érotique, ne fasse pas partie de ce que vous avez appelé les « moments douloureux » de notre roman ! Pourtant, il l’était vraiment douloureux, ce moment. Pauvre Pierre !
@Fernand Fallou Merci pour votre commentaire historique et documenté.
Ben oui, après que Freud et ses thuriféraires nous ont allongé sur leur divan pour nous traiter d’obsédés sexuels, Dolto a révolutionné l’éducation avant qu’un certain Didier Pieux (par exemple) vienne nous dire que non, l’enfant ne devait pas être roi. Votre ami Daco, trop tôt disparu, a mis son grain de sel jungien dans l’affaire, San Antonio a entrepris de psychanalyser la libido de Berrurier et nous, on n’y a plus rien compris. On s’est mis à faire l’amour à plusieurs et à parler de nos orgasmes chez Hanouna. Aussi, si on n’en parle pas dans nos bouquins, on passe pour des inhibés du planté de javelot dans la moquette !
Mais maintenant, avec le wokisme, on veut mettre un sacré voile (et pas seulement islamique) sur nos textes. Imaginez-vous, j’ai écrit une petite nouvelle romantique où je fais déambuler sur la lande mon héroïne, fille simple, boiteuse de naissance et vêtue d’une robe de bure. Et v’la-t-y pas qu’une wokiste militante me tombe sur le paletot en m’accusant, pour l’avoir fait ainsi marcher, de l’avoir désignée en « objet de désir pour les hommes » (véridique, voir le commentaire d’une certaine Joee sur « La prière d’Enora »). Alors, admettez que pour qui éprouve autant de respect que d’amour pour les femmes, il devient difficile de nos jours de savoir à quels seins (!) se vouer.
@Fernand Fallou Eh oui, nous avons assisté à de grands chamboulements, cher ami, avec pour conséquence un poids supplémentaire sur nos frêles épaules féminines, allègrement lestées par l'ami Sigmund :-). Pour ma part, il y a longtemps que parler de sexe est si naturel que l'on me prète souvent quelque obsession ou que l'on qualifie mes écrits d'érotiques pour dix pages sur deux cents qui abordent le sujet. Tout cela pour te dire que je n'ai aucun mérite à écrire de "l'un peu chaud" à quatre mains, d'autant moins quand les deux autres sont sur la même longueur d'onde.
Mille mercis pour une lecture, dont je sais qu'elle n'est pas ta tasse de thé, et pour tous ces corazones. Bises et bonne soirée,
Michèle
@Parthemise33 Ach (ou peut-être argh ou gloup, ch'ais pas trop) ! me suis-je dit à mon tour en commençant à te lire... et comment je fais moi, alors, qui n'aime ni le copinage ni le shopping ni l'amour à trois, hein ? Mais telle Superwoman, tu me sauves en sortant ta botte secrète : la cocktailothérapie... Reconnaissance éternelle, chère amie ;-) !
Plus sérieusement, mille mercis pour ton com' pétri d'humour qui m'a mise de bonne humeur pour la soirée. Pour tes lecture et généreuse appréciation aussi.
Plein de bises et bonne soirée,
Michèle
@Chrisko Mille mercis pour vos lecture et commentaire avisé.
On ne peut écrire un roman à la carte, ce qui contraint à élargir le champ des possibles. Alourdir par le drame sans insuffler un peu de légèreté me paraît une erreur à éviter, à moins de ne viser que les amateurs de plat unique ;-).
Bonne journée. Amicalement,
Michèle
@Chrisko Merci pour votre lecture. Votre commentaire est bien-sûr parfaitement respectable. Il s'agit avant-tout d'un roman d'atmosphère...
@Foxyne Mille mercis pour votre adorable commentaire et les trois coeurs associés.
Écrire ce roman à quatre mains fut une aventure aussi agréable qu'enrichissante. Je vous souhaite de la vivre un jour à votre tour.
Bon week-end. Amicalement,
Michèle
@DEC Mille mercis, Salomon !
@DEC Merci à vous pour ces coeurs généreux.
@Alain Lemeunier Mille mercis pour vos commentaire et généreuse appréciation.
Petite confidence musicale puisque vous évoquez Duke Ellington, lui-même évoqué par Boris Vian : notre Chloé et l'océan, premier second rôle de ce roman, m'évoque pour ma part la chanson de Damien Saez, "À nos amours" (https://www.youtube.com/watch?v=dUmQNNqAGnQ), chanson également intérprétée, je vous donne en mille, par une certaine Chloé (https://www.youtube.com/watch?v=-Rg9-vi7foc)...
Merci encore. Amicalement,
Michèle
@Alain Lemeunier
Merci pour votre commentaire chaleureux.
Voici le lien sur la chanson « Chloé » de Duke Ellington :
https://www.youtube.com/watch?v=GARG6d27314
Votre référence est excellente car cette chanson est citée plusieurs fois dans « L’Ecume des Jours ». Et c’est précisément en pensant à l’héroïne du chef d’oeuvre de Boris Vian que nous avons choisi ce prénom.
Peut-être la tribune que nous venons de publier sur mbs dans la rubrique « Du côté des auteurs » vous donnera-t-elle quelques réponses à vos questions sur la manière dont nous avons procédé pour écrire ce roman à quatre mains.
Merci encore à vous pour votre appréciation.
@Zoé Florent
À l’heure de #MeToo et de la crise du don d’organe, cet abandon d’un demi-coeur ne risque-t-il pas de faire peser sur moi une lourde suspicion ?
@LAURIER JEAN-PIERRE Mille mercis, cher ami !
J'aime l'idée du tandem aussi. Elle m'évoque la relation amicale entre les deux personnages de ce film tant apprécié, interprétés par Rochefort et Jugnot.
Coeurs ou étoiles, cela ne change pas grand chose, pourvu que le coeur y soit ;-).
Merci encore, bises et bonne journée,
Michèle
PS : @Michel LAURENT Allez, deux pour toi et un pour moi, vu mon appétit de moineau ;-).
@LAURIER JEAN-PIERRE
Merci beaucoup, Jean-Pierre, j’apprécie que tu aies parlé de « tandem » et non de duo infernal !
Je crois que je préférais moi aussi les étoiles, pour moi plus oniriques. D’autant, inconvénient de l’écriture à quatre mains, que l’on va devoir se partager ces généreux coeurs, qui ont le tort de se compter en nombre impair. Et se retrouver avec un demi-coeur, cela évoque pour moi davantage la triperie que la poésie qui t’est si chère -).
@galodarsac Mille mercis, cher ami !
Ah "novella", terme anglo-saxon adopté ici pour ses qualités pratiques, il y a... Les Anglo-Saxons considérant qu'un écrit est nouvelle avec moins de 17500 mots, novella, avec moins de 40000, et roman au-delà.
Tu m'as aussi repérée avec mes participes-passés des verbes "muer" et "mouvoir", que j'affectionne tout en les confondant à l'envi, en éternelle étourdie. Heureusement que Michel, en psychorigide réfractaire à toute forme de tolérance comme d'humour, a veillé à me faire rentrer dans le rang à coups de règle sur les doigts :-) !
Merci d'avoir mis ton oeil de lynx à notre service itou.
Bises à vous deux, et profitez bien de ce jour férié (enfin) ensoleillé,
Michèle
@Zoé Florent
Mais évidemment qu’il faut la prendre au pied de la lettre, ma bio ! Des smileys ! Quelle horreur que cette invention, destinée sans doute à dire aux lecteurs à quel endroit il faut rire ! Non décidément, je déteste l’humour et les humoristes...
@Agostini Francois-Xavier Mille mercis pour vos lecture, commentaire avisé et sympatoche rappel de nos droits ;-). En matière de vocable : choix délibéré, donc assumé. Partant du principe (aussi pertinent que votre "qui ne tente rien n'a rien") "qu'on ne peut pas plaire à tout le monde", nous avons bilatéralement décidé de la forme de ce roman en fonction de nos goûts, dans un "advienne que pourra" enthousiaste ;-).
Merci encore et bonne journée.
Amicalement,
Michèle
@Michel LAURENT Voilà que ta bio est prise au pied de la lettre... et je crains qu'il en aille de même avec ta réponse. Peut-être devrais-tu ajouter quelques smileys. C'est mignon tout plein, les smileys, non ?... et décoratif en plus ;-) :-)))...
Merci @galodarsac pour votre commentaire chaleureux. Sans surprise, vous avez parfaitement identifié la responsable de l’emploi du terme « novella », vocable que je trouve particulièrement agréable à l’oreille. L’écriture à quatre mains est en effet une expérience singulière. Nous en livrerons les coulisses dans une prochaine tribune, sur mbs.
Merci une fois encore pour votre lecture et votre généreuse appréciation.
@Agostini Francois-Xavier
Merci pour pour vos coeurs que nous apprécions à leur juste mesure.
En ce qui concerne ma propre biographie, elle ne doit surtout pas être prise comme « une accumulation de regrets » ! Elle est au contraire pleine d’espoirs. Comme celui de trouver des lecteurs enthousiastes, parfois compatissants, toujours encourageants, à l’image de votre commentaire qui nous montre la voie pour atteindre peut-être un jour la perfection, une fois les « complications vocables » oubliées.
Merci une fois encore pour votre lecture.
@Cristina Leg Mille mercis, chère amie ! Et pour ta lecture, et pour ton adorable commentaire, et pour avoir osé "ouvrir le bal" des retours (quand bien même il serait déserté ;-)), ce qui s'avère toujours un peu délicat.
Pour ce qui est de la fin, nous avons élu celle-ci, parmi les fins envisagées et plausibles que nous avions élucubrées en cours d'écriture, car elle sortait des sentiers battus. Une fin que nous souhaitions positive, pour rejoindre l'objectif que nous nous étions fixé dès le début.
Merci encore, bises et bon week-end (ainsi qu'à Arthur),
Michèle
Merci @Cristina Leg pour ces généreuses étoiles et pour ces compliments qui nous vont droit au coeur.
Nous avons en effet essayé de faire tout ce qui était en notre pouvoir pour rendre l’écriture à quatre mains la plus homogène possible. Votre commentaire nous donne à penser que nous y avons, au moins en partie, réussi. Merci à vous une fois encore.
Je double la mise :-) :
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@Mondebeau
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