
L'histoire froide, presque déshumanisée, de Malouna.
Prisonnier mystérieux et marginal, incarcéré dans le pénitencier de Zatrivonya, Malouna est soupçonné puis rapidement accusé d'avoir enfreint les règles de Zatrivonya, en empruntant un couloir strictement interdit aux détenus. C'est une faute grave, Malouna est sommé d'expliquer sa conduite mais il nie les faits dans un premier temps. Des événements de plus en plus étranges vont alors se produire, qui mèneront les protagonistes de cette prison, plus métaphorique que réelle, vers des considérations existentielles certes abstraites, mais profondes et indispensables.
Le récit traite de l'échappatoire, du moyen ou des moyens possibles de se soustraire à sa propre condition, mais dans un parcours semé d'embûches et de souffrances.
Ce livre est noté par
@Catarina Viti Votre message est un sacré coup de projecteur, merci Catarina. C'est bien vu, bien senti, même si souvent ce livre m'échappe à moi aussi ! En tout cas vous posez les bonnes questions, et Kafka est la référence absolue. J'aime votre idée de "l'écriture (qui) s'impose sans rien promettre en échange", oui c'est exactement ça. J'espère que, comme vous dites, chaque lecteur tenté par ce texte le saisira à sa façon, car de quoi ne sommes-nous pas prisonniers ? Excellente continuation à vous, encore merci pour tout ce que vous faites. Littérairement, MK.
@Catarina Viti Bonjour Catarina, merci pour votre très chouette message. Je vous trouve extraordinaire de me contacter si vite ! Comment faites-vous ? J'ai regretté de ne pas vous voir à la remise du prix Concours en avril dernier, j'ai même demandé après vous car je voulais vous rencontrer. J'espère que la chose se fera un jour. Merci encore pour vos encouragements toujours positifs. Bonne continuation. MK
Bonjour Markus,
Dès l'ouverture, votre roman déborde de promesses.
Assurément, une signature "Kline" existe.
A plus tard pour un commentaire assorti des 3♥ de recommandation, j'en suis certaine.
@Chrystel M Oh oh, que répondre à un tel message ?? C'est fort touchant et fort exagéré, chère Chrystel. Je ne me considère que comme un simple artisan, un laborieux du verbe. Ce qui change tout c'est l' "idée", si difficile à trouver, à accrocher. Peut-être "Perdida", peut-être "Malouna" sont-ils des idées, mais avec leurs points faibles. Quoi qu'il en soit, l'important est que cela ait été plaisant pour vous. Mille mercis.