À sa décharge ...

12 pages de Antoine Guy
À sa décharge ... Antoine Guy
Synopsis

Nouvelle proposée dans le cadre du concours " Souvenirs de Pub " initié par mBS durant l'été 2025.

Un texte relativement court mais une expérience en grande partie vécue.

Entre consumérisme imposteur et authenticité des relations. Poser des choix.

Publié le 08 Décembre 2025

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2 commentaires , 2 notes
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Merci @Sylvie MANGIN de ce feed-back bien sympathique. Heureux de vous avoir intéressé, distrait aussi, sur le sujet de notre " pouvoir d'achat " qui bien souvent termine sa course dans ces lieux très particuliers, les déchetteries. Bonne suite dans vos lectures et vos travaux d'écritures. J'irai folâtrer dans votre bibliothèque dès que mon emploi du temps le permettra. Encore merci.

Publié le 10 Décembre 2025
3
Grâce à vous, je ne verrai plus la déchetterie du même œil. J'ai beaucoup aimé votre texte, ses jeux de mots, son humour, parfois caustique, mail il faut bien ça pour enlever la couche de crasse qui nous aveugle :) Merci pour ce moment de lecture
Publié le 10 Décembre 2025

@Michel Laurent. Que puis-je ajouter ou répondre à votre réaction ? Merci d'avoir apprécié ce travail d'écriture. Vous utilisez vous-même dans votre commentaire une langue fleurie, riche, imagée, parfumée, qui s'apparente à de la haute cuisine pour décrire le menu de cette table. Grand merci et à bientôt pour d'autres échanges littéraires sur mBS ou ailleurs.

Publié le 09 Décembre 2025
3
@Antoine Guy Superbe ! Votre nouvelle pétille comme une flaque de rosée qui aurait avalé un rayon de lune de travers. Humour grinçant, style impeccable et délicieusement affûté, vocabulaire riche et taillé sur mesure : vous bercez le lecteur avec cette tanche de vie — pas très glorieuse, certes — mais ô combien universelle, de celles que l’on croyait avoir laissées moisir dans un coin obscur de l’âme, quelque part derrière le vestibule où Freud entrepose nos anciennes bêtises. Le gestionnaire de tri métamorphosé en psy de fortune, consolateur de divorces chaotiques et de cœurs brisés, est un petit bijou de cocasserie tendre. Il résonne comme une note de clarinette tombée par erreur dans un orchestre municipal, dissonante et pourtant tout à fait à sa place. Et puis ce parfum de Souchon qui flotte sur la fin du récit, ce sourire mélancolique qui plane sur la banalité de nos jours, c’est d’une justesse rare. Vraiment, très bien vu. Bravo !
Publié le 08 Décembre 2025