Alix Cordouan

@A. ATH. Ce très beau texte nous entraîne dans un abîme de réflexion. Très documenté et étayé par de nombreux exemples, il a le mérite de nous interroger sur les interférences entre génie et folie. Le dernier mot pourtant revient à Sybil : « Tout est flou surtout dans le domaine de l’âme que l’on ne peut pas sonder ». Je recommande à tous cette lecture passionnante et instructive.

@AHUSKI. Vos nouvelles, originales et distrayantes, nous entraînent dans un univers qui vous est propre et qui tranche singulièrement avec les sempiternelles mièvreries dénoncées précédemment auxquelles je rajouterai un nombrilisme récurrent. Vous naviguez loin de ces écueils, soyez-en remerciée.

@Hugues Cayzac Dès les premières lignes, le décor est planté, et de toute évidence on n’est pas chez les Bisounours. Les dialogues nombreux et bien menés ajoutent encore à l’authenticité des personnages superbement bien campés dans un pays où tout semble possible et particulièrement le pire. Une immersion totale qui prend aux tripes du début à la fin. Merci pour ce voyage en première classe. J’espère que vos publications sur mBS contribueront à réaliser votre objectif d’accéder à l’édition papier.

@Alhéna Skat. Vous avez le rare talent, en quelques pages, de nous extraire de belle façon des tristes réalités qui nous assaillent. Merci pour ce partage poétique.

@Stog Pour un citadin, les premières pages de votre texte sont un vrai dépaysement. Les superbes descriptions de la nature et du travail respirent une telle authenticité que l’on se sent transporté sur le vieux tracteur dans l’air glacé du matin sur les collines du Témiscamingue. Au-delà de la quête émouvante des origines à travers l’espace et le temps, j’ai été frappé par les extraits du roman de la grand-mère issue d’une grande famille : « Je suis d’un monde qui ne se vit pas, il s’écrit, il se conceptualise et se surestime ». Cette femme s’éprend de son contraire, un homme au corps façonné par le labeur, mais elle a besoin de cette authenticité. Je n’ai pu m’empêcher de faire le parallèle avec notre époque où une partie de notre société baigne dans le virtuel alors que l’autre affronte « la vraie vie ». Je recommande fortement la lecture de cette histoire qui, à bien des titres, ne peut laisser indifférent. Merci pour ce partage.