Annie Pic

Bonjour Thomas E. Woodruff. Des meurtres et deux fantômes ! L'histoire n'est pas banale. Dans ce roman fantastique, beaucoup de coups de gueule, de mots injurieux, d'agressivité, servent un langage argotique. Vous avez emprunté un style décapant, sans concession, pour développer la psychologie de vos personnages et noyer la trame dans ses rebondissements. J'avoue, malgré les invraisemblances accumulées, m'être laissée entraîner dans cette valse ondulatoire d'ectoplasmes, jusqu'à la surprise finale. Merci pour ce partage. Annie

Bonjour ClaraDiane. C'est toujours réducteur de se faire une opinion sur un simple extrait. L'œuvre en elle-même ne peut se contenter d'une vingtaine de pages, pour révéler sa véritable valeur. En lisant ces quelques lignes qui dévoilent crescendo, les angoisses de Maëlle, la terreur qui l'envahit, ses souffrances, ses luttes incessantes, ses pertes de conscience... Devant cette multitude d'interrogations qui se profile, j'aurais bien aimé poursuivre. Amicalement, Annie

Bonjour luc Michel2. Votre nouvelle est originale. L'auteur s''adressant épisodiquement au lecteur, le prenant à témoin, le baladant dans sa logique implacable, sur cette relation intime que nous avons jour après jour avec le temps qui passe, et qui nous dépasse. Vivre et revivre en deux temps pour ne rien oublier, pour mieux apprécier. Le concept aurait pu être avantageux pour Miles, il s'y était habitué, (le lecteur aussi), alors pour le déstabiliser, l'auteur va l'entraîner encore plus loin... C'est bien pensé, c'est bien mené ; j'ai suivi le parcours de Miles dans son intemporalité, avec curiosité. Bien à vous, Annie

Bonjour Madjid Lebane, Dans ce trop court extrait, j'ai pu apprécier la précision de votre plume. Mais je reste interrogative, difficile de se faire une véritable opinion sur l'intérêt du récit. Avec ma complicité d'auteure SFF, Annie

"Les Sages Dirigeants d’Umph" Bonjour PatBerg, dans ce monde imaginaire, vous savez surprendre le lecteur. Vous laissez planer le doute, Luc Sterne n’a littéralement aucun libre arbitre, son destin est scellé et il ne peut que suivre la partition écrite à l'avance. C'est bien écrit, ambitieux, René Barjavel n'aurait pas renié cette nouvelle. Avec ma complicité d'auteure SFF, Annie