Monique Louicellier a noté ces livres

3
Ayant remarqué ce roman dans les lectures de l'auteure des Silences de Juliette, il se trouve que j'ai passé du temps, trop pour mes capacités, à le lire puis à partager mes réflexions.. Je n'ai pas lu intégralement le dernier tiers, pour sauter à la conclusion dont j'avais l'intuition. Belle écriture, un peu de Zola là-dedans. Le fond maintenant. Si j'ai lu, bien qu'à l'antipode de la sexualité hétéro, c'est parce que je reconnaissais une dynamique connue entre les deux personnages principaux. Manipulatrice et froide beauté d'un côté qui séduira un homme amoureux et soumis. Très belle autopsie de la relation. Qui inévitablement débouchera sur l'histoire de l'abus sexuel dans sa petite enfance de la jeune femme par un pédophile. Alors non, elle n'est pas devenue nymphomane et l'excitation sexuelle qu'elle fait naître chez son amoureux à mesure qu'elle lui dévoile ses frasques et abus n'est que la projection de tels abus et l'internalisation du plaisir pervers qu'ont eu des violeurs. La personnalité de la femme s'est construite en dominance, en froideur y compris dans son métier de médecin, en étant effectivement dénuée de confiance réelle en elle, en étant au fond qu'un être non grandi, se pelotonnant et ronronnant comme un petit animal, ayant besoin de protection et d'affection simple. Tout a sûrement commencé avec la violence du père, son envie de soumettre et la perversité de la mère, jalouse de sa fille, énervée par sa résistance au dur cadre parental de départ, puis complice des viols commis sur l'héroïne, y compris dans sa petite enfance car on ne confie pas une ado à un vieux vicieux ,connu pour l'être, la mère ne voyant que l'aspect débauche qu'elle aurait souhaité avoir et je peux même deviner que cette mère fut violentée par son époux et qu'elle ne l'a pas choisi, qu'elle-même est dans une posture de victime qui s'approprie la violence. Non l'héroïne Candice, ne fait pas que confier ce qu'elle avait du mal à faire au début, s'accrochant à la candeur et à la façade pure qu'elle a au fond et à laquelle elle s'accroche, elle ne fait pzs qu'exciter Henri son amoureux puis époux, elle lui partage l'excitation perverse de ses agresseurs qu'elle a absorbée comme une éponge, elle projette, elle le violente, le transforme, le rend complice des abus, en jouant sur la sexualité de son amoureux, tout en lui laissant et en se laissant à elle-même, ô subtilité d'importance, une voie de fuite, de fuite des abus, une voie d'analyse, celle émanant de sa réelle personnalité et sûrement grâce à l'amour qui émerge dans la mince faille analytique, où l'abus ne se reproduit plus, où elle et son amoureux ne repassent pas dans le même endroit d'origine des viols si je puis dire, une mince voie de réparation. Si Henri avait été plus intelligent, plus humain, il aurait conduit de suite sa compagne chez des psychologues spécialisés en victimes de viols et d'abus pédophiles. Ceci dit j'ai peut-être loupé un passage, ayant fait des lacunes sur le dernier tiers. Ensuite tout ça résonne en moi car j'ai grandi dans une famille avec au moins deux perverses narcissiques, de type vulnérable et on dit que c'est génétique. Les tout bons, tout cons, naissant d'un côté, avec quelques troubles associés (TDAH, autisme par exemple), soumis, aidants et réparant, ceux victimes de leurs contreparties dans la fratrie ou dans les parents, voire les enfants, ces fameux PN, sans conscience, à l'empathie feinte, des paranoïaques, ayant peur d'être lésés, peur de manquer, formidablement jaloux, haineux, manipulateurs, cruels et en jouissant, projetant tous leurs travers sur l'autre, er sinon souffrants et vides d'énergie vitale et de joie intérieure. Est-ce génétique ou dépendant d'un abus sexuel subi tôt, versus non subi, dépendant aussi du rôle de soignant de telles blessures chez l'alter PN, endossé très tôt ? En tous cas, je constate que les violeurs et pédophiles sont des hommes dans leur écrasante majorité. Ma dernière relation ressemble un peu à Candice, non pas médecin mais pharmacienne. Une perverse narcissique, par contre elle n'avait pas accumulé les relations, ce fut le contraire, et elle n'a pas couché pour obtenir son diplôme mais s'est torturée physiquement, ne dormant que peu, s'imposant un travail et des relations avec la clientèle alors qu'elle déteste les gens et est extrêmement timide et sur la défensive, convaincue d'être lesbienne depuis longtemps mais aucune relation antérieure, à priori, ceci jusqu'à l'âge de 53 ans... Pas de désir sexuel. Puis l'ouverture par les livres. Puis moi. Et j'ai cru aussi à une nymphomane, le kamasutra dès les premières minutes de notre rencontre, après un baiser ventouse inédit qui a bien duré 20 minutes, l'aspect immature et bébé je pense, puis être dévorée par des relations sexuelles que j'aurais voulu retarder pour mieux savoir où je mettais les pieds, des postures et positions plutôt typiques du porno hétéro que du lesbianisme, surtout balbutiant. Elle était pluri-orgasmique, et moi, cela ne m'a pas excitée mais rendue complètement anorgasmique, pendant des mois. Elle avait des doudous tout sales et puants, des mouchoirs où elle avait pleuré puis avait caressé jusqu'à ce qu'ils deviennent des lambeaux de dentelle, gris et sales, qu'elle conservait sous son oreiller, et elle m'a même demandé des vêtements pour en faire ses doudous... Ceci alors que sa maison était d'une propreté impeccable, qu'elle s'usait à repasser tout vêtement et linge de lit et qu'étant propriétaire de quatre chiennes, qui dormaient avec elle, c'était sans cesse à recommencer. Le matin, ses yeux étaient embués de larmes, je sentais une souffrance excruciatrice, comme si elle assistait à sa propre agonie. Ce n'était rien, ses angoisses matinales, disait-elle. A l'horizontale, elle était tendre et dès qu'elle se levait, le changement pour l'ombre devenait perceptible, la dureté réapparaissait, y compris envers elle-même, en y ajoutant la manipulation et la cruauté, les projections à mon encontre. J'ai énormément souffert, combien de poudre aux yeux, pour notre futur ou avec ses petits mots doux mais toujours par SMS, de privation de sommeil, de fausses alarmes, y compris des silences et des fausses tentatives de suicide, de déni de ses propres dires et actes avec rages à la clef, de radinerie, et carrément profiter de moi, sans aucune reconnaissance, un orgueil démesuré, une absence d'attentions et de gestes tendres, des crises de mal-être au moment de profiter un peu ensemble, des vacances gâchées, le jeu de me faire tourner en bourrique, la cruauté de tourner exprès le couteau dans des plaies encore béantes pour me provoquer. accumulé les preuves que j'ai notées puis je l'ai quittée. Que dire, à part également cette histoire de viol pat un oncle, connu pour être pédophile, quand elle n'avait que 5 ans grâce à la traîtrise de sa mère l'ayant confiée à l'oncle en question... Souvenirs enfuis jusqu'à tard et pas complétement à jour. Moi je l'ai poussée à consulter des psys spécialisés dans la mémoire traumatique et les abus graves dont pédophiles, mais elle n'y est pas allée et m'a encore une fois manipulée. Mais j'ai aussi été là pour entendre, soutenir son amour-propre, ressentir et souffrir pour elle, et elle utilisait cet abus potentiel (mémoire partielle) et mes questions à ce sujet qui n'avaient pour but que de l'aider, comme une arme pour me faire la gueule, pour avoir un comportement chaotique et injuste, c'est normal, elle souffrait tellement n'est-ce pas et décidément il n'y avait plus que ça, sans pour autant aller consulter gratuitement d'ailleurs, enfin si, elle mentait en disant avoir pris RDV... J'avais déjà bien étudié les PN. La relation était un non-sens et elle me détruisait inconsciemment et parfois consciemment. Poussée à bout pour la guérir, j'arrivais à son délire sans aucune catharsis de sa part lui permettant d'affronter la réalité. Alors je l'ai quittée. Je suis restée dans la médiocrité de ma situation de naïveté et de sauveuse impénitente, m'ayant conduite à un cul-de-sac relationnel. à la solitude, à l'abandon. Vivre dans une ruine froide et isolée, escroquée par une marchande de biens très manipulatrice, avec des chats de sauvetage, ayant tout perdu, ceci après moultes sacrifices, dont pour une autre compagne qui m'a trahie et pour mon père très malade, dont j'ai hérité. De ses mêmes misères et mêmes pièges de vie, plutôt que de son argent vite dilapidé pour les chats. Et elle est restée une froide pharmacienne à l'allure de frustrée, tout en se faisant du mal au travail, cachant une sexualité dévorante et malade, elle a investi son argent, elle a continué à se chercher d'autres victimes, dépressives de préférence, et n'y parvenant pas, elle a acheté une chienne de plus... J'espère quand même m'en sortir et si j'y parviens, je remonterai de très loin... PS : Quelques coquilles sans beaucoup d'importance, dans les 2/3 lus, mais je n'ai pas le temps de vous les indiquer.
Publié le 12 Août 2025
3
Chère Clarybele, Je vous donne la note maximale au vu seulement des premières pages, car je manque de temps pour tout lire pour le moment. Sujet captivant que l'histoire de cette famille au sein de laquelle, Juliette, une jeune femme atypique et courageuse, encoure carrément une mise sous tutelle. J'avoue que je suis très curieuse de savoir les tenants' et aboutissants de cet horrible drame sociétal car pourquoi une telle jeune femme risquerait-elle cette mise au cachot symbolique et cette privation de tout droit d'existence sociale propre et de liberté, si elle possèdait toutes ou même seulement une grande partie ses facultés mentales et physiques, si ce n'est que la direction de la société est au coeur du scandale. Despotisme sans aucun doute... Donc sujet d'actualité brûlant, héroïne touchante car hypersensible, donc aux capacités augmentées en réalité, mais peu adaptée à un monde contemporain prédateur, basé sur l'égoïsme et l'hypocrisie de survie face à un État et à des milliardaires semblant hâter la fin de l'humanité, comme espèce faite d'êtres vivants et dans ce trait moral supérieur qui l'a un temps caractérisé. Très belle écriture bien entendu, suspens palpable, et un grand nombre de pages ! Génial ! J'ai hâte de le lire mais je me suis absentée du site et j'ai au moins une cinquantaine d'autres dettes de lecture. Par contre le script est dur à lire, si vous pouviez corriger cela, vous atteindrez peut-être 500 pages mais ce n'est pas grave... Catarina Viti qui s'occupe du site, avait conseillé d'utiliser une police de type Georgia et une plus grande taille de caractères et surtout je m'en rappelle maintenant, ça doit être enregistré en feuilles A5. Je crois... J'arrive à lire quand même... Je vois Narbonne à présent, oh, oh, tout près de mes propres fantasmes d'emménagement. J'aurais pu croiser Juliette même si j'étais surtout sur Gruissan, parfois n'y habitant plus tout en y revenant souvent, parfois partie quelques années pour Londres, mais présence de 2006 à 2020... J'ai l'impression que le temps defile trop vite sous votre plume, sûrement parce que Coralie évoque sa soeur... Elle ne parle pas trop d'elle-même et j'ai comme une impression de volonté de contrôle sur Juliette. L'écriture prend ensuite un ralenti avec dates et heures, on ressent toutes les injustices subies par Juliette, c'est très dépressif comme lecture. Pourquoi est-elle toujours en relation avec un type menaçant alors même qu'elle porte plainte contre lui ? Sans doute trop gentille, ne sait-elle pas s'imposer et tout les barjos ou gens abusifs en profitent... Sa soeur Coralie semble cependant la soutenir. Je laisse ma lecture là pour le moment. Je rétrograde la note à 2 étoiles car le long passage éprouvant des malheurs de Julie est difficile à lire, trop angoissant et trop long, suspense répétitif donné avec la notation des heures mais suspense finalement non résolu, des évènements apparaissent sans contexte (intérêt de Juliette à nouveau pour Marcel qu'elle était censée fuir) pendant que d'autres sont trop étalés, il faudrait condenser, résumer ou commencer à parler à la première personne pour donner corps à l'histoire. De plus incohérences entre le narratif de Juliette perçue par Coralie comme exigeante, pénible, incohérente et ayant fait fuir ses soeurs et tout le monde, et le narratif suivant la montrant plutôt pondérée et résiliente, hypersensible, trop gentille... Et effectivement quand on combine la gentillesse et la naïveté avec les malheurs, il n'y a que 2% des gens qui seront de confiance, fiables, sensibles, aitruistes, pour tendre la main. Sinon l'odeur de la proie déjà blessée attirera les requins et fera détourner le regard des cons, égoïstes, une majorité des humains... Le problème est que la proie, ayant accumulé les coups, demande de l'aide sans arrêt au lieu de ne plus compter sur personne, elle l'attend même encore un peu d'un manipulateur et petite frappe pourrie et de gens qu'elle ne connait pas. Si une proie baigne dans son sang et appelle en plus à l'aide, que se passe-t-il ? Les requins la finissent ! Quand elle était plus jeune, moins abîmée, ne saignait pas encore et qu'elle avait besoin d'un peu d'aide, souvent sans même l'avoir sollicitée, elle pouvait en trouver au sein du banc de poissons. Et elle était tellement reconnaissante de ces jolis coups de main donnés avec le coeur qui l'ont même poussée à continuer à être bonne et ingénue. Et elle croit que maintenant c'est ce qu'il faut espérer, tant sa situation est devenue douloureuse, tellement elle en a besoin, même d'une petite parole d'encouragement et de compréhension totale, d'amour quoi, pour pouvoir trouver l'énergie de s'en sortir... Mais c'est trop tard ! Les prédateurs, serpents, requins se nourrissent aussi. De proies faibles et ensanglantées, des proies les plus affaiblies en premier et personne n'ose s'interposer avant la curée... Je vois la suite, beaucoup plus cohérente et sensible, je remonte la note à 3.
Publié le 11 Août 2025
0
Bonjour Kal, Désolée, j'ai déserté le site, mais j'avais aussi laissé tomber l'écriture, depuis encore plus longtemps, ne postant que des vieux trucs. En cause le manque de temps ou alternativement la dépression. J'ai aussi contracté de lourdes dettes de lectures ici, lisant avec délice mais ne finissant rien par manque de temps. J'essayais quand même de remercier les lecteurs me laissant un commentaire. Puis j'ai aussi rangé cette politesse dans mon placard à balais, rempli de poussière, vous vous en doutez... Jusqu'à ce qu'un marabout mal léché me fiche la trouille par ses commentaires publicitaires (d'un autre genre, où il invoque nécessairement les forces des ténèbres lors de sa pratique. Allez savoir si nous ne faisons pas la même chose avec notre orgueil...). J'ai décidé de répondre aux commentaires oubliés. A vous, je ne peux, puisque le marabout a posté à votre suite et je soupçonne le site d'effacer les commentaires à partir d'une certaine date. Mais vous êtes l'heureux (hum, hum) gagnant de ma lecture du jour, et de mon commentaire trop long, dont vous devrez demander l'effacement aux gestionnaires du site, parce que mue par la curiosité, j'ai commencé à lire Betterave. Les premières pages (j'ai sauté les introductions et ai par contre lu jusque page 9, soit deux pages en vérité), ces dialogues entre vos deux personnages sont très intéressants, très vivants et bien retranscrits, bref une lecture haletante en perspective ! Mais comme la vie est courte et que je ne peux prédire l'avenir, je vous ajoute à mes dettes monumentales, qui sont parfois annulées, tellement elles écraseraient les possibilités de sauvetage de mon âme dans l'au-delà. Et je vous accorde d'emblée 5 étoiles, car dès les premières pages, le super bouquin s'annonce, nul besoin d'aller plus loin pour en juger. Pour le plaisir oui, mais quand ? Et notez bien que je connais le drame terrible des écrivains non lus. Les talents, ces dons que beaucoup d'humains hébergent en eux, comme une petite plante qui ne demande qu'eau et lumière, ont besoin d'être vus, il n'y a même pas d'ego là-dedans. A très bientôt donc ! Et merci pour votre roman ! NB : Bien entendu si la suite est décevante et que je me suis trompée, vous en serez averti. Mais aurais-je le temps ?
Publié le 20 Mars 2024
3
@Fukiandi gloire Voilà j'ai lu votre nouvelle. Elle est touchante. Je pleurais même à la fin. Donc oui, malgré un sujet connu dans nos pays occidentaux, ce Congo dévasté vers la frontière rouandaise, bien que vous ayez parlé en généralités, comme un écrivain n'ayant jamais mis les pieds au Congo aurait tout autant pu le faire. Malgré toutes vos fautes d'accord de temps, en troisième partie surtout. Et malgré d'autres coquilles ou des mots en contre-emploi... Et ne vous inquiétez pas, on vous dira où, pour les suggestions de corrections. Eh bien, eh bien, les émotions sont là et bougrement là ! Et y parvenir n'est pas donné à tout le monde, cher ami, donc c'est bien entendu un 5/5 ! Mais la note, on s'en fiche un peu. L'important c'est ce sujet et que vous, qui êtes de là-bas, vous en soyez emparé, comme un chevalier portant armure peut se couvrir de ses couleurs, au moment ultime d'une bataille, le sang et les trous du tissu épousant les plaies et les fers cabossés, pour ne point mourir sans elles, pour partir avec ses fiertés et ses trésors ! Et votre étendard à vous, à nous, ce sont les âmes des innocents, des inoffensifs comme vous les appelez avec rage, ceux dont on a coupé la langue... Je pense que vous allez faire longue route, Gloire, vous allez améliorer votre écriture dans ce but, vous surpasser malgré le mutisme tapi qui guette les victimes des grandes émotions, eh oui, car comme l'héroïne de votre nouvelle, vous avez bel et bien une mission, et vous savez très bien qui vous a choisi pour elle. Nous vivons des temps troublés où la vérité doit éclater, où elle vaincra. Où nous espérons que l'humain sera réparé et deviendra tout amour. Tâche insurmontable ? On pourrait douter bien entendu... Et pourtant. Deux camps vont bientôt s'affronter ouvertement et il n'y aura plus de place pour les tièdes... Il faudra choisir. On ne balaiera plus les pires atrocités sous le tapis. L'Afrique secouera son joug et de son sein, des voix s'élèveront et porteront loin. Vous ne devez pas abandonner. L'écriture sera votre lance. Je vous salue bien bas, chevalier !
Publié le 21 Septembre 2023
1.2
Bonjour le Troll ! Je me demandais ce que vous écriviez et je suis très déçue. C'est fait exprès ? C'est d'un ennui mortel votre petit écrit. Je ne vous donne pas la moyenne. Rien à voir avec vos attaques de Troll (en chef, paraît-il...). Je vous préférais cependant Chris D., le troll en second qui vous surpasse de loin pour l'ironie et l'élégance des phrases, même si son âme doit ressembler au conduit de ma cheminée - qui n'est pas ramonée et le restera - (oui, parce qu'il y a de grosses guêpes dedans...). Des calembours qui ne font pas rire, vos pensées balourdes qui s'entrechoquent à propos de vos fantasmes érotiques et de votre vision misogyne d'une femme de carton que vous croquez à grand peine. Tout ceci n'apporte rien. Ou plutôt, on y sent la même rancoeur incrustée, le même manque de but dans l'existence, le vide dans votre cervelle. Et pour 10 pages, vous auriez quand même pu vous fouler davantage, au moins corriger vos fautes d'orthographe, plutôt que de passer votre temps à attaquer les autres en commentaires acerbes. Ceci dit, n'est pas Troll qui veut ! Ah ! Mais oui, il faut que je vous reconnaisse au moins dans cette qualité de votre espèce, noire, poilue, ignorée, dépourvue d'âme, la cervelle en gelée, telle celle des moutons atteints de la tremblante, mais nécessaire à l'équilibre égotique de ceux qui s'affichent sur le trompe-l'oeil virtuel de World Wide Web... Par quelle erreur génétique êtes-vous venu au monde, peut-être un poil pubien a-t-il fécondé l'ovule de votre maman, ça doît être l'explication "sexuelle", qu'en pensez-vous ? Au revoir le Troll, faîtes gaffe, j'ai un filtre de sorcière contre vous, et envoyez-moi donc Chris D. ou un autre de ses pseudos, que je m'amuse encore un peu. Curieuse de voir ce qu'il écrit, il doit être dans vos commentateurs, un pseudo féminin cette fois (paraît-il...).
Publié le 02 Août 2023

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