Fernand Fallou

Biographie

Voyageurs immobiles de tous les horizons, en partance pour n’importe où ! Bravo ! Vous avez trouvé la gare d’où on part.
Du train de banlieue qui emmène et qui ramène des milliers de gens de leurs occupations journalières, qui chacun, traînent des milliers d’histoires sordides ou romanesques qu’on entend, pour qui sait les entendre, dans la rengaine des bogies, tels les mantras qui inlassablement ressassent les prières et les espoirs des voyageurs du monde, au train bleu et à l’orient express qui ont emmené des aventuriers et des amoureux aux histoires exceptionnelles, féeriques, magiques, fantastiques, rocambolesques et qui reviennent heureux, souvent… ou morts parfois.
Installez-vous confortablement dans votre fauteuil et suivez-moi.
Aucune hésitation.
Départ imminent.
Bon voyage

Fernand Fallou a noté ces livres

5
@galodarsac Mon Cher Léon Très difficile de parler de ce texte sans dénaturer le sujet. Nous aurons peut-être l'occasion d'en parler une autre fois. Plus tard ! J'ai vécu 2 ans en Afrique centrale à cheval sur les années 1965-1966-et 1967 pour le compte de l'armée Française. Au Tchad, très exactement. C'était une époque ou traînaient encore des rumeurs de cannibalisme et des légendes de sexe. Bien qu'onirique, j'ai retrouvé dans votre texte beaucoup de choses réelles que j'ai connues, très exactement décrites, tant mécaniquement que physiquement et spirituellement. Comme je viens d'une époque où on ne s'embrassaient pas entre mecs, je ne vais pas faire comme Parthemise, mais je vais quand même vous dire un grand Bravo. FF.
Publié le 03 Juin 2021
5
@remy-ch Mon ami, j'ai lu votre nouvelle qui m'a effectivement tenu en haleine jusqu'à la fin. L'idée est excellente, à mon avis, la chute mériterait d'être un peu travaillée. Bonne continuation. FF
Publié le 13 Mai 2021
5
@galodarsac Cher Léon Galo d'Arsac J'ai lu deux fois ce texte. La première fois, bien que fort bien écrit, à la façon du 19ème disent les érudits de Mbs. Je ne suis pas assez fort pour confirmer. J'arrive à la fin, un peu plate, mais je lis quand même " Les notes de l'auteur ". Et là, le texte tout à coup, éclate dans ma tête. Les mots, "Sublime" ! "Magnifique" ! "Formidable" ! tournoient dans mon cerveau, accompagnés d'une petite larme solitaire au coin de l'œil, comme une petite midinette de banlieue. Bravo mon ami Léon. J'espère que vous me pardonnerez cette familiarité. Alors sachant de quoi, il s'agit, j'ai relu ce texte, avec une autre attention, un autre plaisir, malgré le sujet. Et là, je m'aperçois, que si mon intérêt avait été plus grand, il y a des détails qui auraient dû me mettre la puce à l'oreille. J'ai envie de me lever, d'applaudir et de crier BRAVO ! =-=-=-=-=- Bien sûr, chaque lecteur à sa façon de réagir face aux évènements émotionnels qu'il rencontre. Je ne veux pas jouer le professeur, et de toute façon, je ne suis pas de taille, mais je suis sûr qu'il faut relever légèrement l'intérêt de la première lecture. Soit en travaillant sur le voyage ou le rêve de Jean, soit en donnant un détail plus flagrant dès le début… Bref ! Il y a peut-être une autre façon de présenter les choses. En tous cas, je vous dis Bravo pour ce texte extraordinaire. =-=-=-=-=- Si vous avez un instant j'aimerais savoir pourquoi la note d'auteur est à la première personne du pluriel. A moins que Léon, Garo, d'Arsac, vous soyez trois, tel que s'est signé. FF
Publié le 30 Avril 2021
5
@galodarsac Cher Léon Galo d'Arsac Vous êtes un poète, c'est sûr ! Pendant les quatorze premières pages je me suis demandé comment vous alliez vous en sortir. Uppercut à la quinzième page. Fin par K.O. vous m'avez estomaqué ! Bravo ! FF
Publié le 14 Avril 2021
5
@Boris Phillips J’ai lu votre livre avec beaucoup de plaisir. La fin en argot m’a beaucoup amusé. J’en connaissais tous les mots sauf « affure » et pourtant je n’aurais pas été capable de l’écrire. Bravo ! Faut que je me trouve une excuse… Vous êtes prof et moi pas… J’ai lu ce livre parce que je soupçonne Bossuet d’avoir tué ou fait tuer (empoisonner) La Bruyère qui était son ami et qui lui a présenté quelque temps avant sa mort un article sur le quiétisme. Qui, si j’ai bien compris, allait plutôt dans le sens de Fénelon. Parce que j’écris un texte où je parle succinctement de lui. Je ne pouvais pas ne pas lire votre texte. Finalement, je me suis aperçu hier que c’est son frère Antoine Bossuet qui a soupé le 8 mai avec lui, qu’il se portait comme un charme et qu’il est mort deux jours après. Bref ! À part cette lettre où Antoine décrit le repas qu’il a fait avec La Bruyère, je n’ai rien trouvé sur lui. Je n’ai pas connu les livres de Lagarde et Michard parce qu’après le certificat d’études on m‘a mis dans un collège d’enseignement technique pour apprendre le métier de modeleur sur bois qui n’existait plus quelque temps après mon arrivée sur le marché du travail. Bref. Bravo encore pour ce texte « Bossuet était un C.. » FF
Publié le 07 Avril 2021

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